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Témoignage

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Témoignage : le CAP pâtisserie en alternance dans le Haut Rhin. Quand on se destine à l’artisanat, l’apprentissage est un passage essentiel pour apprendre les bases du métier, les us et coutumes de la vie active...

Témoignage : le CAP pâtisserie en alternance dans le Haut Rhin

Marie, apprentie pâtissière, nous fait part de son expérience. DRTransmettre des gestes, un métier, une passion : Marie est à la bonne école Elle n’aurait jamais imaginé en faire son métier, et pourtant... «Après mon bac, je voulais changer de voie, travailler, je me suis donc renseigné à la Chambre des Métiers... Et j’ai choisi la pâtisserie, tout simplement parce que j’ai toujours adoré préparer des gâteaux.» Un CAP en deux ans C’est qu’il ne s’agit plus de mitonner tranquillement une poignée de gourmandises pour la famille. Vérification faite, ils sont succulents, merci ! Une formation théorique et pratique A ceux qui vont entrer en apprentissage, Marie recommande une motivation sans faille, on s’y attendait.

Témoignage : Témoignage : se former en alternance dans le Haut Rhin. Témoignage d’un chef pâtissier, qui a la passion de son métier. Bonjour Antony Terrone, vous êtes Chef Pâtissier Adjoint au sein de Waldorf Astoria Hotel et vous avez accepté de nous parler de votre métier au quotidien HTJ : Comment devient-on Chef Pâtissier ?

Témoignage d’un chef pâtissier, qui a la passion de son métier.

AT : C’est un travail de tous les jours, j'ai évolué au gré de rencontres professionnelles et surtout en acquérant de l’expérience dans les établissements ou j’ai travaillé. HTJ : Comment s’organise votre travail ? AT : Je dirige une brigade de 10 personnes, mes missions sont d’organiser l’équipe et le travail de mes pâtissiers et commis pâtissier après je m’occupe des créations des desserts pour les restaurants et aussi des fêtes. HTJ : Qu’est-ce qui a motivé votre choix de devenir Pâtissier ? AT : Une évidence, une curiosité, une passion et surtout je suis très gourmand. HTJ : Qu’est-ce qui vous semble difficile à gérer dans votre métier de Chef Pâtissier ? AT : Il n’y a pas de chose facile ou difficile à gérer je m’adapte à la situation comme dans chaque métier. A la découverte du métier de pâtissier. Lorsque j’ai choisi de me lancer dans la pâtisserie, je ne pensais pas pousser la porte d’un monde incroyable.

A la découverte du métier de pâtissier

Un monde où tous nos sens sont en éveil constant, à l’affût de la moindre odeur, couleur, filant dans nos yeux grands ouverts. La moindre odeur de sucre, de chocolat, de fruit, s’immisce dans vos narines, tout doucement, et fait rêver le palais. Lorsque l’on pousse la porte d’une pâtisserie, on en prend aussi plein les oreilles : les clients qui discutent de la pluie, du beau temps, la caisse qui claque, le pain qui craque. Et la boîte à bonbons, là bas, qui se referme sous nos yeux. Voilà l’univers qui s’offre à moi chaque jour. Le premier client arrive, faisant « sonner au magasin ». Et puis là, le client quitte la pâtisserie, rentre chez lui. Veuillez attacher votre ceinture de sécurité !

Découvrir le milieu de la pâtisserie m’a fait découvrir ce voyage sensoriel incroyable. Je suis titulaire d’un bac général, passé et obtenu, mais le supérieur ne m’intéressait pas. Laurent, 42 ans, pâtissier. « J'aime confectionner des desserts » Mille-feuilles, éclairs, framboisiers, gâteaux...

Laurent, 42 ans, pâtissier

Laurent baigne toute la journée dans un océan de crème et de sucres. Il nous en dit plus, pour notre plus grand plaisir ! Comment êtes-vous devenu pâtissier ? Petit, j'allais en vacances chez un cousin qui avait une boulangerie à Genève (Suisse), j'adorais tout ce mélange d'odeurs, ces belles couleurs... Fatima, 31 ans, chef pâtissier. Si Fatima s'accorde à dire qu'apprendre la pâtisserie, c'est pas du gâteau, elle explique qu'un monde créatif aux mille possibilités s'est ouvert à elle dès qu'elle a mis la main à la pâte...Vous vous dîtes pâtissier, et pas pâtissière : pourquoi ?

Fatima, 31 ans, chef pâtissier

Je ne ressemble pas à une crème pâtissière ! Plus sérieusement, j'en ai autant bavé que les hommes, voire plus : je mérite donc l'appelation historique de chef pâtissier au même titre qu'un homme. Quand j'ai commencé mon apprentissage, il y avait très peu de filles. En labo (là ou on prépare les gâteaux ndlr), quand on dit les filles : on parle des vendeuses ! C'est un milieu masculin et je pense avoir fait mes preuves : quand il faut porter une cuve de 50 kg, ou remuer une crème qui en pèse 10, je me débrouille aussi bien qu'un homme.Quelles sont les contraintes qu'impose votre métier ?