background preloader

Prise en charge des addictions et sevrage

Facebook Twitter

Patient hospitalisé et drogue. La détention de stupéfiants doit-elle être signalée aux autorités ?

Patient hospitalisé et drogue

Un tel signalement se heurte au secret médical, principe général et absolu auquel sont astreints les professionnels de santé. Il ne peut y être apporté exception que dans les cas prévus par la loi comme, par exemple, le signalement de maltraitances sur mineurs. Comme le rappelle l'instruction ministérielle, la détention illicite de produits stupéfiants ne constitue pas une exception à l'obligation générale de respect du secret médical. Les établissements ne sont donc pas légalement tenus de signaler aux autorités judiciaires l'identité des patients détenteurs de ces produits. Il est en outre rappelé que les toxicomanes qui se présentent spontanément dans un établissement de santé peuvent bénéficier, à leur demande expresse, de l'anonymat. Que faire des produits stupéfiants découverts ?

Les produits doivent être remis aux autorités contre récépissé indiquant la date de remise, ainsi que la quantité de produit. Haut de page. Addiction à l’héroïne et aux opiacés : Le mésusage des traitements est-il un problème? RB Pharmaceutical, le 20 sept. 2013 (Industries pharmaceutiques et du matériel médical) Soyez le premier à réagir A l’occasion du prochain congrès THS (Toxicomanie, Hépatites, Sida) qui se déroulera à Biarritz du 8 au 11 octobre, seront présentés les résultats d’une étude sur l’acceptabilité et la sécurité des traitements.

Addiction à l’héroïne et aux opiacés : Le mésusage des traitements est-il un problème?

Cette étude ouvre le débat sur l’efficacité des stratégies thérapeutiques contre le mésusage. "Salles de shoot": le modèle suisse. A Genève, le rendez-vous des toxicomanes n'est pas un parc, une cage d'escalier ou des toilettes publiques.

"Salles de shoot": le modèle suisse

Leur quartier général est un gros cube design, couleur vert pomme, situé derrière la gare de Cornavin. A l'intérieur du "Quai 9", le visiteur découvre une pièce claire, équipée de jolies tables en bois et d'ordinateurs connectés. La "salle de consommation" se trouve au fond. Elle est pourvue de matériel propre permettant l'injection, le sniff ou l'inhalation de cocaïne ou d'héroïne. Drogues et toxicomanies : Et si le vrai nerf de la guerre était la toxicophobie? (Initialement rédigé pour Rue 89) "C'est des délires de camé, ça n'a donc aucune espèce de crédibilité", "quand on veut se mettre hors du système, on a rien à recevoir de ce système", "Quand on passe sa vie à taper de la chnouf en boîte de nuit, à un moment faut en payer le prix, c'est normal", "Les camés, ils vendraient leur mère pour un rail de coke", "quand quelqu'un se drogue, ça se voit", "quand on se drogue, on est forcément pas dans son état normal"...

Drogues et toxicomanies : Et si le vrai nerf de la guerre était la toxicophobie?

Il existe tellement de poncifs au sujet des usagers de drogues et des toxicomanes... Et en plus d' être nombreux, ils sont aussi validés médiatiquement et institutionnellement. L' ensemble de ces poncifs pourrait porter le nom de toxicophobie. (C'est en tout cas de plus en plus d' usage, bien que ce terme désigne aussi la peur morbide des poisons) Ce qui en fait le nid? Tout plaisir a un prix... Je me souviens très bien de ce que j' ai ressentit la première fois que j' ai pris de l' héro. Le profil des usagers d'héroïne a évolué et nécessite une nouvelle politique - Club Prevention Securite. Drogues Publié le 08/04/2013 • Par avec l'AFP • dans : Actu prévention sécurité Le profil des consommateurs d'héroïne a évolué ces dernières années, avec une population désormais dépendante à plusieurs produits (cocaïne, cannabis, alcool, tabac, etc.) et plus précarisée, et une augmentation des overdoses, qui nécessite une nouvelle politique, ont estimé vendredi à Paris plusieurs experts.

Le profil des usagers d'héroïne a évolué et nécessite une nouvelle politique - Club Prevention Securite

Drogues illicites - INPES. En France, une personne (15-64 ans) sur 12 a consommé dans l’année une drogue illicite dont 3,8 millions du cannabis, 400 000 de la cocaïne et 100 000 de l’héroïne.

Drogues illicites - INPES

Le cannabis est la drogue illicite la plus consommée dans un contexte de consommation plutôt occasionnelle, rarement abusive et stable dans son évolution L’entrée dans la consommation se situe autour de 15 ans, concerne un quart des 18-25ans (une fois dans l’année) puis diminue avec l’âge. Les jeunes Français sont les plus consommateurs de cannabis d’Europe. Les niveaux d’expérimentation des autres drogues illicites sont nettement plus bas mais en augmentation pour certains stimulants comme la cocaïne (3,8%) et les poppers 11%. Parmi les opiacés, l’expérimentation de l’héroïne est estimée à 1,2% des 18-24 ans. Revue Psychotropes sur travail(s), santé et usages de substances psychoactives. Editeur : de Boeck Psychotropes, revue internationale qui traite des substances psychotropes, de leurs usages et des dépendances qui en découlent, vient de publier un numéro consacré au Monde du travail.

Revue Psychotropes sur travail(s), santé et usages de substances psychoactives

Renaud Crespin, Gladys Lutz, Michel Hautefeuille Page 5 à 9Travail(s), santé et usages de substances psychoactives Dossier : Travail(s), santé et usages de substances psychoactives Gladys Lutz Page 13 à 34Pratiques addictives en milieu de travail : impasses du concept et nouvelles perspectives Renaud Crespin Page 35 à 54Le sens des mesures. Nouveau dossier en ligne sur les conduites addictives en milieu professionnel. ASUD : plateforme Drogues & Hépatite C.

Documentations substances addictives

Expérimentation d'une salle de consommation à moindre risque dans le quartier de la gare du Nord.