background preloader

Veille Technologique - Articles Choisis

Facebook Twitter

Bases NoSQL et MongoDB. Apparu dans les années 1970, le modèle relationnel des bases de données est aujourd’hui le plus commun. Après l’échec des SGBD objets dans les années 90 – 2000, un autre type de base de données émerge et est de plus en plus utilisé notamment par des sociétés qui doivent gérer de très gros volumes de données (Google, Facebook …). Il s’agit des bases de données NoSQL. Cet article commence par décrire le modèle NoSQL pour ensuite le comparer au modèle relationnel. Enfin, le Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) NoSQL MongoDB[1] sera présenté. Quelques mots sur le NoSQL Le terme NoSQL (acronyme de Not Only SQL) désigne une famille de SGBD fonctionnant sur un modèle particulier.

Ces logiciels sont indépendants du langage SQL et sont donc foncièrement différents des logiciels de bases relationnelles. Avec l’apparition de nouveaux principes de stockage, de nouveaux modèles ont été développés. Le modèle « Clé/valeur Le modèle Base Documentaire Le modèle Base Orientée Colonnes Historique. MongoDB lève 80 M$ de plus pour distancer ses concurrents. Dev Ittycheria, CEO de MongoDB depuis août 2014, vient de procéder à une levée de fonds supplémentaire de 80 M$ qui lui permet de repousser une éventuelle entrée en bourse de la société. (crédit : D.R.) Une émission de titres vient de permettre à MongoDB de réaliser une levée de fonds de 80 M$ auprès de plusieurs investisseurs. Jusque-là, l'éditeur de la base NoSQL avait déjà réuni 231 M$. Quelques mois après avoir recruté Dev Ittycheria au poste de CEO, l'éditeur de la base NoSQL Open Source MongoDB vient de lever 80 millions de dollars dans le cadre d'une émission de titres d'un montant total de 100 M$.

Le document transmis par la société au régulateur des marchés financiers aux Etats-Unis mentionne huit personnes associées à ce tour de table. MongoDB est l'un des acteurs les plus connus sur le marché des bases NoSQL (signifiant à l'origine « Not only SQL ») promis à se développer avec la montée des projets big data. L'une des plus fortes croissances. SQL vs NoSQL : perspective des langages de programmation. Le débat SQL versus NoSQL est en train de devenir un rite de passage pour les administrateurs de bases de données, mais également pour tous les geeks. Jeff Cogswell, auteur chez O’Reilly, a récemment contribué à mettre de l’huile sur le feu sur Slashdot. Bien que les commentaires de l’article mettre portés sur les points résumés du débat SQL vs NoSQL par Cogswell, l’article en lui-même tente de se concentrer sur la façon dont la programmation implémente les deux langages dédiés aux bases de données, SQL et NoSQL, jusqu’à les comparer, et apporter des exemples concrets.

Malheureusement, la tentative de Cogswell de voir un débat intéressant sur les bibliothèques des langages et des paradigmes de programmation était semble t-il trop demandé… Les langages de programmation sont des outils. Les programmes prennent les données, les manipulent, et ce afin d’en créer de nouvelles plus précieuses. Cogswell a choisi le pire exemple NoSQL pour son argumentation ! MySQL n’a jamais été aussi bon : Merci qui ? Merci Oracle. Que va faire Oracle de MySQL ? C’était sans doute la principale question, et source d’inquiétude, à l’occasion du rachat de Sun par le géant des bases de données propriétaires.

D’ailleurs pour convaincre le régulateur européen de donner son feu vert à l’acquisition, Oracle avait dû prendre des engagements spécifiques concernant l’avenir de MySQL. Cinq ans plus tard, l’éditeur a-t-il tenu ses promesses et permis à MySQL d’évoluer dans le bon sens ? A l’occasion de sa grande conférence annuelle, l’OpenWorld, Oracle a fait son propre bilan. Et il le reconnaît volontiers, il n’en est pas peu fier. MySQL, ce n'était pas mieux avant Mais voilà, assure-t-il, ce scénario catastrophe ne s’est absolument pas réalisé. Pour le dirigeant d’Oracle, cette acquisition a sans contesté profité à MySQL. « Honnêtement, quand MySQL a rejoint Oracle, c’était un peu le désordre MySQL » juge-t-il comme le rapporte The Register. MySQL tellement mieux que MariaDB a prospéré.

OpenWorld : Oracle veut faire de SQL le langage de requête du big data par @EasyBlogs #oow14. 01Business le 01/10/14 à 10h44 Cette troisième journée de l’OpenWorld Forum a été marquée par le seconde keynote de Larry Ellison. A cette occasion, il a endossé ses nouveaux habits de CTO (directeur technique), et s'est donc, non sans un certain humour, attelé lui-même aux démonstrations. Notamment pour démontrer comment déplacer une base Oracle on-premise vers le cloud. Un "push button" qui n'en est pas vraiment un, mais le déroulement du scénario fait son effet sur l'assistance grâce à la verve du fondateur d’Oracle. On s'interroge quand même sur la pertinence de cette démo car certaines étapes sont volontairement occultées, et les cibles choisies - pluggable database vers pluggable database à iso version - sont des plus simples.

Cependant, on apprécie les intérêts du cloud d’Oracle dans ce contexte : non seulement la base est déplacée, mais elle est également compressée au passage - augmentant a priori les performances tout en limitant le stockage -, et cryptée, cloud oblige. Vous avez aimé SQL, vous allez adorer NoSQL. Les bases de données NoSQL, qui constituent un des composants essentiels de la planète big data, génèrent une effervescence et intérêt non démentis. Au début était SQL (Structured Query Language), un langage développé par IBM dans les années 70. SQL a été conçu pour la manipulation des données, leur définition qui permet de créer et de modifier l’organisation des données, le contrôle de transaction pour commencer et finir les transactions et le contrôle pour réguler l’accès aux données.

SQL correspond aux données structurées et aux bases de données relationnelles dont les trois leaders sont aujourd’hui Oracle, IBM et Microsoft. Le mouvement des bases de données NoSQL a été initié dans les années 90 avec la montée en puissance d’Internet et des systèmes distribués et amplifié par l’arrivée du cloud. ACID versus BASE L’omniprésence d’Internet et la montée en puissance du big data a complètement changé la problématique. Hadoop et NoSQL.