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NoSQL

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The Apache Cassandra Project - Namoroka. NoSQL - MongoDB et PHP: Première approche - La Ferme du web - Na. NoSQL et MongoDB ne vous dise probablement pas grand chose, mais cela va changer ! NoSQL Si le mot NoSQL ne vous dit rien pour le moment, la tendance devrait bientôt changer dans peu de temps. NoSQL ou "Not only SQL" est un mouvement très récent (2009), qui vous l'aurez compris, concerne les bases de données. L'idée du mouvement est simple: Proposer des alternatives aux bases de données relationnelles pour coller aux nouvelles tendances et architectures du moment, notamment le Cloud Computing. Les axes principaux du NoSQL: haute disponibilité et partitionnement des données, au détriment de la consistance. Alors que les bases de données relationnelles actuelles sont basées sur le concept ACID (Atomicité, Consistance, Isolation, Durabilité), le NoSQL prône l'abandon de ces contraintes.

Le NoSQL s'annonce donc comme une réponse aux limites du relationnel et du monde ACID. Google et BigTableAmazon et SimpleDBFacebook et CassandraLinkedIn et VoldemortEtc. MongoDB article idtitretextedateauteur 1. 01. NoSQL - Wikipédia - Namoroka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, NoSQL désigne une famille de systèmes de gestion de base de données (SGBD) qui s'écarte du paradigme classique des bases relationnelles. L'explicitation du terme la plus populaire de l'acronyme est Not only SQL (« pas seulement SQL » en anglais) même si cette interprétation peut être discutée[1]. La définition exacte de la famille des SGBD NoSQL reste sujette à débat. Le terme se rattache autant à des caractéristiques techniques qu'à une génération historique de SGBD qui a émergé à la fin des années 2000/début des années 2010[2].

D'après Pramod J. Sadalage et Martin Fowler, la raison principale de l'émergence et de l'adoption des SGBD NoSQL serait le développement des clusters de serveurs et la nécessité de posséder un paradigme de bases de données adapté à ce modèle d'infrastructure matérielle[3]. Éléments historiques[modifier | modifier le code] La domination historique des SGBD relationnels[modifier | modifier le code] NoSQL : l’alternative aux SGBD relationnelles qui vient des nuag. Trouver sa communauté. C’est l’un des objectifs annoncés du groupe d’utilisateurs francophones NoSQL, réuni mercredi soir dans les locaux d’Octo Technology, spécialiste de l’architecture des SI. Une première réunion qui doit amorcer une série de rencontres et de débats autour du concept de base de données NoSQL (Not Only SQL), qui, en pleine mouvance d’informatique distribuée, commence à se répandre parmi les communautés d’experts.

Et en effet. Aussi frémissant soit-il, NoSQL est parvenu à fédérer une quarantaine de participants ce mercredi soir, installés dans une salle dès lors trop petite. Il faut dire que NoSQL a le vent en poupe, côté technologie, car il est né avec les ténors du Web 2.0 et du Cloud Computing. NoSQL s’inscrit en ce sens : privilégier la haute disponibilité grâce à de puissantes capacités de partitionnement de données, au détriment de la consistance (les données offrent la même vue à tous, même lors de mises à jour) de ces mêmes données. NoSQL : les SGBDR remis en question - Denis Dollfus' Blog - Namo. L'adoption naissante du Cloud et surtout le buzz qui l'entoure apportent aux développeurs et architectes de nouvelles idées qui secouent certaines habitudes qu'on croyait aller de soi. Le composant qui souffre le plus est un de ceux qui semble pourtant le mieux installé dans la durée : la base de données relationnelle. A peu près tous les fournisseurs de cloud proposent en effet un service de stockage dans lequel le côté "relationnel" a disparu en même temps que le langage de requête SQL.

C'est le cas entre autres de SimpleDB d'Amazon, BigTable de Google et Azure Storage de Microsoft (et non le très relationnel MS SQL Data Service), qui ont en commun de booster la disponibilité et la partitionabilité au dépend de la consistance des données, conformément au théorème de CAP (cf. USI-2009/Le Touilleur Express). "Faire réfléchir" c'est peu dire. Le Cloud va-t-il réussir là où les bases de données orientées objets ont échoué ? Le premier groupe d’utilisateurs NoSQL français a vu le jour - N.

