background preloader

Une nouvelle économie

Facebook Twitter

Quand le graphe social facilite l'échange de fichiers. Passer par un réseau social simplifie l'envoi d'information entre individus, dont certains possèdent un fichier lourd et d'autres veulent se le procurer. Un système adapté au partage en P2P via mobile. Pour organiser l’échange de fichiers lourds au sein d’un groupe de personnes (étudiants sur un campus, professionnels réunis lors d’une conférence), il ne faut pas se contenter de créer un réseau ad hoc via les mobiles de chacun des participants. Mais partir des relations sociales des individus, et de leur proximité géographique. Voilà le postulat de trois chercheurs de l’université du Texas. Ceux-ci publient une étude dans laquelle ils proposent un système algorithmique qui part du graphe social des sites communautaires et - éventuellement - des données de géolocalisation disponibles, pour planifier le partage de fichiers vidéo entre plusieurs personnes.

Plus clairement, les scientifiques expliquent que les réseaux sociaux permettent un échange optimal de l’information. Internet: un nouveau capitalisme est possible grâce aux médias sociaux. La Consommation Collaborative : quel impact sur l'économie ? | Consommation Collaborative. Nous voici en terrain glissant. A force d’évoquer avec vous la Consommation Collaborative et ses contours, il m’a semblé intéressant, bien que risqué, de commencer à questionner le concept, sa portée réelle et son impact potentiel sur l’économie et notre vie « sociale ».

Photo by Deshazkundea under Creative Common licence Alors que je suis amené à présenter le mouvement de la Consommation Collaborative à des proches ou des amis, une remarque m’est souvent faite en ces termes : « la Conso Collaborative, c’est une contestation anticapitaliste en fait… le collectivisme, c’est le propre de l’organisation communiste non ? » Plusieurs commentateurs anglo-saxons ont déjà expliqué en quoi le mouvement de la Collaborative Consumption n’a rien à voir avec le collectivisme, ce post intitulé « Sharing is communism » – Insane Myths About Collaborative Consumption est intéressant par exemple. Deux reportages diffusés ces dernières semaines sont particulièrement éclairants à mon sens. Restez branchés ! Blog » L’avenir de la consommation sera la consommation collaborative ! EmailEmail Antonin Léonard est blogueur passionné de développement durable et, plus particulièrement, de consommation collaborative.

Pour preuve, son blog annonce : quand Internet rend la consommation plus intelligente. Selon lui, la consommation collaborative est un mode de consommation qui répond à deux principes : l’usage prévaut sur la possession [...]les échanges directs entre particuliers (peer-to-peer), tél un réseau neuronal, prévalent sur l’économie centralisée Tiens donc ! Mais n’est-ce pas là la définition même d’e-loue ?! Plus sérieusement, le blogueur annonce que la consommation collaborative est sur le point de dépasser le simple stade de tendance pour devenir un véritable phénomène de consommation. » Quatre faits majeurs montrent que la Collaborative Consumption est en passe de devenir un des segments les plus prometteurs des startups américaines.

En France, plusieurs éléments sont aussi annonciateurs d’une prochaine et jolie percée de la consommation collaborative. 8 fév. Alex Bogusky's FearLess Revolution - FearLess Blog - Introducing COMMON. Watch as Alex Bogusky, Rob Schuham and John Bielenberg present COMMON, and follow along with the deck below (Download PDF). We’re confident that benefiting people, communities, society, the environment and future generations is the new advantage in business. We’re launching the COMMON brand in support of this transition from competitive advantage to collaborative advantage. COMMON is one part community; one part business prototyper; and one part collaborative brand. A living network of creative people rapidly prototyping dozens or hundreds of progressive businesses designed to solve social problems. Connected to a brand that’s community designed, community owned, and community directed.

La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative. Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe. C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet). En cela, la Consommation Collaborative ne fait pas exception, même si des évolutions récentes (je vous explique tout ça en deuxième partie) me laissent penser que certaines pratiques devraient connaître une transition beaucoup plus rapide en France.

Zipcar, leader du car-sharing (autopartage traditionnel) aux Etats-Unis continue de s’étendre. Vidéo de Rachel Botsman sur la Consommation Collaborative | Consommation Collaborative. Si vous ne l’aviez pas encore vu, voici la vidéo (vous pouvez sélectionner les sous-titres en français) de la présentation lors de TEDx Sydney, de Rachel Botsman, fondatrice du mouvement de collaborative consumption. Rachel Botsman est également la co-auteur de What’s mine is yours, The rise of Collaborative Consumption (prochainement traduit en français, mais dont je ne peux que vous recommander la lecture si l’anglais ne vous rebute pas). Elle nous explique notamment pourquoi l’accès, c’est mieux que la propriété ; pourquoi les systèmes de réputation vont devenir la nouvelle monnaie sociale ; pourquoi nous allons nous remettre à partager dans les prochaines années… et pourquoi cela est finalement tout à fait naturel.

Sa conclusion pour vous donner envie de regarder la vidéo : Un grand merci à Dorian Chapeau pour ses excellents sous-titres en Français. A propos de Antonin Léonard. Economie du partage ou Shareable Economy | Consommation Collaborative. Sharing by Sharingsolutionblog.com Les startups de la consommation collaborative ont le vent en poupe! Airbnb lève 7,2 millions d’Euros pour développer sa place de marché de location de logements entre particuliers (il est désormais possible de réserver une île depuis son IPhone), les startups françaises Deways (site d’autopartage entre particuliers) et Super-marmite (réseau social de proximité pour acheter et vendre vos petits plats faits maison) sont sélectionnées parmi les 16 finalistes pour participer à LeWeb’10. L’économie du partage se développe à grande vitesse et devient un secteur à part entière. Alors qu’il s’agit d’un concept finalement assez simple, partie intégrante de notre vie quotidienne, le partage s’étend, grâce à Internet, à de nouveaux types de biens et activités quotidiennes.

