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5_eme. Solidarité, hébergement, logement et politique de la ville / Politiques publiques. © Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie Selon le Conseil de l’Europe, la cohésion sociale est «la capacité de la société à assurer le bien-être de tous ses membres, incluant l’accès équitable aux ressources disponibles, le respect de la dignité dans la diversité, l’autonomie personnelle et collective et la participation responsable ». Elle implique de façon générale le renforcement du lien social pour l’ensemble de la population mais aussi plus spécifiquement l’inclusion sociale des personnes vulnérables. L’État n’en est pas le seul acteur : les lois de décentralisation ont fait des collectivités territoriales des responsables essentiels du champ social dans lequel interviennent également de façon importante les associations et les organismes sociaux.

Par sa nature même de garant de l’intérêt général, l’État reste le fédérateur légitime de projets et d’actions concourant à la cohésion sociale. Lien social et ruptures des liens sociaux. COMMENTAIRE Ce texte n’est pas une « petite histoire » mais prend la forme classique d’un cours. . Les composantes du lien social Le problème du lien social reprend une vieille question de philosophie politique : comment faire pour que les hommes puissent agir librement et constituer, malgré tout, une société cohésive? Cette question est redevenue essentielle aujourd'hui tant la situation actuelle de crise nous semble trancher avec la période des trente glorieuses. Sans toutefois idéaliser cette dernière (les inégalités et les conflits sociaux étaient nombreux), il est bon de se demander comment la cohésion sociale a pu alors se faire à travers le travail, les institutions et l'ensemble des relations sociales.

Les facteurs de cohésion sociale durant les trente glorieuses La période des trente glorieuses est synonyme de "consommation de masse" et, on l'oublie trop souvent, de culture de masse. Le rôle de la division du travail : l'analyse de Durkheim Le rôle des institutions La déviance. Favorise les liens de proximit et l esprit de solidarit dans la Ville. Créée en mars 2008, la délégation à l’engagement solidaire, confiée à Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris, ne trouve d’équivalent dans aucune autre grande ville : elle est unique en France. Retrouvez également le témoignage en vidéo de Stéphane Hessel sur l'engagement solidaire Chaque maire d’arrondissement a désigné un élu en charge de l’engagement solidaire et les directions de la Ville ont identifié un correspondant. Objectif de ce nouveau réseau : favoriser les liens de proximité et la diffusion d’un esprit de solidarité dans la Ville.

L’engagement solidaire vise ainsi à « jeter des ponts » entre les habitants, en complément des « grands » dispositifs sociaux. Il s’agit de développer toutes les formes d’investissement citoyen pour une vie collective plus fraternelle, contre l’atomisation et l’anonymat propres aux grandes villes. Ce besoin de solidarité s’exprime avec d’autant plus de vigueur dans cette période de crise économique et sociale. Le témoignage de Stéphane Hessel. La précarité, nouvelle discrimination?

En cette Journée de refus de la misère, ATD veut faire de la pauvreté le 20e critère d’inégalité de traitement prohibé par la loi. C’est l’enjeu du jour. La discrimination pour précarité sociale sera-t-elle bientôt condamnée en France ? C’est le message que portera ATD Quart Monde cet après-midi auprès des députés, lors d’une conférence-débat sur la pauvreté organisée à l’Assemblée nationale et auprès de la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, attendue à la cérémonie organisée sur le parvis du Trocadéro.

Cantine scolaire Dix-neuf critères de discrimination sont aujourd’hui prohibés par la loi. Les exemples ne manquent pas. L’accès aux droits sociaux représente la moitié des 100 000 recours traités chaque année par le défenseur des droits. Preuve difficile à apporter Certes favorable à cette mesure, Gwénaele Calvès, professeure de droit public à Cergy-Pontoise, estime toutefois qu’elle n’aurait qu’une « valeur symbolique ». A lire aussi: Précarité. P. Une démarche sociale. Pourquoi ils sont bénévoles. Se renseigner Fondation de France : 01.44.21.31.00. La Porte ouverte : 08.03.33.33.11. Fondation Claude-Pompidou : 01.40.13.75.00. Qui n’a jamais pensé à venir en aide aux plus démunis ?

En décembre, période de fêtes et de faste, qui ne culpabilise pas ? Impossible de rester de glace au moment où le vent, le froid et la neige rendent la misère et l’isolement encore plus insupportables. 15 % de bénévoles choisissent de donner de leur temps. Pourquoi ? Les uns choisissent le bénévolat par convictions religieuses. Mais attention, il en va du bénévolat comme de tous nos actes. « Souvent, la véritable raison à notre soif d’aider nos prochains nous échappe, car elle est inconsciente », poursuit le psychanalyste. La fondation Claude-Pompidou recrute 10 à 30 % seulement de ceux qui la contactent. Témoignages “J’ai toujours rêvé de m’occuper d’enfants. Brigitte Jarry, 40 ans, ingénieur.

. « Je suis ingénieur, mais mon vrai désir était de m’occuper d’enfants.

