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Neurologie

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Jumping genes' create diversity in human brain cells. Rather than sticking to a single DNA script, human brain cells harbor astonishing genomic variability, according to scientists at the Salk Institute for Biological Studies. The findings, to be published in the Aug. 5, 2009, advance online edition of Nature, could help explain brain development and individuality, as well as lead to a better understanding of neurological disease.

The team, led by Fred Gage, Ph.D., a professor in the Salk's Laboratory of Genetics and holder of the Vi and John Adler Chair for Research on Age-Related Neurodegenerative Diseases, found that human brain cells contain an unexpected number of so-called mobile elements—extraordinary pieces of DNA that insert extra copies of themselves throughout the genome using a "copy and paste" mechanism. "This is a potential mechanism to create the neural diversity that makes each person unique," says Gage. The only other human cells known to remodel their genome are the cells of the immune system. Comment fonctionnent nos neurones? Radio. Le cerveau vu grâce à l'IRM de diffuson DR © Radio France Le cerveau est, sans conteste, l’organe le plus fascinant du corps humain.

Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont commencé à percer ses secrets les plus intimes. L’un des derniers en date est celui qui fait la Une du magazine Science et Vie du mois d’octobre. Nos cellules nerveuses, les neurones, seraient capables de modifier leur propre génome ! Elles s’affranchiraient ainsi de la loi qui régit pourtant toutes les cellules du corps humain. L’auteur de cette découverte n’est autre que l’Américain Fred Gage, celui qui avait démontré, en 1998, que les neurones se régénèrent sans cesse au cours de la vie.

Parallèlement aux découvertes dues à de la génétique et à l’étude des cellules nerveuses elles-même, se développe une autre exploration du cerveau qui concerne le fonctionnement des quelque 100 milliards de neurones qu’il contient. Peut-on percevoir les progrès encore possible dans ce domaine ? Invités: Radio : Vidéos : L'ADN poubelle se rebelle. Array. Array. L'ADN poubelle se rebelle - LMOUS L'ADN non codant, représentant 98% du génome humain, serait finalement actif ! La plupart des généticiens estimaient jusque-là qu'il ne servait strictement à rien... c'est (un brin) ballot. Dans le domaine de la génétique, la décennie passée aura sans aucun doute été la plus fructueuse. "Fructueuse", ou "désastreuse", c'est selon. Où y a de la gêne (éthique), y a pas de plaisir... Pour faire simple, on considérait jusqu'à récemment que les gènes (actifs) codaient pour une protéine, et que les gènes considérés comme inactifs codaient... pour des prunes.

Le gène tique, et fait des sauts de puces : des gènes "sauteurs" (les transposons) se déplacent très facilement (et très régulièrement pour certains) au sein d'un chromosome. Epi(dé)génétique Et, cerise sur le chromosome, ces modifications que nous appelons "épigénétiques" sont tout bonnement transmissibles à nos bambins... sur plusieurs générations. Chauffards, rassurez-vous ! VARIATIONS GENOMIQUE Basquiat. Retour au sommaire Article. Fred Gage. Gènes "sauteurs" au sein des neurones humains. Par Jean-Paul Baquiast 18/08/2009 Dans les brèves d'actualité de ce numéro ( nous avions relaté la découverte d'une équipe de biologistes québécois selon laquelle il apparaît que dans certains organismes, notamment chez les humains, toutes les cellules du corps n'ont pas nécessairement le même ADN, contrairement à ce qu'avait laissé croire jusqu'à présent l'habitude d'utiliser les cellules sanguines pour déterminer les génomes des cellules des patients.

Nous avions indiqué que cette découverte apporte selon nous un argument de poids à la théorie de l'ontophylogenèse présentée par Jean-Jacques Kupiec et plusieurs fois mentionnée dans notre revue. . (1) Les éléments de réponse à cette question ne devraient pas manquer. Voir par exemple l'article "Traffic jam in brain causes schizophrenia symptoms" publié également par PhysOrg. Genetique la decouverte qui vous concerne. Ontophylogenèse Kupiec. Dans la mesure où nous donnons un rôle important à la théorie de l’ontophylogenèse pour comprendre l’évolution passée et future des systèmes anthropotechniques, il est important de remarquer que beaucoup d’observations récentes semblent amplement confirmer les hypothèses de Jean-Jacques Kupiec.

Rappelons que celui-ci insiste sur l’absence d’un modèle déterministe dans le domaine génétique. Les génomes comme les protéines, les cellules et les organismes résultant de l’expression des gènes sont soumis à des processus aléatoires où jouent à tous niveaux le processus darwinien de mutation-sélection. En voici quelques illustrations recueillies dans des publications récentes.

Les différentes cellules d'un même organisme n'ont pas nécessairement le même ADN Cette observation est importante. Au plan épistémologique, il est inutile de souligner l'importance de cette découverte, si elle était confirmée. L’auto-organisation des protéines dans les bactéries. Transformations génomiques dans le cerveau. Programmation cellulaire et neurologie. Publicité Il y a plus de cinquante ans, dans une étude innovante qui constituait un véritable tour de force technique, John Gurdon (Wellcome Trust, Cancer Research UK, Cambridge, Royaume-Uni) a montré que le noyau de chaque cellule du corps contient toutes les informations nécessaires pour le développement d’un embryon. Cette démonstration constitue la base du clonage embryonnaire qui allait donner naissance à la brebis Dolly. Lors d’une étape ultérieure, au début des années 1980, les cellules souches embryonnaires, pluripotentes chez le jeune embryon, ont été identifiées : celles-ci conservent la capacité d’évoluer pour donner naissance à tous les types de cellules.

La fin des années 1990 a vu le développement des techniques de transformation des cultures de cellules souches embryonnaires en divers types cellulaires, avec leurs caractéristiques spécifiques, par exemple sous la forme de cellules nerveuses. Les progrès techniques récents offrent une solution à ces deux dilemmes. La nanomédecine voie vers le cerveau. Brain Campaign. This is the French language translation of the public education booklet. This translation was made for IBRO by: The British Neuroscience Association (BNA) commissioned the booklet for the purposes of teaching young people in the UK about the brain and neuroscience, the science of the brain. The booklet contains short explanatory chapters on different subjects written by experts in each topic.

The original booklet was published in 2004. In 2005, the International Brain Research Organisation (IBRO) purchased the copyright of the booklet. We have commissioned members of our organisation to translate the booklet in multiple languages. Access the material by chapter: Front cover and contents. Le cerveau humain face au « cerveau » de la machine. Toxoplasmose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La maladie est présente partout dans le monde et on estime qu’un tiers de la population mondiale est infectée par Toxoplasma gondii[3].

Sa prévalence chez l’être humain est variable. Pour les adultes présentant une séropositivité au toxoplasme (et donc une immunité à une réinfection), la prévalence est faible en Asie ou en Amérique[5],[6], elle est inférieure à 30 % dans les pays scandinaves et dans le Royaume-Uni, elle va de 20 à 50 % en Europe du Sud ainsi que dans les régions humides de l’Afrique et elle va de 50 à 70 % en Europe de l’Ouest[7]. La toxoplasmose est transmise par la mère à son fœtus. En France en 2003, la séroprévalence chez la femme enceinte était de près de 44 %[8]. Le risque et la gravité que le fœtus soit atteint dépend du stade de la grossesse. Historique[modifier | modifier le code] La classification reste cependant incertaine et seuls les stades asexués, merozoïtes et kystes tissulaires, sont alors connus. L’oocyste.