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Fauteuils Branchés - Musiques Génératives. Architectures sonores « Les Chaises Musicales » Dominique HuchetBruno Lefebvre Hiver 2009/2010 Affiche_Théo Lefebvre Cette installation peut se réaliser dans des espaces publics ou privés, couverts ou en plein air. 1°- Principe: Une musique générative et aléatoire est générée par un montage de logiciels libres ( voir petite description technique). Chaque fauteuil agit grâce à son axe sur le rythme (l'accélération ou le ralentissement des mélodies), l'intensité des sons, oriente la musique vers des percussions ou des développements instrumentaux, fait varier le spectre, agit sur la hauteur, la fréquence, la brillance des sons. 2°- Intention: Les mouvements des corps assis génère la mélodie permet à chacun, quelque soit son âge, son poids (de 20 à 120Kg), son handicap éventuel, de produire l'environnement sonore, même sans aucune connaissance de la musique. 3°- Anthropologie musicale et compositions aléatoires En musique le groupe d'humain fait corps, rassemble.

Hello. Discontrol Party (2) Discontrol Party (2) Gaîté Lyrique (Paris) modifié le: 2012-07-19 Gaîté Lyrique (Paris) les 24 et 25 juin 2011, à 20h Dans le cadre de ses recherches sur le Large Group Interaction (projet ANR Praticable, soutenu par la MESHS), l’EnsadLab développe avec plusieurs partenaires un dispositif pour l’interaction collective mettant en œuvre des technologies innovantes pour la captation des personnes en situation de foule : caméras infra-rouges, détection faciale, identification, traçabilité, géolocalisation indoor, … Pour expérimenter, voire mettre à l’épreuve, ces nouveaux dispositifs d’interaction et de contrôle, c’est une fête qui est organisée : Discontrol Party. Un programme inédit de concerts et de DJ sets dans un dispositif interactif qui réagit au public. Une expérience artistique et technologique à vivre en live. Dispositif festif interactif, 2009-2011, à la Gaîté Lyrique (Paris) : Samuel Bianchini en lire + (dossier de presse et programme détaillé)

Michel Jaffrennou, l'art numérique. How Christian Marclay created “The Clock” When Christian Marclay moved from New York to London, in the summer of 2007, he left behind some of his most valued possessions: hundreds of boxes of thrift-store junk. Marclay, the most exciting collagist since Robert Rauschenberg, had accumulated this trove over three decades, and relied on it to create his art. Many items had a connection to music, a dominant theme in his work. There were countless worn LPs, their covers bearing ghostly outlines of the vinyl inside; containers filled with bird’s nests of unspooled cassette tape; tatty theatre-geek scarves embroidered with musical notes stolen from Gershwin. The studio where he had curated all this stuff, in the former American Can Factory, in Brooklyn, was now a lifeless vault. Sawdust generated by the artist upstairs sprinkled through cracks in the floorboard ceiling, shrouding his things in beige snowfall. Marclay liked to make something new by lovingly vandalizing something old.

But Marclay has little need for luxury.