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Quantified-Self

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Runkepeer, le nouveau réseau social entièrement dédié aux sportifs : un succès assuré ? Tout le monde le sait, faire du sport c’est bon pour la santé. Votre mère vous l’a dit, vos amis, les médias, le Ministère de la Santé… Alors après tout pourquoi ne pas se lancer ? Avec l’utilisation croissante des smartphones : 31,4% de la population était équipée au 1er trimestre 2011*, on devient des « app’addicts ». Mais ne serait-il pas alors idéal, pour se motiver (et le rester), de trouver des applications sportives qui nous conseillent et nous défient régulièrement ? Et comme il n’y a jamais de problèmes, que des solutions, on a trouvé le site Runkeeper. Runkeeper s’était avant tout une application développée en 2008, par Jason Jacobs, pour « quantifier les performances running ». Aujourd’hui, elle s’impose comme la plateforme santé par excellence. Et Runkeeper ne laisse rien au hasard en intégrant dans sa plateforme plusieurs types d’applications consacrées à la santé : jeux, perte de poids, performances, alimentation, etc.

Vous allez nous dire « Runkeeper, c’est bien ! Deuxième Edition du #QS Paris: la température monte. Lundi se tenait à La Cantine la deuxième édition du Quantified Self Paris (#QSparis) 4 mois seulement après le tout premier évènement en français. Je ne reviens pas ici sur le principe de la mesure et du suivi des activités personnelles déjà abordé dans le précédent billet.So what’s up depuis l’été: Tout d’abord la poursuite du projet de Denis Harscoat (ex-Quantter) qui devient DidTH_is et dont la mission est de permettre de tagger et quantifier tout type d’action.

DidTH_Is est donc définitivement "action centric" et veut s’imposer comme le flux d’activité personnelle pour les "actions effectuées" sur le modèle d’Instagram pour la photo [ils partagent d'ailleurs le même défaut, être présent uniquement sur l'Appstort :-) ]. L’appli est dispo mais toujours en développement, toute comme la communauté.

Illustration de points accumulés avec Earndit Like this: J'aime chargement… La “quantification de soi” ne fait pas dans la demi-mesure. Le "Quantified Self" : doit-on compter sur soi ? Propos recueillis par Stéphane Gigandet. Interview publiée le 31/05/11 à 16h25. Emmanuel Gadenne. Consultant Internet. Manager chez Sopra Consulting. Emmanuel Gadenne est consultant Internet et intervient comme Manager au sein du cabinet Sopra Consulting. Emmanuel est l'une des premières personnes en France à explorer et pratiquer le Quantified Self, un thème qui intéresse de plus en plus de particuliers enthousiastes comme les startups et les géants du Web. Emmanuel nous propose une visite guidée pour comprendre les usages et les enjeux de cette auto-numérisation de l'individu, et si comme moi cette visite vous intrigue, vous pourrez continuer l'exploration à la première rencontre du groupe QuantifiedSelf Paris le vendredi 10 juin 2011.

Comment as-tu découvert le Quantified Self et pourquoi t'y intéresses tu ? J'ai commencé le QuantifiedSelf en 2003, pour retrouver mon équilibre et améliorer mon hygiène de vie. Qu'est ce que le "Quantified Self" ? Affichez vos objectifs. Code HTML : Qsparis [licensed for non-commercial use only] / FrontPage. #LeWeb : comment Runkeeper crée un monde en meilleure santé. Quantified Self Guide. Digifit The Digifit ecosystem is a full suite of Apple apps that records heart rate, pace, speed, cadence, and power of your running, cycling and other athletic endeavors. Data can be uploaded to the well established training sites Training Peaks and New Leaf. The ecosystem is is split up into the Digifit™, iCardio™, iRunner™, iBiker™, iSpinner™ and iPower™ apps.

To utilize the full functionality of the app you must purchase the Digifit Connect ANT+ dongle and and the purchase of an advanced functionality App. URL: Quantified Self (3/3) : Les tabous de la mesure. Par Hubert Guillaud le 15/12/11 | 6 commentaires | 2,785 lectures | Impression L’une des limites du Quantified Self demeure trop souvent, de rester focaliser sur la santé et le sport, notamment parce que les deux secteurs permettent d’enregistrer des données “objectives” : vitesse de course, pulsation cardiaque, localisation, prise médicamenteuse… sont autant d’actions concrètes facilement révélables par les chiffres. En ce sens, le QS demeure une mesure de la performance et de l’amélioration, même si pour cela elle observe également la maladie, la faiblesse et la dégradation.

Pour s’étendre, le mouvement doit certainement chercher à dépasser ses limites originelles pour introduire la mesure dans d’autres domaines que le seul domaine du soin de soi. Mais en même temps, quand il lui arrive de glisser sur d’autres thématiques, il révèle vite ses limites et ses tabous. Peut-on tout mesurer de soi ? Peut-on tout mesurer de soi ? Comment alors parvenir à les contourner ? Hubert Guillaud. Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi. Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures.

Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public.

Les applications sportives ou de santé ne manquent pas. Reste à trouver le capteur et l’interface qui séduira le plus grand public. Nombreux semblent ceux qui sont à la recherche du Graal qui permettra de tout faire tout en assurant la meilleure personnalisation. La longue traine des outils. Quantified Self (1/3) : Mettre l’informatique au service du corps. Assister à une conférence du Quantifed Self (QS), comme c’était le cas de cette première édition européenne, qui se tenait à Amsterdam, c’est faire l’expérience étrange d’être parmi des gens obnubilés par la mesure de soi et qui interrogent sans cesse ce qu’ils mesurent d’eux-mêmes.

C’est être confronté à une multitude de personnes – les « quantifiés » – qui part leurs pratiques mêmes, semblent se distinguer du commun des mortels : « Nous ne sommes pas comme les autres personnes » reconnaissait Gary Wolf en introduction de ces deux jours. Bardés d’outils, d’applications, de techniques de soi et de méthodes, que bien souvent ils inventent en faisant, ces cobayes d’eux-mêmes vous font entrer dans le monde étrange d’une pratique réflexive sur soi-même, visant à faire sens d’une accumulation de données et de chiffres. Comme le faisait remarquer Gary Wolf, le QS vise à « utiliser l’informatique utilement ». C’est un processus actif de réflexivité qui mêle informatique et données. Vers des “produits de données” Pour O’Reilly Radar, Mike Loukides, a publié un court rapport sur la nature de ce qu’il appelle les « produits de données » où il tente de dresser une esquisse d’une taxonomie des services imaginables depuis ce que produisent les données.

La science des données explique-t-il, est en train de donner naissance à de nouveaux types de produits qu’on n’imaginait pas il y a encore quelques années. En fait, les données sont en train de devenir des produits, que ce soit des produits liés aux données elles-mêmes (des données de transports ou de trafic par exemple qui deviennent des services en tant que tels), ou des produits liés à l’activation des données par les utilisateurs (par exemple les produits liés au Quantified Self). Ce que suggère Mike Loukides, c’est que les produits de demain reposeront avant tout sur l’exploitation originale de données. Les données font naître de nouveaux types de produits Pour Mike Loukides, il existe néanmoins d’autres formes de livrables. Et si le rapport de force Marque Conso évoluait. Au début de cette semaine, Marine Catalan, Directrice du planning stratégique Plan.Net, écrivait un article très intéressant, intitulé “Consumer empowerment, la révolution en marche” , sur le nouveau statut des marques vis-à-vis de leurs consommateurs dû à l’évolution du consommateur et de son environnement.

Ainsi, dans cet article, l’auteur défend le fait que le consommateur a évolué, délaissant le “consommacteur ” pour laisser davantage s’exprimer l’acteur qui est en lui et qui le pousse à vouloir les jouer les premiers rôles dans sa relation avec une marque. Participer, collaborer à l’élaboration d’une campagne ou encore d’un produit voire même à la stratégie d’une marque représentent les ambitions de ces nouveaux consommateurs qui ont donc pris la pouvoir. Il s’agit donc d’un ” empowered consumer ” qui entre directement en interaction avec la marque. Concretement, ce concept est mis en application par le gouvernement britannique et une communauté de chercheurs, développeurs. Les limites de la mesure de soi. Kevin Kelly, cofondateur du Quantified Self a prononcé la conférence de clôture de la première édition de la conférence sur la quantification de soi qui se tenait la semaine dernière à Mountain View en Californie, permettant, comme le dit Ethan Zuckerman qui en rapportait les propos, d’offrir un contexte pour comprendre les propos échangés pendant deux jours.

Pour Kevin Kelly, auteur de What technology Wants (Ce que veut la technologie), la quantification de soi fait partie d’une tendance plus large vers laquelle nous allons. Cette tendance plus large consiste à être à l’écoute de la technologie, parce que « la technologie nous dit où elle va ». La quantité d’information ne cesse d’augmenter, plus rapidement que tout ce que nous faisons. On estime d’ailleurs que le volume d’information croit de 66 % par an. Image : Gary Wolf et Kevin Kelly sur la scène de la première édition de la conférence Quantified Self, photographiés par Marc Smith. Nous n’échapperons pas au Lifestream. Le phénomène du Self-tracking (Quantified Self) au Web-In 2011. J'ai eu l'occasion de présenter une courte conférence lors du Web-In 2011 sur la thématique du Self-tracking (Quantified Self).

Web-In veut stimuler les artisans de l’industrie à innover et à réinventer le Web de demain. Web-In vise carrément à amener ses participants à aller au-devant des constats, voir même à sortir de leurs zones de confort et à remettre en questions leurs certitudes. Le tout dans le but de faire une réflexion collective sur le futur du Web.