Surtout, le partage ne se limite plus à notre réseau proche et nous amène à collaborer avec des inconnus. Quels sont les moteurs de cette nouvelle économie? Les moteurs de l’économie du partage. Le socialisme nouveau est arrivé. Le socialisme est mort, vive le socialisme ? À l’instar de Is Google making us stupid? C’est une nouvelle traduction de poids que nous vous proposons aujourd’hui. Vous reconnaissez-vous dans ce « socialisme 2.0 » tel qu’il est présenté ici ? Peut-être oui, peut-être non. Mais il n’est jamais inutile de prendre un peu de recul et tenter de s’interroger sur ce monde qui s’accélère et va parfois plus vite que notre propre capacité à lui donner du sens.

Le nouveau Socialisme : La société collectiviste globale se met en ligne The New Socialism: Global Collectivist Society Is Coming Online Kevin Kelly - 22 mai 2009 - Wired(Traduction Framalang : Poupoul2, Daria et Don Rico) Bill Gates s’est un jour moqué des partisans de l’Open Source avec le pire épithète qu’un capitaliste puisse employer. Les aspects communautaires de la culture numérique ont des racines profondes et étendues. Mais on ne parle pas là du socialisme de votre grand-père. I. II. III. IV Le collectivisme. How does the idea of p2p and the commons differ from the socialist tradition? » Article » OWNI.eu, Digital Journalism.

In the article for the Argentinian national daily “Pagina 12″, journalist Mariano Blejman writes that I equate open hardware with socialism. and this is also the message that is being retweeted. This is not explicitely my position, so I’d like to take up the occasion to republish an earlier article on how our position is related to the historical movement of socialism.

What is the connection between the historical tradition of socialism/communism and the contemporary emergence of ideas and practices centered around p2p dynamics and the commons? Let’s first tackle our understanding and interpretation of communism. To me it is basically the idea, probably born at the same time as post-tribal class-based society, that an alternative human arrangement based on equal relationships and without the inheritance of wealth and privilege is possible. Today, the “idea” of communism is terminally contaminated with that historical experience of social oppression. What about peer to peer? LU - The Sharing Economy. Le CtoC (Customer to Customer) une aubaine pour les nouveaux intermédiaires ? Le consommateur, à l'heure d'Internet et du Web 2.0, se retrouve au centre des nouveaux modèles économiques dans les processus d'achat/vente, de communication, de promotion, de définition des produits ...

Le modèle CtoC (Customer to Customer) place les consommateurs directement en relation entre eux. Je ne vais vous présenter ici les détails de ce nouveau modèle tant les exemples en sont nombreux mais plutôt le nouveau rôle que doivent jouer les entreprises : à savoir celui de "support entre consommateurs". Est-ce à dire que l'entreprise n'a plus son mot à dire ? Bien sûr que non puisque le cas des plateformes est le parfait exemple de la réussite de ces nouveaux intermédiaires : Les plateformes d'échanges, de vente sont devenus les nouveaux intermédiaires qui prennent et prendront de plus en plus de poids. 1 - Comment réussir à être un intermédiaire dans une relation CtoC ?

Le modèle CtoC est donc trop beau pour ces nouveaux intermédiaires. Interview de Marc Lebel, CTO de Zilok | Consommation Collaborative. Parmi les startups de la consommation collaborative, Zilok ferait presque office de parrain tant le service était précurseur au moment de son lancement en 2007. Zilok est le premier site de location entre particuliers, premier à s’être lancé sur ce créneau et leader aussi bien en termes d’objets disponibles à la location (200 000) que d’utilisateurs inscrits ( 100 000). L’un des sites que met en avant Rachel Botsman dans son livre ou lors de ses interventions, au milieu des Thredup, Airbnb ou autres Zipcar.

Zilok, c’est aujourd’hui une équipe de 10 personnes qui gère une activité en France, en Angleterre, aux Etats-Unis et au Bénélux. Une nouvelle version du site est prévue pour la fin de l’année. Zilok ont été les premiers à avoir relayé ce blog, les premiers avec qui je suis entré en contact aussi. La Consommation Collaborative ML : « Nous en sommes encore aux balbutiements.

Par exemple ? ML : Un des objets les plus loués sur Zilok est le motoculteur. Quel est le business model ? Article du Monde sur la location entre particuliers | Consommation Collaborative. Dans son édition du 28 décembre 2010, Le Monde consacre un dossier à la location entre particuliers. « Automobile, chambre, place de parking ou cadeau de noël : l’usage sans la possession fait florès sur la Toile ». Le mouvement de la Consommation Collaborative est maintenant couvert par les média traditionnels, preuve, s’il en fallait, qu’il prend de l’ampleur. Cet article de la journaliste Laure Belot fait le tour des différents biens et services qu’il est maintenant possibles de louer : de la chambre chez l’habitant aux jouets (interview du fondateur d’ ecojouet.fr très prochainement sur ce blog) en passant par la place de parking… Notons la mention d’un site étonnant, , dans la veine des sites de crowdsourcing spécialisés, qui permet de louer les compétences d’un étudiant.

Le site est actuellement en beta test, nul doute que nous serons amenés à en reparler. « Il est clair que les jeunes générations montrent aujourd’hui plus d’intérêt pour ces solutions.