Article femme actuelle n°2

Ville de Cergy : Solidarité et aide sociale. Article femme actuelle n°1. Liens_sociaux_et_ruptures. Patrice Tripoteau : "Le handicap est la principale discrimination à l'emploi" Patrice Tripoteau : Le handicap, principale © FranceInfo En France métropolitainre, deux millions de personnes de 15 à 64 ans ont une reconnaissance administrative de leur handicap, selon une récente étude de la Dares (Ministère du travail), portant sur les chiffres de 2011. Seulement 700.000 d'entre elles travaillent. Ces personnes sont plus âgées et moins diplômées que la moyenne (51 % n'ont aucun diplôme ou seulement le BEPC, contre 31 % pour l'ensemble de la population). "En cas de plan sociaux, les personnes les plus fragiles, en situation de handicap peuvent se retrouver en première ligne. C'est aussi une tension sur le marché du travail, et inévitablement les personnes en situation de handicap partent perdante dans la conquête de l'emploi," explique Patrice Tripoteau, directeur général adjoint de l'Association des Paralysés de France.

Depuis 1987, la loi oblige les entreprises de plus de 20 salariés à embaucher 6 % d'handicapés sous peine de pénalités. Un enfant sur six victime d'exclusion sociale. La France dépense plus d'argent pour ses enfants que tous ses voisins européens. Et pourtant, un enfant sur six (17%) se trouve dans une situation d'exclusion sociale "jugée préoccupante". Parmi eux, 7% d'entre eux souffrent d'une "exclusion extrême", selon les conclusions d'une toute première étude nationale de l'Unicef France publiée mardi. 22 500 enfants de 6 à 18 ans et originaires de 70 villes différentes ont eux-même répondu à près de 130 questions. Elaborée en collaboration avec l'institut TNS-Sofres, l'étude intitulée Ecoutons ce que les enfants ont à nous dire s'est intéressé à leurs droits, leur vie quotidienne, leur éducation, mais aussi leurs loisirs et leur santé. 5% des enfants affirment ne pas manger trois repas par jour Les différentes échelles de l'intégration sociale (l'école, la ville, la famille, ...) sont "fortement corrélées entre elles" et dépendent également des conditions d'existence, comme l'accès au soin, le niveau de privation, par exemple.

Les conséquences psychiques de l'exclusion. Confrontés à l'exclusion, certains tombent malades, sont rongés de tristesse, deviennent agressifs... D'après les psychologues américains Jean M. Twenge, Kathleen R. Catanese et Roy F. Baumeister, il n'existerait qu'un seul et unique mécanisme psychique à l'origine de ces comportements. De précédentes études s'étaient arrêtées sur une intuition plutôt simple : nos réactions (colère, tristesse...) face au rejet seraient la conséquence d'un « stress émotionnel ».

Mais ces premiers coups de serpe ne satisfaisaient pas l'équipe de J.M. J.M. En 2011, 27% des enfants de moins de 18 ans menacés de pauvreté ou d'exclusion sociale, selon Eurostat. En 2011, 27% des enfants de moins de 18 ans étaient menacés de pauvreté ou d’exclusion sociale dans l’Union européenne, a annoncé Eurostat, l’office européen des statistiques, dans un communiqué en date du 26 février 2013. Pour Eurostat, les personnes menacées de pauvreté ou d’exclusion sociale sont « celles relevant d’au moins un des trois critères suivants : à risque de pauvreté, en situation de privation matérielle grave ou vivant dans des ménages à très faible intensité de travail ». En retenant ces critères, l’office européen chargé de l’information statistique note que dans la majorité des Etats membres, les enfants et les jeunes de moins de 18 ans sont plus touchés par la pauvreté et l’exclusion sociale que les autres groupes d’âges.

En savoir + Cliquer ici pour télécharger le communiqué d’Eurostat. La pauvreté et la précarité continuent de progresser en France. Depuis dix ans, la précarité s'est installée parmi les bénéficiaires du Secours catholique, les pauvres sont plus nombreux et dans une situation plus difficile qu'en 2001, souligne l'ONG dans son rapport annuel 2011 rendu public jeudi 8 novembre. Dans ce document intitulé "Regards sur 10 ans de pauvreté", l'ONG indique avoir accueilli 1.422.000 personnes en 2011, dont 668.000 enfants.

La part des familles est passée de 47% à 53%, notamment du fait de la crise. Parmi les bénéficiaires, 94% vivaient sous le seuil de pauvreté (60% du niveau de vie médian, soit 964 euros en 2010) et 68% sous le seuil de très grande pauvreté (644 euros en 2010). Depuis 2001, le Secours Catholique accueille chaque année près d'un million de personnes vivant en dessous du seuil de très grande pauvreté. La pauvreté s'est ancrée "On constate un durcissement et un ancrage de la pauvreté", explique Bernard Schricke, directeur Actions et Plaidoyer France Europe. "Serrer au maximum son budget" Difficile accès à l'emploi. Individualisme et solidarité : quelles relations possibles aujourd'hui ? Petit à petit, dans nos sociétés occidentales, l’individualisme est devenu la norme et la solidarité l’exception. Pour les mutuelles et les assurances collectives, il est essentiel de réfléchir très sérieusement à l’impact qu’exerce cette évolution sur leur identité, d’anticiper les changements futurs mais aussi sans doute de se remettre en question dans un contexte global différent de celui qui a vu naitre et se développer les structures de protection sociale basées sur une gestion collective et solidaire du risque.

Les termes de la relation entre l’individu et le collectif se modifient, reste à savoir comment se positionner par rapport à ces changements. Pour PLS, il faut relever les défis en commençant par réfléchir à ce qui se joue. Qu’est-ce au juste que cet individualisme ? D’où vient-il et comment en sommes-nous arrivés là ? Comment ensuite faire face et répondre adéquatement aux enjeux ? Discrimination-Sociale-France.