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T3 - L'appropriation des techno de l'info dans les les organisat

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Quatre scénarios d'utilisation du QR code en entreprise. 01net le 16/02/12 à 12h30 Le code à deux dimensions ou QR Code (Quick Response Code) peut être lu directement par le capteur photo d'un smartphone via l'application de lecture dédiée qui aura été préalablement téléchargée. Cet ensemble fait ensuite le relais via internet vers un un site web ou un texte qui s'affiche sur l'écran. Pour les entreprises, cette étiquette se présente comme un outil marketing qui rend les objets « intelligents » en liant le produit physique à son environnement « virtuel ». 1.

Certains produits se vendent mieux lorsqu'ils sont accompagnés de conseils et tutoriaux demandés par les clients. 2. Dans le cas des produits issus de l'industrie agro-alimentaire, il est possible de donner des informations nutritionnelles. 3. Il devient facile, grâce à cette technologie, de mieux cibler ses clients et de se rapprocher d'eux. 4.

Virtualisation

Matériels mobiles. Les projets Big Data ne soulèvent pas les passions parmi les DSI. Big Data, c’est sans doute le dernier terme à la mode dans le secteur de l’IT. Dans les directions marketing des grands acteurs, on a souvent ce mot à la bouche – sans dans le même temps pouvoir formuler une définition claire de ce que recouvre le Big Data. Grossièrement, ce concept consiste à stocker et analyser des grands volumes de données pour en extraire des informations, par exemple sur sa clientèle. Mais une fois évacuée la rumeur marketing qui entoure le sujet, que reste-t-il concrètement ?

Big Data pour la "réactivité et l’interactivité en temps réel" C’est une question à laquelle a essayé de répondre une étude d’IDC (160 entreprises de plus de 200 salariés interrogées), commanditée par EMC, naturellement intéressé commercialement par le Big Data. Faut-il en conclure que le sujet suscite une profonde indifférence parmi les décideurs IT ? 18 % d'utilisateurs des solutions Big Data Mais des projets Big Data, il y a en a malgré tout, à en croire l’étude en tout cas.

Presque. 21% des entreprises françaises utilisent des OS libres. Si des statistiques comme celles de NetApplications tendent à laisser penser que les OS libres sont peu utilisés, la réalité en France serait autre d’après l’Insee. Selon l’enquête de l’institut sur les technologies de l'information et de la communication et le commerce électronique 2011, ce sont 21% des entreprises françaises d’au moins 10 salariés qui utilisent des OS libres (sur au moins un poste). Les OS libres d'abord dans les entreprises de 20 à 249 salariés Des différences en taux d’équipement sont à noter selon le secteur d’activité de l’entreprise et sa taille.

Les OS libres sont ainsi très présents dans le secteur de l’information et de la communication (plus de 50%), mais à moins de 15% dans l’immobilier et le bâtiment. Microsoft Office est bien contesté Inversement, ce sont les sociétés de moins de 250 salariés qui utilisent le plus des logiciels de bureautique libres comme OpenOffice ou LibreOffice. Quand les technologies de l'information s'avèrent névralgiques pour l'entreprise, Stratégies & Leadership. Les TPE françaises privilégient les outils de gestion. Crédit: D.R Les TPE françaises sont très connectées à Internet, à 84%, mais côté usages, elles se contentent d'applications de gestion et délaissent celles tournées vers le commercial. C'est ce qu'indique une étude présentée par Orange et Fiducial. Le numérique est jugé important par les patrons de TPE (entreprises de 20 salariés maximum), mais ce chiffre global reflète des situations diverses. Cinq profils sont définis par l'étude. 32% des patrons de TPE sont des pionniers, impliqués et informés, 25% des suiveurs, 9% sont convaincus de la nécessité du numérique mais restent mal informés et ont besoin d'être aidés, 21% restent à convaincre, 13% seraient même technophobes.

Ces patrons, dans le cadre professionnel, sont très connectés. A 84%. En revanche, leur utilisation des outils numériques reste très classique : la gestion (62%), la veille (55%), les relations fournisseurs (54%), celles avec les partenaires (experts comptables, avocats, banquiers) à 54% également. Sept cas d'usage des outils d'e-réputation. 01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché.

Globalement, tous servent le même dessein : mesurer l’image dans le temps – véhiculée dans la presse, sur le web, sur les forums et, de plus en plus, sur les réseaux sociaux – d’une entreprise, d’un produit ou d’une personne. Retour sur sept cas d’application. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs.

Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 4) Anticiper et alerter.