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Histoire de la chasse ; l'homme et la bête - Andrée Corvol - Perrin. L'Arbre en Occident (Grand format - Autre 2009), de Andrée Corvol | Éditions Fayard. L’arbre grandit et grossit, dépérit, brûle ou casse (on l’a encore constaté en janvier 2009 dans le Sud-Ouest de la France). Ces phénomènes reflètent le nombre des années ou la colère des cieux. Voilà 400 millions d’années qu’il démontre ses capacités évolutives. Il connaît le sort de tous les vivants : l’éloignement des anciens conditionne le développement des jeunes – leçon de tout temps difficile à admettre. Mais si les individus meurent, l’espèce demeure.Pourtant, inerte, l’arbre semble immuable, immortel même. Son espérance de vie excède celle des hommes et des animaux. Comment imaginer qu’un sujet si familier puisse disparaître ? Comment ne pas honorer un individu très vieux ? Directrice de recherche au CNRS, présidente du Groupe d’histoire des forêts françaises (GHFF), spécialiste de l’histoire des forêts et de la place du bois dans la civilisation occidentale, Andrée Corvol a déjà publié, chez Fayard, en 1987, L’Homme aux bois.

REGARDS SUR LA FORÊT, Ffrancois Lormant. FORÊT ET COMMUNICATION - Héritages, représentations et défis, Ffrancois Lormant Christine Farcy Charles Dereix. Cette étude a fédéré des chercheurs français et belges d'horizons divers (histoire, économie, sociologie, ethnologie, biogéographie, droit, sciences politiques et sciences de la communication). Arbres et forêts bénéficient d'une image positive, celle-ci peut s'avérer très éloignée de la situation économique et sociale vécue par les acteurs concernés par le devenir des espaces forestiers (propriétaires, gestionnaires et autres partenaires de la filière bois). Il s'agit de proposer les lignes de force d'une communication forestière nouvelle, susceptible de contribuer à une meilleure compréhension entre les forestiers et le public, voire à une réconciliation autour d'enjeux de sociétés partagés.

Date de publication : 15 juin 2016 Broché - format : 15,5 x 24 cm • 436 pages ISBN : 978-2-343-09043-6EAN13 : 9782343090436 EAN PDF : 9782140012174 EAN ePUB : 9782336764535. Le livre de la chasse – Gaston Fébus – Atelier enluminure Marie-Eve. J’aimerais vous introduire dans l’univers du célèbre manuscrit Le livre de la chasse. Ce codex est bien connu dans le monde des manuscrits enluminés, il fait même parti des manuscrits les plus précieux de la Bibliothèque nationale de France. C’est un ouvrage de vénerie médiéval, c’est-à-dire un livre qui traite de la chasse à courre (venari en latin signifie chasser). Cette technique de chasse était anciennement utilisée et visait à poursuivre un animal sauvage jusqu’à son épuisement, à l’aide de chiens courants.

Quant au rôle du cavalier/chasseur, il consistait à suivre et contrôler les chiens. Un peu d’histoire… Gaston III de Foix-Béarn (1331-1391), comte de Foix et vicomte de Béarn, orthographie son surnom avec la graphie de la langue d’oc Febus (et non pas Phébus ou Phœbus). Le texte est apprécié pour sa technicité car il décrit minutieusement les proies et comment les chasser. Les enluminures Afin de mieux comprendre les valeurs picturales médiévales, explorons-en quelques unes… Gaston III Phebus. Le Livre de chasse de Gaston Phébus | BnF Essentiels. Le Livre de la chasse que Gaston III (1331-1391), dit Gaston Phébus, comte de Foix, dédie en 1389, au duc de Bourgogne, Philippe le Hardi, est un art de vénerie. Ce grand seigneur poète, habile politique et bon administrateur, ami et protecteur des lettres et des arts, vit entouré d'une cour fastueuse. C'est aussi un homme violent, responsable de la mort de son fils unique. Rompu aux exercices les plus brutaux, il est grand chasseur.

C'est avec expérience et passion que Gaston Phébus, alors âgé de cinquante-sept ans, rédige ce traité personnel et original, dans un excellent français ponctué de quelques caractères normands-picards, alors que sa langue maternelle est la langue d'oc parlée à la fin du 14e siècle dans le comté de Foix. Il y passe en revue tous les aspects de la chasse médiévale, animaux à chasser, chiens, pages, valets et veneurs, pièges... Gaston Phébus ne dit pas un mot du cheval, qui, pour la chasse, est au Moyen Âge un cheval d’armes. Provenance Lien permanent. Le livre de chasse de Gaston Phébus. La chasse au Moyen Âge : l’accomplissement d’un rituel, avec (déjà) un code de bonne conduite ! | Canal Académies. La chasse a représenté pour les hommes un moyen de se nourrir et de se vêtir. Mais, à côté de cette fonction utilitaire, elle était au Moyen Âge riche de significations politiques, morales et religieuses, reflétant les structures et les modes de pensée de la société.

L’historien Michel Pastoureau, correspondant de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, évoque ce sport, cet art de vivre et ce divertissement, très codifié. Qui chassait ? Comment chassait-on ? Pourquoi et comment l’Église instaura-t-elle un nouvel art de chasser ? _ Rois, nobles, bourgeois, paysans,, tous chassaient. Le roi, le prince, le seigneur se devaient de chasser La chasse, en milieu aristocratique, était d'abord et avant tout un rituel. L' Église inversa la hiérarchie des valeurs entre l'ours, le sanglier et le cerf Les Romains, les Germains, les Celtes, les Slaves n'aimaient pas chasser le cerf parce que le cerf fuit et qu' il n'y a pas de corps à corps dans un combat ultime entre le chasseur et le gibier. Dans la forêt lointaine, le Moyen Âge nous fait coucou : épisode • 2/4 du podcast Histoire du monde végétal. Dans la forêt lointaine, le Moyen Âge nous fait coucou, du haut de son grand chêne, il répond au hibou : coucou hibou, coucou hibou, coucou, coucou, coucou !

La forêt est merveilleuse, mais au sens médiéval du terme : elle provoque un vif étonnement par son caractère étrange qui tient du prodige ou de la magie. La forêt est merveilleuse car, par sa beauté, sa grandeur, sa perfection, elle suscite l'étonnement et l’admiration. Elle est merveilleuse, sans doute, mais que connaissaient nos ancêtres de leurs forêts au Moyen Âge ? D’un autre côté, que connaissent les historiens, les historiennes, de la forêt médiévale ? Une forêt nourricière La forêt au Moyen Âge est avant tout un espace nourricier. "S'il y a une limite, je dirais que ce n'est pas tellement entre la forêt sauvage et le monde des hommes, mais plutôt entre la forêt seigneuriale et la forêt paysanne", précise l'historien Charles Viaut.

L'arbre en est une ressource incontournable. L'observation des forêts Nos invité·e·s. Dossier de presse gaston febus. Livre de la chasse de Gaston Fébus : l’excellence du style gothique international. Le livre de la chasse – Gaston Fébus – Atelier enluminure Marie-Eve.