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L'islamophobie - Vidéo - RTL TVI. Incident à l’ULB : « Ne pas céder à l’intimidation » Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes : Conservation et accès aux informations de géolocalisation pour réaliser des études marketing, Conservation et accès aux informations de géolocalisation à des fins de publicité ciblée, Cookies fonctionnels et statistiques d'usage du site, Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal.

Exclusif : le recteur de l'ULB répond aux critiques. Le Vif/L'Express: L'incident "burqa, blabla ! " est-il révélateur d'une mutation de la sociologie de l'ULB ? Didier Viviers: Je ne le pense pas. Qui étaient ces perturbateurs ? Ce n'est pas évident. L'instruction est en cours. Il n'y avait pas d'autres membres du corps académique ou scientifique que Souhail Chichah et tout au plus un ou deux étudiants de l'ULB. On n'est pas là en présence d'un public largement intérieur à notre université.Si vous pouviez voir ma boîte mail depuis mardi, vous vous rendriez compte que toute l'université est derrière ses autorités et son recteur pour condamner cette atteinte à la liberté d'expression.

Le Cercle des étudiants arabo-musulmans, fondé par Souhail Chichah, s'est-il prononcé sur l'incident ? Si Souhail Chichah n'est qu'un épiphénomène, que faisait-il encore à l'ULB ? Je ne regrette pas ma mansuétude lors de l'incident avec le Pr Sosnowski. Vu les messages postés sur Facebook par l'intéressé, l'ULB n'aurait-elle pas dû être plus proactive ? Où sont les valeurs de l’ULB ? Mercredi 08 février 2012 à 12h03 Un débat organisé à l'ULB sur le thème " L’extrême droite est-elle devenue fréquentable ? " a tourné court, perturbé par l'intervention d'une quarantaine de perturbateurs couverts de burqa ou de keffieh. Souhail Chichah, ingénieur commercial diplômé de Solvay, chercheur en sciences économiques à l’ULB, à peine 40 ans, est devenu un vrai problème à l’ULB. Autrefois proche du PTB et de Roberto D’Orazio, ce Tubizien d’origine a collectionné des places enviables dans les cercles (de gauche) proches du pouvoir.

Mais ces derniers temps, il a creusé un seul sillon : le communautarisme arabo-musulman. Il est très populaire parmi les étudiants. Des semaines à l’avance, Souhail Chichah avait pourtant prévenu que lui et ses amis participeraient à ce débat sous la forme d’une « burqa pride ». Quelles mesures avaient prises les autorités de l’ULB pour empêcher ce chahut prévisible ? Marie-Cécile Royen La réaction de Caroline Fourest. Réaction : Excusez-nous, Madame Fourest. J’aime mon université. J’y ai été étudiant et j’y enseigne depuis près de trente ans. J’aime mon université parce que c’est un lieu de liberté, un lieu de désordre et un lieu d’impertinence. J’aime mon université parce que c’est un creuset de la pensée libre et du combat contre tous les totalitarismes. L’Université libre de Bruxelles a été, et se doit d’être toujours, un foyer de résistance. Ses auditoires, ses salles, ses squares portent les noms de ceux qui, souvent au prix de leur vie, ont combattu l’occupant nazi : Paul-Emile Janson, Jean Burgers, Jean Guilissen, Arnaud Fraiteur et tant d’autres Parmi ceux-là, il y avait le groupe D, dont les survivants, après la Seconde Guerre mondiale, ont prêté serment : " Nous ne nous laisserons pas frustrer du prix de la victoire par aucun fascisme, par aucune dictature car autrement nous commettrions vis-à-vis de nos camarades qui sont morts la plus grande des lâchetés" .

Ces mots-là résonnent aujourd’hui amèrement. L'Université libre de Bruxelles otage du radicalisme musulman ? En lançant officiellement, cette semaine, notre Observatoire des Religions et de la Laïcité, nous étions loin de penser que notre propre Université ferait rapidement la une de son actualité. Or, c'est le cas — bien malencontreusement, diront certains. Rappelons brièvement les faits.

Ce mardi 7 février, une conférence-débat se tenait à l'Université libre de Bruxelles, réunissant le philosophe Guy Haarscher, l'historien Hervé Hasquin et l'essayiste française Caroline Fourest. Après quelques minutes, cette conférence fut interrompue du fait du chahut mis en scène par quelques dizaines de perturbateurs qui, à l'appel d'un membre du personnel de l'Université, avaient pris le parti d'empêcher qu'il puisse y avoir débat, arguant de ce que Caroline Fourest serait une journaliste "islamophobe".

Face à leurs vociférations, la conférence fut arrêtée, pour ne plus reprendre. Jean-Philippe Schreiber (ULB). (Photo : Jérôme Choain) L'ULB dénaturée et menacée par des assassins de la démocratie. Delpérée a été entendu dans l’affaire Kazakhgate, sa présidence chahutée politique Francis Delpérée (CDH) doit présider la commission d’enquête parlementaire sur le kazakhgate, qui se réunit jeudi pour la première fois. Mis en ligne Uccle contemple le déclin de De Decker Sondage: élisez la personnalité belge de l’année belgique Parmi les 50 personnalités suivantes, élisez celle qui, selon vous, peut prétendre au statut de Belge de l’année. Mis en ligne 10 ans de prison pour une dispute au Quick hainaut Le tribunal correctionnel de Charleroi a condamné Cezig K. à 10 ans de prison ferme pour une tentative de meurtre survenue au Quick de Châtelineau (Châtelet) en 2015.