Web-In est organisé par Alliance numérique, le réseau d’affaires de l’industrie des nouveaux médias et des contenus numériques interactifs du Québec, dans le cadre de MTL DGTL. Malgré une petite salle, beaucoup de sujets, plusieurs façons de le présenter, plein de gens curieux. Dans l'ensemble, j'ai bien aimé la dynamique de la journée. Les vidéos de la journée seront disponible sous-peu. Voici la vidéo : LE PHÉNOMÈNE DU SELFTRACKING from Alliance numérique on Vimeo. Voici ma présentation : Quelques articles post-évènement : Rencontre Quantified Self Montréal septembre 2011. Hier soir, j'étais à la Maison Notman pour participer au 2e Quantified Self Montréal.

Je trouve toujours agréable d'être dans une nouvelle activité et de ne connaître personne ! Ouvrir le réseau, les horizons, c'est un must. Alors, je suis là parce que depuis cet été, je m'intéresse au Self-Tracking et j'avais découvert le concept de Quantified Self. J'ai ainsi trouvé cette rencontre de geek d'une autre sous-culture à Montréal. C'est aussi ma participation au Web-in 2011 qui m'amène à réfléchir à cette nouvelle dynamique de l'univers numérique sur lequel nous circulons. Le chapitre de Quantifed Self Montréal est né en juin dernier et déjà il commence à y avoir des membres (plus de 50) intéressés à participer aux soirées.

Pour voir l'ensemble des autres villes dans le monde : Pour cette deuxième édition, il y a eu deux présentations : 1 – Goodhop : simplifying health Feedback Loops par Frédéric Chaney Frédéric Chaney est un entrepreneur très actif. 1. 2. 3. MyData : renverser la relation consommateur, concrètement. Par Daniel Kaplan le 20/09/11 | 14 commentaires | 5,961 lectures | Impression En 2010, dans l’ouvrage Informatique, Libertés, Identités, nous posions la question : “Que pourrais-je accomplir, moi, si je disposais, sous une forme réellement exploitable, des informations sur mes trajets et mes communications des années passées ?

Pas seulement pour contrôler ce que d’autres en font, mais pour les utiliser à mes propres fins ?” Début 2011, en présentant les résultats de l’expédition de la Fing sur la Confiance numérique, nous allions plus loin : “A terme, la règle doit être simple : si vous savez quelque chose sur moi, je dois posséder la même information et pouvoir l’exploiter.” Le 13 avril 2011, le gouvernement britannique a transformé ce qui n’était encore qu’une perspective hétérodoxe, fragilement appuyée sur un projet de recherche américain et une petite communauté d’innovateurs, en un programme d’ampleur nationale : MyData. “Consumer Empowerment” : nous l’avions rêvé, ils le font. Le Quantified Self au service de la productivité individuelle et collective. Si les utilisateurs et les interactions sociales qui les relient sont la matière première principale du web sur les 5 dernières années (avec l’avènement des médias sociaux), les années suivantes devront composer avec une autre matière première précieuse : les données (cf.

Du contenu roi aux données reines). Les données sont la matière première du géo-marketing, elles permettent d’optimiser l’implantation d’un hypermarché. Elles sont également à la base de l’analyse décisionnelle qui permet de piloter une activité commerciale. Elles permettront bientôt d’adapter notre style de vie et notre comportement à un environnement toujours plus hostile (stress, maladies, bactéries tueuses…). Non seulement les progrès réalisés par les outils de collecte et de partage vont grandement faciliter la constitution de personal data ecosystems, mais les annonceurs, collectivités et organisations vont nous y inciter, car elles apporteront des réponses aux questions que nous ne nous posons pas encore. Où va la "quantification de soi" ? InternetActu | • Mis à jour le | Par Hubert Guillaud De plus en plus d'outils, comme RescueTime, permettent de mesurer le temps passé sur différentes applications : courrier électronique ou navigation web...

Le 28 et 29 mai, s'est tenue à Mountain View la première édition de la conférence Quantified Self (QS) (que l’on pourrait traduire littéralement par "la quantification de soi" pour parler "de la capture, de l’analyse et du partage de ses données personnelles", comme l’explique Emmanuel Gadenne). InternetActu propose un compte rendu des différents ateliers. En observant certains ateliers, on pouvait se demander quel est l’objectif de "cette mesure de soi". Matthew Trentacoste, est étudiant à l’université de la Colombie-Britannique et dirigeait une séance de discussion sur le "suivi de l’attention" aux rencontres du Quantified Self, rapporte Ethan Zuckerman. L’internet n’est pas une pièce calme, explique Matthew Trentacoste. Robin Barooah animait lui une session sur la géolocalisation.