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Muslim brotherhood implication in the Egyptian protests

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It's not the Muslim Brotherhood, stupid. While we watch the still uncertain outcome of Cairo's unrest, I want to comment on the fear being articulated in parts of the media, but also internationally, that we might be witnessing the birth of an Islamic republic of Egypt. This is nonsense, and here are the reasons why. First, the protests were not begun, nor have they been led by, Egypt's largest and best organised opposition group, the Muslim Brotherhood (Ikhwan al-Muslimoon). Indeed, when the protests were first called for, the Brotherhood was equivocating about getting involved. That it did subsequently back the protests after a couple of days reflected its own assessment of how serious the situation was.

Egypte: la stratégie des Frères musulmans en question. Réprimés depuis plus de 50 ans, absents des premiers jours de contestation, les Frères musulmans, qui représentent aujourd'hui la principale force d'opposition en Egypte, se gardent pour l'instant d'occuper le premier plan des manifestations, mais ils pourraient devenir très rapidement une force incontournable.

Egypte: la stratégie des Frères musulmans en question

La lutte contre l'islamisme a toujours été une des priorités d'Hosni Moubarak. Officiellement interdite depuis plus de 50 ans, la confrérie est pourtant tolérée. Mais à la condition que ses membres ne s'en réclament pas. « Si les Frères musulmans ne sont pas une organisation reconnue politiquement », explique Salma Belaala, spécialiste des mouvements islamistes, si certains de ses membres ont été physiquement persécutés, « les Frères musulmans n'en sont pas moins très présents dans la société civile égyptienne » à différents niveaux : La contestation prise en marche.

It's not the Muslim Brotherhood, stupid.