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Episode wallon

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Pour du beurre ?

Paul Magnette: «Dans l’intérêt de l’Europe, il faut parfois lui désobéir» - Page 5. Bruxelles : Les Anti-CETA Ne Lâchent Rien Et S’emparent Des Abribus | Le Blog Du Bureau De Bruxelles. Une trentaine de militants anti-TTIP et Ceta a détourné des panneaux publicitaires dans tous les quartiers de Bruxelles. En tout, ce sont 80 publicités qui ont été remplacées par des affiches dénonçant les accords de libre-échange avec les Etats-Unis et le Canada. Sur celles-ci, on voit entre autres des fausses pubs pour des hamburgers à la sauce TTIP, des poulets avec quatre pattes ou encore un supermarché proposant de la nourriture d'animaux clônés. Caricatures, dessins, publicités parodiées... les affiches ont été réalisées par une vingtaine d’artistes de plusieurs nationalités. A lire aussi Aucun article.

La Belgique met une grosse bombe sous le siège du CETA. Par Karel Vereycken Dimanche 30 octobre 2016 - Après deux semaines de menaces, d’ultimatums et de négociations frénétiques, la Belgique a été contrainte au forceps d’accoucher d’un accord belgo-belge permettant aux 28 gouvernements de l’UE ainsi qu’à celui du Canada de ratifier le CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement, en français l’Accord économique et commercial général – AECG). Avec retard, le Premier ministre canadien Justin Trudeau viendra donc sabrer le champagne à Bruxelles pour célébrer une « victoire » qui, comme nous allons le démontrer, ne fera pas long feu. Etant donné que les tarifs douaniers sont déjà assez bas entre l’UE et le Canada, le CETA, afin de relancer la croissance, entend augmenter les échanges en intensifiant les privatisations et en réduisant la plupart des normes régulatrices dans les domaines de la santé, de l’agriculture, des marchés publics et le droit du travail.

Que tout cela va susciter de la croissance reste à démontrer. 1. 2. Lettre à Paul Magnette. Mise à jour sur la pétition 29 oct. 2016 — Lettre à Paul Magnette, Ministre-Président de la région Wallonie Monsieur, En fin de semaine dernière, vous avez ravivé l'espoir, pour des millions d'européens, de voir le CETA abandonné. En refusant de valider ce traité, vous êtes apparu comme l'un des derniers remparts contre le libéralisme décomplexé. Au total, à l'heure ou j'écris cette lettre, 220 000 personnes ont signé le "Soutien à Paul Magnette contre le CETA et par extension contre le TAFTA". Au total, vous avez donc déçu au moins 220 000 personnes. Vous affirmez avoir obtenu des modifications du traité mais le texte qui va être signé demain dimanche ne comporte aucune modification.

Il semble désormais inéluctable que ce traité soit signé demain, dimanche 30 octobre. Vous avez profondément déçu 220 000 personnes, et tous ceux qui ont cru que vous étiez réellement le nouvel "Asterix". CETA. L’accord belge et la volte-face de l’Astérix Wallon, Paul Magnette. Comme un malentendu. Avec le « non » de la Wallonie au CETA, Paul Magnette est devenu en moins de dix jours le porte-parole Européen de l’opposition au traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne. En France, chacun pour ses raisons propres, aussi bien la gauche mélenchoniste, EELV, « frondeurs » du PS, mais aussi le FN, ont vu dans le ministre-président de Wallonie, l’homme providentiel, celui qui ose s’opposer à Bruxelles. Pourtant, avec l’accord belge obtenu ce jeudi, « l’Astérix Wallon » n’a plus rien de « l’irréductible gaulois » tant vanté. Damien Bernard Après le blocage de l’accord par le parlement Wallon, de celui de Bruxelles Capitale et de la communauté francophone de Belgique, un accord a finalement été trouvé ce jeudi.

Des déclarations pour la forme Émanant du « Royaume de Belgique », la première déclaration contient essentiellement des précisions sur l’application provisoire du traité. Tribunaux d’arbitrage. Le texte belge soumis aux 27 autres États et au Canada aura la même valeur juridique que le CETA lui-même. Il y a des avancées considérables. Contrairement à ce que je craignais, le statut de ce texte ne prend pas la forme d’une réserve de la Belgique, mais bien d’un document interprétatif du CETA qui doit donc être approuvé par les 27 États membres et par le Canada. Et qui aura la même valeur juridique que le CETA lui-même. Une première lecture de ce texte qu’on trouvera ci-dessous interdit de parler de « capitulation ».

Il y a des avancées considérables. Ainsi par exemple à propos des services publics, il est écrit que « l’AECG (CETA en français et merci à la Wallonie d’avoir imposé le sigle français) n’empêchera pas les pouvoirs publics de fournir des services publics précédemment assurés par des fournisseurs privés ni de ramener sous le contrôle public des services qu’ils avaient choisis de privatiser. Jamais un document de ce statut n’a été aussi loin dans la remise en cause d’avancées néo-libérales observées dans les négociations en cours. C’est pourquoi je me demande s’il va être accepté. Et le Canada ? Est-ce solide ? 1. A. Après l’accord belge, le conseil européen veut croire à l’adoption rapide du CETA - Page 2. Traité de libre-échange CETA : en quoi consiste l’accord belgo-belge. Ce compromis, trouvé jeudi, sur le projet de traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada (CETA) doit être entériné, vendredi, par les parlements régionaux concernés.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) et Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) L’accord « belgo-belge » conclu jeudi 27 octobre sur le projet de traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada – le CETA – doit être entériné, vendredi 28 octobre, par les parlements régionaux concernés, afin que Charles Michel, le premier ministre, puisse y apposer sa signature. Lire aussi : CETA : les Belges ont arrêté une position commune que l’UE va examiner Quels sont les points sur lesquels les Belges se sont finalement entendus ? La Wallonie ainsi que la région de Bruxelles ont obtenu des garanties que leur système de protection sociale ne serait en aucun affecté par le traité. Les concessions obtenues sont-elles marquantes ?

