Fashion and technology - wearables. I just bought more than 1 million …Facebook data entries. OMG! /updated/ | Digital Marketing Bytes. Comment empêcher Google de vous pister en ligne ? - francetv info - Pale Moon. Votre lieu de connexion, le nom de votre navigateur, votre sexe, votre âge et même la vitesse à laquelle vous lisez... Lorsque vous parcourez une page web, "Big Brother", alias Google, sait potentiellement tout de vous.
Les dernières révélations du site 01net, publiées vendredi 8 mai, ne devraient rien arranger. Non content de connaître vos moindres mouvements sur la toile, le géant de Mountain View est désormais capable d'estimer la légalité du contenu de vos mails. Bonne nouvelle : il est peut-être encore temps de disparaître des écrans radars. Prenez la mesure du problème Si vous possédez un compte Google, il existe un moyen simple de vérifier ce que la firme sait de vous. Il vous suffit d'accéder à la page paramètres des annonces : Google vous offre un récapitulatif de votre profil, tel qu'il est utilisé pour la publicité ciblée lors de votre navigation.
En vous rendant sur votre tableau de bord Google, l'envie de rire devrait commencer à passer. C'est grave, docteur ?
The Holocaust Just Got More Shocking. Our world from the ISS. Image locations (latitude and longitude) are approximate, based on (1) description in tweet text, (2) general "look" of geography, and (3) "reasonable fit" in Google Earth &/or ArcMap. The routine is: (1) read tweet from @Cmdr_Hadfield, @AstroMarshburn, or related to ISS Missions 34 & 35; (2) determine lat-long; (3) fill-in a Google Drive spreadsheet with date, tweet description (& date-time Atlantic), tweet source, tweet URL (same as clicking the short URL in the tweet), photo URL (by right-clicking the photo, one can "copy image URL"), and lat-long; (4) when this map opens, it reads the spreadsheet and displays a click-able satellite icon at each lat-long. Using the map: A similar map for Missions 36-37 with @AstroKarenN and @astroluca tweets is bit.ly/karenluca (new window).
To see subsets of these presented in story-map format, try bit.ly/CanSpace and bit.ly/ListSpace (new window). Like books? Actual Pokemons. La Naegleria fowleri ou Amibe mangeuse de cerveau Cette bestiole de quelques micro-mètres est responsable de l’infection de 128 Américains depuis 1962 (un seul a survécu) . Ce qui ressemble à un sourire est un amoebastome, une sorte de suçoir grâce auquel elle engloutit les bactéries et parfois même ses propres congénères ! Elle peut se trouver dans les lacs et les eaux saumâtres ou même dans les piscines mal entretenues. Cette amibe pénètre dans le nez des nageurs et remonte jusqu’à leur cerveau où elle dévore les neurones, il lui faut alors entre 1 et 5 jours pour provoquer migraines, fièvres et vomissements. Il n’existe aucun traitement et les chances de s’en sortir sont inférieurs à 3%.
Source: Le magazine Ça m’intéresse - Les mystères du corps en 250 questions. Jonah Lehrer plagiarism in Wired.com: An investigation into plagiarism, quotes, and factual inaccuracies. Photo by Thos Robinson/Getty Images for World Science Festival. For the past three months, Jonah Lehrer, science journalist, author of three books, and (former) New Yorker staff writer has been under siege. In mid-June, he was accused of recycling his old work and publishing it as new.
Since then, a number of accounts assert that Lehrer committed the two mortal sins of journalism: fabrication and plagiarism. Before Lehrer joined The New Yorker, he was one of the premier bloggers at Wired.com; the site still boasts several hundred blog posts he wrote for his Frontal Cortex blog. That's where I came in.
My task was not to decide whether Lehrer got everything right—every journalist makes mistakes and misinterprets things—but to determine whether he recycled, fabricated, plagiarized, or otherwise breached journalistic ethics. I soon came to the conclusion that he had. Lehrer has been recycling his material for years; he was doing it in 2008 and probably even earlier.
Durak. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Durak est un jeu de cartes d'origine russe se jouant généralement de deux à six joueurs, avec un jeu de 36 cartes (jeu de 32 cartes plus les 6). But du jeu[modifier | modifier le code] Le but de chaque joueur est de se débarrasser le plus rapidement possible de la totalité de ses cartes. Ordre des cartes[modifier | modifier le code] L'ordre des cartes est le suivant, de la plus faible à la plus forte : 6, 7, 8, 9, 10, Valet, Dame, Roi, As. N'importe quelle carte d'atout est plus forte que toutes les cartes des autres couleurs. Déroulement d'une partie[modifier | modifier le code] Au début de la première partie, il convient de désigner un Durak afin de savoir qui joue en premier et qui distribue.
