background preloader

Amel

Facebook Twitter

Les différents types de primes pour les salariés. Les offres d'emploi, quand elles évoquent la rémunération du futur collaborateur, précisent souvent "Fixe + primes". Mais à quoi correspondent ces fameuses primes ? Certaines sont obligatoires selon les circonstances, les conventions collectives ou les accords de branche, d'autres facultatives et sont là pour inciter les salariés à être productifs. Elles sont évidemment un argument de poids pour attirer de nouveaux talents lors des processus de recrutement et un atout important dans la négociation. On peut classer les primes en deux types, que voici. Les primes en lien avec le type de travail effectué Certaines primes sont liées au quotidien du salarié, et notamment aux difficultés qu'il peut rencontrer.

Elles sont inscrites dans la convention collective, dans un accord de branche, dans la règlement intérieur ou le contrat de travail du salarié. Les primes en lien avec l'entreprise Dans le cadre de son contrat de travail, le salarié peut bénéficier de différents avantages et primes. Combien coûte à l'entreprise une prime ou une rémunération nette de 1000 euros ? Le montant des charges salariales est égal à 22% du salaire brut (ou 28% du salaire net) Le montant moyen des charges salariales est de 22% du salaire brut.Donc pour une prime nette de 1000 euros, le montant des charges salariales s’élève à 1000/(1-0,22) x 0,22 = 282 euros (28% du net)Le salaire brut nécessaire au versement d’une prime de 1000 euros est donc de 1282 euros.

Le montant des charges sociales patronales est égal à 42% du salaire brut (ou 54% du salaire net) Pour un brut de 1282 euros, le montant des charges sociales patronales est égal à 42% soit 538 euros.Par rapport au salaire net (1000 euros), le montant des charges patronales est donc égal à (538/1000 = 54%) Le total des charges sociales salariales et patronales est donc égal à 64% du salaire brut (ou 82% du salaire net) Les charges sociales patronales pour une prime nette de 1000 euros s'élèvent à 538 euros.

Les charges sociales salariales pour une prime nette de 1000 euros s'élèvent à 282 euros. Rémunération et reconnaissance. La rémunération peut-elle encore être un outil de motivation du salarié ? Pour adapter les rémunérations des salariés à leur activité, l'employeur doit s'appuyer sur des critères de différenciation objectifs. De récentes décisions de justice le rappellent. Dans quelle mesure l'employeur a-t-il la possibilité d'adapter les rémunérations à l'activité des salariés, à la qualité de leur travail et encourager ainsi la motivation qu'ils déploient lors de la réalisation de leur prestation ?

Au niveau collectif, la participation des salariés aux bénéfices de l'entreprise vise à permettre aux salariés de bénéficier de l'expansion économique de l'entreprise, et donc à accroître leur implication dans la bonne marche de leur entreprise. Toutefois, elle doit demeurer une redistribution fondée sur un principe égalitaire : si elle a un lien avec l'activité de tous, elle ne récompense pas l'effort particulier de certains. L'octroi d'un avantage en nature ne permet pas d'échapper à l'application du principe.

2015-055 - Participation, intéressement et épargne salariale en 2013. Un salarié sur cinq a désormais accès à un Perco. En 2013, 56,1 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale. Au sein de ces dispositifs, le plan d’épargne entreprise (PEE), qui couvre 45,5 % des salariés, demeure le plus répandu. Près de 6,9 millions de salariés ont effectivement reçu une prime au titre de la participation ou de l’intéressement ou bénéficié d’un abondement de l’employeur sur les sommes qu’ils ont versées sur un PEE ou sur un plan d’épargne retraite collectif (Perco). Pour ces quatre dispositifs, plus de 15,7 milliards d’euros ont été distribués en 2013 par les entreprises, dont 15,1 pour les seules entreprises de 10 salariés ou plus, soit une baisse de 2,6 % par rapport à l’année précédente. Les sommes versées au titre de la participation ont reculé pour la troisième année consécutive et pour la première fois depuis leur création, celles distribuées sur les Perco ont également diminué.

Reconnaissance. Exigences économiques renforcées, pilotage par les objectifs et les résultats, impératif d'innovation, évolutions organisationnelles permanentes, tel est le quotidien de la majorité des entreprises et de leurs collaborateurs. Dans cet environnement, les managers ont besoin d’un engagement supplémentaire de leurs équipes, se traduisant par une recherche accrue d’autonomie, de responsabilité et d’initiative de la part des salariés.

Or la reconnaissance est un levier fort de l’engagement au travail. A contrario, la faible reconnaissance des efforts, le déni des difficultés, sont autant de causes de démobilisation, de mal-être, et de contre-performance productive. Des atteintes à la santé sont même possibles. Tout le monde a donc intérêt à s’emparer de la question de la reconnaissance. Mais comment ? Pourtant, la reconnaissance au travail ne se limite pas aux seuls aspects monétaires. Traiter de la reconnaissance en lien avec la performance Malgré cette complexité, on peut agir. 7 idées reçues sur la motivation des salariés. C'est la grande question que tout dirigeant est un jour amené à se poser : comment motiver ses collaborateurs sur la durée ? Alors que les salariés français apparaissent comme les champions de la démotivation à l'échelle européenne, plusieurs leviers existent pourtant pour fédérer vos troupes autour de votre stratégie (primes, intéressement, formations, opérations de team bulding...) et faire grandir les talents de vos collaborateurs.

Mais, pour emporter leur adhésion et leur engagement, commencez d'abord par vous débarrasser d'un certain nombre de poncifs sur ce qui les booste réellement. Spécialistes de la motivation, Zwi Segal, docteur en psychologie du travail et professeur en ressources humaines et Yves Duron, psychologue du travail et psychosociologue, ont détecté sept idées reçues pour démotiver à coup sûr vos collaborateurs. Idée reçue n°1 : Penser que la rémunération est la seule chose qui peut motiver les salariés Et vous, comment motivez-vous vos collaborateurs ? Motiver Ses Salaries Ressources Humaines Gerer.

Identifier les facteurs de contraintes et de ressources. Publié le 01-MAR-13 par ANACT | Imprimer Pour cette phase de diagnostic, la méthodologie du réseau Anact fait prioritairement porter le regard sur les conditions concrètes de réalisation du travail, dans une approche qualitative. Deux outils sont mobilisés en priorité : le modèle d'analyse "C2R" afin de repérer les facteurs de contraintes et de ressources, puis l'analyse des "situations-problème". Ainsi, c’est à partir de situations locales que différents niveaux d’organisation et de décision seront examinés. Une fois l'accord trouvé en interne pour la mise en oeuvre et le pilotage de la démarche de prévention des RPS, l'étape suivante consiste à poser un diagnostic partagé de la situation.

Premier outil mobilisable, le modèle C2R. Ce travail d'investigation est en général réalisé au niveau de l'entreprise, puis ensuite au niveau des services ou des métiers les plus concernés, au travers d'entretiens avec des salariés ou des groupes de salariés, puis avec l'employeur. Qui fait ? FACTEURS INFLUENCANT LA MOTIVATION DU PERSONNEL | Kenneth Baddoo. Peut-on entretenir durablement la motivation des hommes par la seule rémunération ? - En STMG, à Jacques Cartier ... Comment passer de la rémunération à la reconnaissance de l'individu au travail.