Faut-il en finir avec la mode NoSQL ? Ou est-ce plus qu'une simp. NoSQL, une réponse aux limites du relationnel - Namoroka. Il n'est pas commode de s'affranchir de la mainmise des bases relationnelles en matière de gestion de données. C'est pourtant à cela que s'emploie un groupe d'acteurs depuis quelques mois, mettant en avant les limites du modèles R pour certains types d'applications distribuées à fort trafic et traitant des volumes de données énormes. Le groupe NoSQL, qui s'est constitué au printemps dernier, vise en premier lieu à démontrer qu'il existe désormais des solutions alternatives utilisées au sein de systèmes exigeants. L'objectif est évidemment d'obtenir une meilleure disponibilité des données, au moyen de capacités de partitionnement étendues mais au prix d'un relâchement des contraintes des propriétés ACID.

Ces nouvelles bases ont souvent vu le jour en tant que projets internes des grands sites de commerce, ou de recherche. Ainsi, Bigtable, dont le développement à commencé en 2004, gère la plupart des données de Google, une référence presque absolue en termes de volume et de performances. De MySQL à NoSQL - Namoroka. C’est désormais récurrent, de plus en plus d’infrastructures optimisent leurs modèles LAMP (Linux MySQL Apache et PHP) en y ajoutant des systèmes de stockage mémoire. La mode actuelle est au NoSQL. En effet après 20 ans de bons et loyaux services les bases de données relationnelles sont de moins en moins sollicitées sur les sites ayant des problématiques de volume très importants. Le volume des données et le nombre d’utilisateurs simultanés de plus en plus importants demandent aujourd’hui des outils extrêmement rapides ou la quasi totalité des données est rapatriée dans la mémoire de plusieurs clusters de serveurs.

La puissance des CPU, les quantités de mémoire disponibles permettent en effet de mettre en place des systèmes de stockage mémoire extrêmement performants. Si ces modèles vous intéressent je vous conseille de regarder les projets HBase ou cassandra. A retenir donc pour vos prochaines évolutions, l’ajout d’un système de cache mémoire pour optimiser votre architecture globale.

NoSQL se structure : HBase promu chez Apache, Cassandra enrichi. Les promesses technologiques faites par le mouvement NoSQL auraient-elles été entendues ? Alors que les bases de données non-relationnelles s’engouffrent petit à petit dans les infrastructures des coqueluches des réseaux sociaux, comme Facebook, Twitter ou encore Digg, une succession d’informations publiées cette semaine viennent ajouter de l’eau au moulin du mouvement NoSQL. Pour mémoire, NoSQL (Not Only SQL) vise à palier les limites de performances du modèle relationnel en cas d’importants volumes de données en proposant une architecture alternative qui privilégie notamment la haute disponibilité et la partionnabilité (au détriment de la consistance des données comme l’indique le théorême de Cap). Ces bases NoSQL ont pour nom Voldemort, Cassandra et HBase, notamment. HBase promu chez Apache, bientôt avec Azure Cette dernière est justement au coeur de l’actualité. Un point qui pourrait d’ailleurs avoir séduit Microsoft.

Un support commercial pour Cassandra En complément : NoSQL | BI experience - Namoroka. NoSQL. La fin d'un mythe ? - Namoroka. Comme pas mal d'autres chercheurs en bases de données, j'ai développé avec le temps une schizophrénie certaine. J'enseigne les bases de données relationnelles et je parle aux élèves de la beauté du calcul relationnel (First-order logic, les petits!)

, de l'algèbre relationnelle, et de notre standard SQL. Et à coté, j'aligné la recherche sur des données N1NF, des données déductives, des données objet, des données semistructurées; autant d'agressions contre le dogme relationnel. Et si on trouvait toujours quelqu'un pour nous dire que ça ne servait rien, que le monde était relationnel, ça ne nous a jamais empêché de vivre.

Et puis est arrivé XML qui est devenu un standard pour les données, plus standard que le standard relationnel. A l'occasion, on en a profité pour réaliser que maintenant que tout le monde programmait en objet, les bases de données objets s'imposaient sans combat. Même la déduction qui revevait à la mode! Une rumeur venue des US: Le monde devient NoSQL! Késako NoSQL?

