background preloader

QWANT résultats 'le droit à l'oubli'

Facebook Twitter

Un pianiste invoque le droit à l'oubli européen contre une critique. Le monde du livre ne tardera pas à découvrir ce qui ressemble à une dérive tout à fait prévisible : le moteur de recherche Google, contraint par la législation européenne à effacer de son référencement des pages web, a été saisi par un pianiste. Dejan Lazic demande en effet qu'une chronique du Washington Post soit supprimée, aux États-Unis, en vertu du droit européen. Randy Heinitz, CC BY SA 2.0 Demander un droit à l'oubli, en s'appuyant sur une législation venue du vieux continent, pour faire disparaître un article qu'il considère comme négatif vis-à-vis de son art, c'est une première. En tant qu'artiste, le jeu de la critique est celui classique de l'exposition : certains commentaires sont agréables, d'autres moins. Mais il faut respecter leur existence et ce qu'ils dégagent du ressenti exprimé par le journaliste, blogueur, etc.

En 2010, il effectua un concert, au Kennedy Center, qu'une certaine Midgette n‘a pas jugée de son goût. Droit à l’oubli, un combat perdu d’avance ? 01net. le 15/03/12 à 17h00 « Il y a 17 ans, moins de 1 % des Européens utilisaient Internet. Aujourd’hui, une quantité colossale de données personnelles sont transférées et échangées (…) à travers le monde en quelques fractions de seconde ». C’est ainsi que Viviane Reding, Commissaire européenne à la Justice, a introduit, le 25 janvier dernier, sa réforme de la directive de 1995 sur la protection des données personnelles. Au cœur de cette de réforme, le « droit à l’oubli numérique ».

Pas une zone de non-droit « Le Web est une formidable mémoire », a-t-on l’habitude de dire. Il voit toutefois cette directive, qui devrait être intégrée dans notre droit national d’ici trois ans, d’un bon œil. « Il est nécessaire d’encadrer, d’imposer des standards techniques » pour permettre aux particuliers de contrôler leurs informations. Une génération sacrifiée Le droit à l’oubli irréaliste ? Inquiétant. Trois conseils pour éviter que votre vie numérique soit un enfer 2 – Etre vigilant. 3 – Se surveiller. Droit à l’oubli : fausse bonne idée ou droit véritable pour l’internaute ? Le droit à l’oubli numérique est défini de la manière suivante par la Commission européenne dans son projet de règlement : « Toute personne devrait avoir le droit de faire rectifier des données à caractère personnel la concernant, et disposer d'un "droit à l'oubli numérique" lorsque la conservation de ces données n'est pas conforme au présent règlement.

En particulier, les personnes concernées devraient avoir le droit d'obtenir que leurs données soient effacées et ne soient plus traitées, lorsque ces données ne sont plus nécessaires au regard des finalités pour lesquelles elles ont été recueillies ou traitées, lorsque les personnes concernées ont retiré leur consentement au traitement ou lorsqu'elles s'opposent au traitement de données à caractère personnel les concernant ou encore, lorsque le traitement de leurs données à caractère personnel n'est pas conforme au présent règlement. » « Ce qui existe aujourd’hui, c’est un droit à l’effacement pour motifs légitimes » Droit à l'oubli : la justice française impose un déréférencement à Google - Les Echos. Politique Fillon aurait demandé à l'Elysée de "taper" sur Sarkozy "Le Monde" assure samedi disposer d'un enregistrement où le secrétaire général de l'Elysée, Jean-Pierre Jouyet, rapporte comment François Fillon lui a...

"Fillon, un loser" : l'intéressé répond (05/11) L'ancien Premier ministre, François Fillon, ne croit "pas un seul instant" que Nicolas Sarkozy ait pu tenir à son encontre les propos rapportés dans le livre... Le droit à l’oubli. « Droit à l'oubli » : Google débouté par la justice européenne. Les particuliers pourront obtenir, sous certaines conditions, la suppression des liens vers des pages internet comportant des informations personnelles. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger (avec AFP) La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a débouté Google, mardi 13 mai, dans une affaire de « droit à l'oubli » numérique, en estimant qu'un moteur de recherche sur Internet est responsable du traitement des données personnelles contenues dans les pages qu'il renvoie aux internautes suite à une recherche.

Le communiqué de la cour précise (PDF) : « Ainsi, lorsque, à la suite d’une recherche effectuée à partir du nom d’une personne, la liste de résultats affiche un lien vers une page Web qui contient des informations sur la personne en question, la personne concernée peut s’adresser directement à l’exploitant (…) pour obtenir (…) la suppression de ce lien de la liste de résultats. » Lire : Google critiqué pour avoir scanné les mails de millions d'étudiants. Droit à l'oubli : la France, championne des demandes de suppression. C'est en France que le nombre total de demandes que Google a reçues est le plus important. Selon les statistiques de la firme de Mountain View pour le 6 novembre, 32 489 requêtes lui ont été adressées via son formulaire.

Depuis le 10 octobre, où 28 898 demandes étaient déjà comptabilisées, l'entreprise américaine a donc reçu 3591 nouvelles réclamations, soit une moyenne de 133 par jour. Les Français demeurent encore aujourd'hui les champions du droit à l'oubli en Europe, devant l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne ou l'Italie, qu'il s'agisse du nombre total de demandes ou le nombre total d'URL dont la suppression a été demandée (97 456 dans le cas de l'Hexagone).

Le pays le plus proche de nous au niveau des statistiques est l'Allemagne, avec 27 638 demandes portant sur 94 374 liens. Dans le cas des requêtes françaises, Google continue de supprimer environ une URL sur deux.