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Sri Lanka's war crimes

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Le Sri Lanka lance sa commission d'enquête sur la guerre civile. La "Commission sur les leçons tirées et la réconciliation", nommée par le président Mahinda Rajapaksa, s'est réunie pour la première fois mercredi. Ses travaux porteront sur la dernière phase du conflit long de 25 ans qui s'est achevé en mai 2009 par la reddition des derniers Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE).

Le Sri Lanka a été accusé d'exactions et de violations des droits de l'homme lors de cette phase du conflit. Des milliers de civils auraient péri dans les derniers jours des hostilités. Rajapaksa a refusé la demande de pays occidentaux de mener une enquête indépendante, et a désigné sa propre commission qu'il présente comme un moyen d'éviter de nouveaux conflits ethniques. "Si des éléments indiquant que des crimes de guerre ont été commis font surface, nous les examinerons", a déclaré à Reuters le président de la commission, l'ancien procureur général du gouvernement C.R.

"Toute cette commission n'est qu'un moyen pour le président de se blanchir. Par. Foreign Policy in Focus | War Crimes in Sri Lanka - Firefox. This week, Sri Lankan voters go to the polls to elect a new president. No matter the victor, neither of the two main candidates is likely to provide the justice and closure that Sri Lanka’s thousands of war victims deserve. In 2007-8, I was a member of an independent international advisory group observing Sri Lanka’s investigation of human rights violations dating from 2006. I concluded that the government lacked the political will to hold accountable the perpetrators of these egregious crimes.

When the United Nations secretary-general said this month that he is considering naming a commission of experts to “assist the government” of Sri Lanka to look at evidence its soldiers committed war crimes last year, my reaction was a chilling feeling of déjà-vu. President Mahinda Rajapaksa established a domestic Commission of Inquiry in 2006 to investigate 16 cases of grave human rights violations by government forces and the Tamil Tigers.

A Failed Commission New Evidence In October, the U.S. L'ONU nomme un groupe d’experts sur les crimes de guerre au Sri. Ban Ki-moon le secrétaire général de l’ONU a nommé le 22 juin 2010, un groupe de trois experts chargés de réfléchir sur les possibles violations de droits de l'homme à la fin de la guerre au Sri Lanka. Une guerre qui a opposé l’armée aux Tigres tamouls. La mission de ce groupe d’une durée de quatre mois, sera purement consultative. Ce que critique Human Right Watch, organisation de défense des droits de l’homme. Avec notre correspondant à New York, Philippe Bolopion Le panel mis en place par l’ONU n’est pas l’équivalent d’une commission d’enquête. Le rôle du panel sera simplement de conseiller le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon.

Selon l’International Crisis Group, des dizaines de milliers de civils, hommes, femmes et enfants, ont été tués de janvier à mai 2009 principalement dans des bombardements de l’armée. En créant un panel, Ban Ki-moon le rappelle à ses obligations. Le Sri Lanka refuse les experts de l'ONU - CONFLIT ARME RELATION. Révélations sur des massacres de rebelles tamouls au Sri Lanka | Des chefs rebelles des Tigres tamouls ont été abattus en mai 2009 au Sri Lanka alors que la Norvège, ancien médiateur dans le conflit, avait arrangé leur reddition. C'est un responsable politique norvégien qui l'affirme selon la presse sri-lankaise.

Des rebelles tamouls abattus après avoir accepté de se rendre. Cette accusation, récurrente au sein des organisations de défense des droits de l'homme, a été confortée dimanche 27 juin 2010 par Erik Solheim, ministre du Développement international. Le ministre a déclaré à des journalistes sri-lankais en visite à Oslo, qu'en mai 2009 il avait convaincu plusieurs responsables de la rébellion tamoule de se rendre. Quelques heures plus tard, il affirme avoir appris que ces mêmes rebelles avaient été abattus par l'armée sri-lankaise. Les affirmations du ministre norvégien laissent penser que cette victoire s'est faite au prix de graves violations des droits de l'homme.