Découvrir les bases NoSQL - Paperblog - Namoroka. Les bases de données traditionnelles (relationnelles) sont depuis peu remises en question avec l’apparition du mouvement NoSQL (Not Only SQL). Difficile de ne pas se poser de questions sur ce sujet quand les acteurs principaux de l’Internet bousculent leurs propres habitudes. En effet, histoire de se faire peur, on ne pourrait citer que Amazon, Google, Microsoft ou Apache par exemple. Ce mouvement est plutôt récent à la différence de la technique, qui d’après certaines personnes pourrait elle avoir plus de 10ans. Le buzz a eu lieu à San Francisco lors d’une conférence qui a rassemblé environ 150 développeurs en Juin dernier (2009). Un compte rendu est d’ailleurs disponible sur le blog de Johan Oskarsson, ancien développeur de chez Last.fm et contributeur au projet Apache Cassandra. Depuis l’histoire continue avec les migrations de Digg, Facebook ou la rumeur qui concernait Twitter (depuis confirmée dans une interview de Ryan King, ingénieur chez Twitter, @rk).

Classé dans :Développement. Le mouvement NoSQL annonce-t-il la chute de l’empire Oracle ? | {*style:<b>La petite sauterie NoSQL continue à faire des vagues. De quoi déstabiliser le titan du relationnel ? </b>*} Le cloud est-il la comète qui va précipiter la fin du SGBD relationnel… On en est loin, très loin même. Toutefois, depuis la réunion de la communauté NoSQL du 13 juin, la vague ne retombe pas. Aujourd’hui on peut légitimement se poser la question. Franchement après le flop des bases objets et des bases XML natives, l’arrivée des bases en colonnes m’a semblé au début comme un magnifique exercice de style qui allait rapidement disparaitre dans l’ombre des technologies révolutionnaires rapidement étouffées sous le poids de la réalité, ou disons le poids de l’existant.

De même MapReduce et plus généralement les solutions MPP de nouvelle génération apportent un sacré bol d’air frais dans le monde du cluster haute performance dont la mise en œuvre s’apparente au lancement d’une Saturn V par la Nasa, un jour d’orage. Reste l’OLTP. Article liés Oubliez Ingres, voici . . . 5.FreshMinutes.IT – Java & IT Introduction au NoSQL (et de Redis. Je suis depuis quelque temps ce qui se passe du côté du NoSQL, un terme apparu récemment dans la bouche des architectes. En effet, le Java n’est rien sans un système de stockage.

En l’état actuel des choses, on voit à cela deux solutions: le système de fichiers ou la base de données relationnelles telle qu’Oracle. Mais il existe d’autres alternatives! Ce 16 Février avait lieu une nouvelle session du NoSQL User Group à Paris, chez Octo Technology, avec comme invité Tim Anglade et Frank Denis. Tim Anglade nous a fait part pendant une intéressante heure de la NoSQL sphere. Le départ du NoSQL Un peu d’histoire: le modèle des bases relationnelles, le concept le plus utilisé actuellement, a été mis sur le devant de la scène en 1970 par IBM. Les propriétés ACID sont quatre propriétés essentielles d’un sous-système de traitement de transactions d’un système de gestion de base de données. Atomicité : une transaction doit soit être complètement validée ou complètement annulée. Source: Wikipédia. NoSQL - Namoroka. Les solutions permettant de modéliser, stocker et parcourir de façon efficiente des graphes ont profité de plusieurs éléments qui les ont rendues populaires ces dernières années.

Le premier élément aidant à leur démocratisation est l’explosion des réseaux sociaux. Un cas d’usage évident, facile à comprendre même si, étrangement, les solutions mises en œuvre ne sont pas forcément de « type graphe » (par exemple avec FlockDB chez Twitter). Le second est lié au mouvement NoSQL qui a aidé à diffuser l’idée que la base relationnelle n’est pas la seule solution de stockage et de requêtage. Enfin, et même si la théorie des graphes n’est pas neuve, les algorithmes sous-jacents et certaines implémentations ont atteint un niveau de maturité permettant la « commoditisation » de ces technologies, les aidant du même coup à sortir de zones très spécifiques.

Alors qu’est-ce qu’un graphe? (Lire la suite…)