CETA: un accord entre parties belges a été trouvé. Découvrez le texte! Belgique Selon nos dernières informations, le Parlement wallon se réunira ce vendredi à 11h pour débattre de l'accord intra-belge sur le Ceta. Un vote est prévu à 16 h. Celui de la Fédération Wallonie-Bruxelles à 18h. Le timing va être serré pour les députés wallons qui siègent aussi à Bruxelles. Une position commune de la Belgique sur le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada (CETA) a été arrêtée, ce qui pourrait permettre sa signature prochaine, a affirmé jeudi le Premier ministre belge Charles Michel. Donald Tusk, président du Conseil européen, "contactera" Justin Trudeau, Premier ministre canadien, "une fois les procédures finalisées" au sein de l'UE.

Voici le texte de l'accord intra-belge: Cet accord doit maintenant être envoyé à l'Union européenne avant d'être présenté aux différents Parlement de Belgique, qui s'exprimeront dessus "avant vendredi minuit". A Ottawa, le Premier ministre canadien Justin Trudeau avait déjà fait savoir qu'il annulait sa visite. Libre-échange: après l’accord belge, le conseil européen veut encore croire au CETA - Page 2. CETA : Justin Trudeau ne viendra pas à Bruxelles pour signer l’accord Canada-UE. Vive la Wallonie ! Le rejet du traité de libre commerce avec le Canada (CETA) par la majorité de l’assemblée wallonne est un évènement fondateur. Il fait franchir un seuil à l’histoire de l’Union européenne après le Brexit. Il illustre si bien ce qui travaille en profondeur l’opinion progressiste européenne.

Ce rejet et le refus de céder des Wallons face aux pressions est aussi considérable que l’avait été en son temps les « non » français et néerlandais au traité constitutionnel de 2005. Dans son effet immédiat, on voit clair : c’est le rejet du traité. Dans sa portée : à cette occasion, le vote est celui du cœur de la social-démocratie européenne la plus traditionnelle.

Le PS belge n’est pas le Parti de gauche. C’est donc un signal qui aura des suites. Dommage que les pressions de l’UE sur ceux qui bloquent la lutte contre la fraude fiscale ne soient pas aussi intenses— Paul Magnette (@PaulMagnette) 23 octobre 2016 J’ai déjà évoqué ce traité dans plusieurs de mes discours, textes et vidéos. CETA. Lettre ouverte de soutien aux Parlements de Wallonie et de Wallonie-Bruxelles. 1. Isabella ADINOLFI - EFDD (IT)2. Laura AGEA - EFDD (IT)3. Marina ALBIOL GUZMÁN - GUE/NGL (SP)4. Martina ANDERSON - GUE/NGL (UK)5. Marie ARENA - S&D (BE)6. Guillaume BALAS - S&D (FR)7. Hugues BAYET - S&D (BE)8. Libre-échange: la Wallonie porte un coup fatal au traité avec le Canada - Page 2. Supportons la Wallonie contre le CETA ! À Mme Malmström, Commissaire européenne au commerce et et Mmes et MM. les chefs d’État et de gouvernement européens Nous soutenons la Wallonie et son premier ministre Paul Magnette qui se sont courageusement opposés au CETA.

Nous vous demandons d’arrêter vos intimidations à l’encontre de la Wallonie et de la région de Bruxelles qui ont décidé démocratiquement de dire non au texte. L’accord de libre-échange UE-Canada doit être complètement renégocié et les droits spécifiques aux grandes entreprises doivent être supprimés – au minimum. MISE À JOUR : La nouvelle vient de tomber : la région de Bruxelles ne soutiendra pas le CETA [1]. La semaine dernière, le premier ministre wallon Paul Magnette a fait ce qu’aucun autre dirigeant européen n’avait eu le courage de réaliser : il a déclaré que son gouvernement ne soutiendrait pas le CETA. Paul Magnette a défendu la démocratie face au pouvoir des multinationales – mais il pourrait céder face à la pression qui vient de tous côtés. Références. Traité de libre-échange CETA : « le débat démocratique n’est pas le problème mais la solution »

Paul Magnette, le ministre-président de la Wallonie, estime que la négociation avec le Canada a seulement buté sur une question de calendrier LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) Après la rupture des négociations entre la Wallonie et le Canada, vendredi 21 octobre, et le départ précipité, pour Ottawa, de la ministre du commerce international, Chrystia Freeland, le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) a répondu aux questions du Monde sur l’échec du projet de traité entre l’Union européenne et le Canada (CETA) Pourquoi cette rupture soudaine des conversations entre votre Région et la ministre canadienne ? C’est elle qui m’avait proposé une rencontre, que j’avais bien entendu acceptée, même si la démarche était inhabituelle, puisque les autorités canadiennes négociaient en général avec la Commission.

Pourquoi, alors, les pleurs de la ministre à la sortie de votre cabinet ? Non. Lesquelles ? Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’UE dans le désarroi. Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange, et bloque ainsi sa ratification. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) et Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre. « Il y a des progrès, mais ils ne sont pas suffisants », a expliqué Paul Magnette, ministre-président socialiste de la région, qui a indiqué qu’il rencontrerait, vendredi, la ministre du commerce international canadienne et son négociateur.

Avancées insuffisantes Le dernier ? Pas tout à fait. M.