Mis en ligne Publifin, l’affaire qui «jette le discrédit sur l’ensemble du monde communal wallon» politique Cet article du Soir+ vous est proposé gratuitement à la lecture. L’intercommunale Publifin aurait grassement payé 24 élus locaux pour des contributions fort dérisoires. Débat à Bruxelles : Tariq Ramadan ment, comme toujours… C’est l’histoire d’une conférence contre l’extrême droite et le racisme anti-musulmans qui se retrouve sabotée par une extrême droite pro-islamiste.

A coup d’injures, d’accusations mensongères et d’une "burqa pride" orchestrée pour couvrir ma voix. Au point d’interdire tout échange ce soir-là, mais d’ouvrir un vrai débat en Belgique… Pour lire la suite et mon récit de cette soirée sur le Huffington Post. Cette affaire a donné l’occasion à Tariq Ramadan de jouer son double jeu habituel et de mentir sur mon travail (qui consiste justement à dévoiler son problème maladif avec la vérité des faits).

Il prétend, par exemple, ne jamais avoir donné une conférence à l’ULB en compagnie de négationistes du génocide arménien… C’est faux. Lire cet article et ce programme. Les réseaux pro-voile étaient bien présents dans cette salle. "Islamophobe" ou antiraciste et féministe ? Manipulation de textes : à propos du Wall street journal Propagande et mensonges La vérité de mes engagements Le vrai débat. Caroline Fourest à Bruxelles : islamistes, extrême droite, même combat. Pas toujours fastoche d’être Caroline Fourest. Exécrée par la gauche radicale, qui se méfie de son anti-fondamentalisme religieux et croit y déceler un affreux tropisme guéanesque, détestée par l’ultra droite, qui lui reproche son manque d’empathie pour les nouveaux habits du FN, elle met même mal à l’aise tout ce qui se trouve entre les deux (ça doit être le principe de précaution). A vrai dire, il n’y a guère que les écolos pour la laisser tranquille.

Et encore, ça pourrait ne pas durer. Mardi soir à l’Université Libre de Bruxelles, où elle devait participer à un débat sur la fréquentabilité toute neuve des partis d’extrême droite en Europe, c’est par une soixantaine de barbus(ues) emmenés par un maître de conférence du cru (mais glabre, pour le coup), Souhail Chichah, qu’elle a été empêchée de parler. Ce qui est marrant, pour autant, c’est qu’une observatrice aussi affûtée des mouvements racistes soit prise pour cible par ces clowns prétendant lutter contre « l’islamophobie ». Caroline Fourest à Bruxelles : islamistes, extrême droite, même combat.

A l’Université Libre de Bruxelles, c’est aux barbus qu’il revient d’empêcher la journaliste de parler des dangers de l’extrême droite. Et non, ça n’a rien d’un paradoxe. Pas toujours fastoche d’être Caroline Fourest. Exécrée par la gauche radicale, qui se méfie de son anti-fondamentalisme religieux et croit y déceler un affreux tropisme guéanesque, détestée par l’ultra droite, qui lui reproche son manque d’empathie pour les nouveaux habits du FN, elle met même mal à l’aise tout ce qui se trouve entre les deux (ça doit être le principe de précaution). A vrai dire, il n’y a guère que les écolos pour la laisser tranquille. Mardi soir à l’Université Libre de Bruxelles, où elle devait participer à un débat sur la fréquentabilité toute neuve des partis d’extrême droite en Europe, c’est par une soixantaine de barbus(ues) emmenés par un maître de conférence du cru (mais glabre, pour le coup), Souhail Chichah, qu’elle a été empêchée de parler.

. © Commentaires & vaticinations. Une laïcité agressive ? Interview exclusive de Caroline Fourest - ULB - 7 février 2012. Sur l'affaire Chichah. Le mardi 07 février 2012, Caroline Fourest, essayiste et journaliste, était invitée à l'Université Libre de Bruxelles pour traiter du sujet "L'extrême droite est-elle devenue fréquentable ? " suite à son dernier livre, Marine Le Pen.

Peu après le début de la soirée, Caroline Fourest est interrompue par des sonneries intempestives de téléphones portables et quelques cris manifestement hostiles. Guy Haarscher s'énerve et prie les perturbateurs de bien vouloir respecter les conditions d'un débat serein, et les valeurs de l'université qui les accueille. La situation s'envenime rapidement, à tel point qu'on demande à l'agitateur en chef de venir s'expliquer. Il s'agit de Souhail Chichah (plus tard renommé Souhail Abdellah), assistant-chercheur qui faisait partie du corps académique de l'ULB.

Je condamne les actes de Chichah. Je renvoie les lecteurs aux réactions et à la vidéo suivantes : Au-delà de ces questions sur l'attitude de Chichah, il faudrait parler des motifs de son intervention. Le fascisme est-il devenu fréquentable ? - le blog nadiageerts. Il l’avait annoncé, il l’a fait : Souhail Chichah, chercheur et assistant à l’ULB, a orchestré le sabotage d’une conférence-débat sur le thème « L’extrême droite est-elle devenue fréquentable ? » ce 7 février 2012, au sein même de son Alma Mater. L’événement était annoncé sur Facebook : il s’agissait de trouver cent personnes prêtes à revêtir une burqa pour participer à une « Burqa Pride » dans l’enceinte où devait se tenir le débat entrHasquin.

Des messages privés envoyés par Chichah précisaient davantage le projet, en le complétant d’un entartage en règle. La veille de la soirée, convoqué par le président du Conseil d’administration, Chichah fanfaronnait encore, disant que ce dernier n’avait pas promis qu’il se joindrait aux manifestants en burqa. Le soir-même donc, c’est par des sonneries incessantes de portable que le sabotage commence. En matière de provocations, Chicha n’en est pas à son coup d’essai. Cette fois, il a sans doute été trop loin.