Le Durak distribue 6 cartes à chaque joueur, les cartes en trop formant la pioche. La partie se déroule de la façon suivante : Le premier attaquant est le joueur situé à la droite du Durak, le Durak étant le premier défenseur. Durak Portail des jeux. Les utilisateurs d'Internet Explorer moins intelligents... ou victimes d'un hoax (màj) Un si beau troll, trop beau pour être vrai ? De sérieux soupçons pèsent sur « l'étude » (voir plus bas) affirmant que les utilisateurs d'Internet Explorer étaient moins intelligents que les autres internautes. Après qu'elle a connu un très important relai médiatique, il apparait que le soi-disant cabinet qui en est à l'origine n'a qu'une existence toute relative.
Si le canular est avéré, ses auteurs auront réussi à attirer l'attention de centaines de médias en ligne (dont Clubic, qui s'en trouve bien marri), parmi lesquels de vénérables institutions telles que la BBC britannique... laquelle lève aujourd'hui le voile sur un certain nombre d'éléments qui poussent à sérieusement douter, si ce n'est rejeter en bloc, les fondements de cette étude pour le moins insolite affirmant qu'on pouvait observer des différences de QI entre utilisateurs de navigateurs différents.
Publication initiale, 29 juillet, 17h45 : Lour pictures revealed of London blitz from Nazi bombers in World War II. By Daily Mail Reporter Updated: 17:42 GMT, 20 July 2011 For many, photographs from the World War II have only been seen in grainy black and white. But now, new colour images have emerged that show the full horror of the destruction inflicted by Nazi bombings across London. The powerful images were released to mark the 70th anniversary of the launch of Winston Churchill's 'V for Victory' campaign on July 19, 1941. Clearing up: Workers remove rubble from a building decimated in a heavy German air raid during the Blitz.
Wallpaper inside the shattered bedrooms can even be seen in the gap left in the row of houses Standing tall: The spire of the Central Criminal Court - better known as the Old Bailey - rises defiantly while all around it buildings have become jagged shells in a landscape scarred by the relentless German bombings On the night of October 14 1940, a bomb penetrated the road and exploded in Balham Underground station, killing 68 people.
Incitation à la fraude.
Chroniques de pingouin. MecanoBlog. Rroms - Romas. Talhotblond. Talhotblond is a 2009 documentary, detailing an Internet love triangle which resulted in a real life homicide, in a case called the "Internet Chatroom Murder. " Thomas Montgomery (screen name: marinesniper), a 47-year-old married man, pleaded guilty to murdering his co-worker, 22-year-old Brian Barrett (screen name: beefcake).
The two men were involved in a love triangle with "Jessi," an 18 year old girl with the screen name 'talhotblond'. While both men knew each other from work, neither had ever met "Jessi" in person. However, "Jessi" was a real person, but it was actually her mother, Mary Shieler, who was posing as her daughter, online. Jessi was unaware of her mother's actions until after Barrett had been murdered and her mother's role in the case became widely known.
The film's TV rights were sold to MSNBC. Awards[edit] Lifetime movie[edit] References[edit] External links[edit]
Europe, nations et histoire - Big Blogger - Mozilla Firefox. Choc des civilisations: l’erreur de Huntington « Cratyle.net. En repensant aux déclarations successives de Nicolas Sarkozy sur la « confrontation entre l’Islam et l’occident », à les lire notamment chez Jean Quatremer , je ne peux pas ne pas me souvenir de la célèbre introduction du « choc des civilisations ». Développant l’article qu’il avait publié en 1993, Huntington y traçait les principes épistémologiques de son travail. Le choc des civilisation était une « théorie causale »: il ne s’agissait bien sur pas d’un impératif moral, pas non plus d’une exacte description de la réalité, mais bien plus modestement « d’un modèle qui rend compte d’événements décisifs et permet de comprendre les tendances mieux que d’autres modèles d’un niveau voisin d’abstraction ».
Dans l’esprit de son concepteur, le « choc des civilisations » n’était en rien souhaitable, il n’exprimait pas même une vérité intrinsèque du monde. Quinze ans après l’article de Huntington, le modèle du choc des civilisations a été partout repris et discuté. Il l’a bien mal fait. On ne voit que ce qu'on regarde. Les sciences exactes ne servent pas qu’à empêcher les adolescents d’être heureux au collège.
Elles apprennent la rigueur. Et l’économie, si elle n’est pas une science exacte, utilise ces sciences pour étudier le comportement humain avec cette rigueur. Et s’il est une leçon que l’économie donne à tous, c’est précisément de se méfier des fausses évidences, des erreurs de corrélation (croire que si A et b augmentent simultanément c’est que A et B sont liés), et de rechercher les vraies causes d’un phénomène. Deux ouvrages vous en feront la démonstration : “Freakonomics”, de Steven D. Levitt et Stephen J. Dubner, traduction Anatole Muchnik (qui notamment vous démontrera que la plus spectaculaire baisse de la criminalité aux États-Unis n’a rien à voir avec la politique de “tolérance zéro” de M.
Giuliani, mais doit tout à une jeune fille de 21 ans qui ne voulait pas être enceinte), et “Sexe, drogue… et économie : Pas de sujet tabou pour les économistes !” La honte est sur nous et pas sur eux. The Most Dangerous Places in the World - Jeffrey Goldberg - International. Democracy Digest Bulletin.