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Bashar Asad - Bachar al-Assad

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Les coulisses de l'interview de Bachar el-Assad par Georges Malbrunot - Syrie. RFI : Georges Malbrunot, racontez-nous d’abord les coulisses de cet entretien. Rencontrer Bachar el-Assad dans le contexte actuel, on imagine que cela nécessite beaucoup d’efforts et de patience. Ce fut le cas ? Georges Malbrunot : Oui, effectivement. J’avais demandé une interview, je me souviens fin 2011. Donc vous voyez, ça ne date pas d’hier, comme la plupart, j’imagine, des spécialistes de cette question. Il suffisait d’attendre un mois, six mois, deux ans ou des années. Et donc, on m’a dit samedi soir quand je suis arrivé à Damas, alors que je ne venais pas pour ça, je n’avais pas eu de contact juste avant à propos de cette affaire-là, que l’interview pourrait avoir lieu prochainement.

Et le bureau de presse ma dit : ce serait bien que vous envoyiez cinq questions écrites. Le lendemain, j’ai vu le service de presse de la présidence, on a cadré l’interview. Et le lendemain, l’interview a eu lieu à 10 heures. C’est une interview qui s’est faite de manière très classique. Notre reporter raconte les coulisses de sa rencontre avec Assad. Le chef de l'État syrien a accordé lundi matin un entretien exclusif à notre envoyé spécial dans une maison proche de Damas. L'entretien s'est tenu exactement à l'heure prévue, lundi à 10 heures, dans une maison située dans une pinède sur une colline de Damas, en dehors du palais présidentiel.

Nous avons franchi un seul barrage avant d'y arriver. La sécurité alentour paraissait minimale. Je n'ai pas été fouillé. On m'a simplement pris mon téléphone portable et mon enregistreur. Bachar el-Assad est venu m'accueillir sous le porche à l'entrée. Nous avons pénétré dans un grand bureau orné de tableaux. Dimanche soir, son entourage m'avait demandé d'envoyer cinq questions écrites. Liban: un haut fonctionnaire syrien assassiné dans le sud du pays - Liban / Syrie.

Jamais encore un haut responsable syrien n’avait été abattu sur le sol libanais. Un groupe d’hommes armés a ouvert le feu sur Mohammad Darrar Jamo, le directeur de la section politique et des relations internationales au sein de l’Organisation mondiale pour les immigrés arabes. L’attaque s’est produite tôt ce matin, mercredi 17 juillet. Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh L’assassinat de Mohammad Darrar Jamo prouve que les Syriens, proches du régime, ne sont plus à l’abri au Liban, pas même dans le sud du pays, un fief du Hezbollah censé être sûr et sécurisé.

Très actif dans les milieux de l’immigration syrienne, Mohammad Jamo a été attaqué à l’aube, alors qu’il rejoignait son domicile à Sarafand, une ville côtière à 50 kilomètres au sud de Beyrouth. Convoi du Hezbollah attaqué Les alliés libanais de Damas sont aussi de plus en plus visés par des attaques non revendiquées. Behind Bashar Assad's popularity in Syria. Vanessa Newby is a PhD candidate at Griffith University, studying Arabic in the Middle East.

What strikes you first about the political culture in Damascus, is that the status of the name of the President is similar to that of Voldemort in Harry Potter. Quite simply, no one speaks his name. Resident foreigners adopt various pseudonyms when referring to him. On the surface, Syrian society appears to have been completely depoliticised. Until now that is. Last Friday (25 March) from mid-afternoon, until five-am in the morning, the city echoed with the sound of horns blasting and chanting in support of the President. Friday was designated a 'Day of Dignity' in Syria. As I walked the streets of the city, I got the sense that demonstrators were looking for a fight. The media until recently, attributed the lack of revolutionary spirit in Syria to the popularity of the President. Another friend in her mid-twenties told me about her school life under Hafez. This view is not universal of course. Exclusive: U.S. official sought Clinton-Assad meeting in 2009.

Exclusive: Organizer of Gaza flotilla sought assistance from Assad's office. Bashar Assad emails leaked, tips for ABC interview revealed. Is Assad Crazy? - By Bruce Bueno de Mesquita and Alastair Smith. The assessments of Syrian President Bashar al-Assad following his interview with Barbara Walters in early December all strike a common theme. A U.S. State Department spokesman, for instance, declared that Assad appears to be "utterly disconnected with the reality that's going on in his country. " One analyst opined, "It's now clear that Assad meets his own definition of crazy. " What prompted these conclusions was Assad's answer when Walters asked, "Do you think that your forces cracked down too hard? " He replied, "They are not my forces; they are military forces belong [sic] to the government.… I don't own them.

I am president. Following the logic we set out in The Dictator's Handbook, we believe Assad has been misunderstood and maybe, just maybe, even misjudged. Assad is no exception. Assad depends on the backing of key members of the Alawite clan, a quasi-Shiite group consisting of between 12 and 15 percent of Syria's mostly Sunni population. Salah Malkawi/ Getty Images.