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Neurobiologie et philosophie - Guillaume Pigeard de Gurbert. Une conférence de 18 minutes de Jean-Pol TASSIN qui propose une plongée dans le cerveau où l’on peut puiser une définition de la philosophie (à partir de la 12ème minute). Un dispositif neuronal glutamique sert à recevoir les données extérieures, un autre, modulateur, permet de réguler ces données, de les « moduler ». Au cours des quinze premières années de la vie, ces deux dispositifs se couplent progressivement jusqu’à atteindre un équilibre qui empêche que le dispositif réceptif soit livré à lui-même et bascule dans la démesure comme on le voit chez l’enfant dont les émotions fonctionnent en régime excessif.

C’est ce couplage des deux dispositifs, réceptif et modulateur, que la pharmacodépendance détruit, de façon irréversible, « libérant » la face sensible du cerveau du contrôle cérébral. Les données ne sont plus traitées mais simplement reçues, dans une violence sans mesure. 1 : Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Philosophie Des neurosciences à la philosophie. Neurophilosophie et philosophie des neurosciences Éditeur : Syllepse * Cet article est accompagné d'un disclaimer. Pour le consulter, cliquez sur le footer situé en dessous. Georges Canguilhem écrivait : "La philosophie est une réflexion pour qui toute matière étrangère est bonne, et nous dirions volontiers pour qui toute bonne matière doit être étrangère.

" Philosophie des neurosciences La première partie est ainsi consacrée à l’épistémologie des neurosciences : les méthodes qu’elles utilisent, le type d’explication qu’elles fournissent ou encore leurs rapports avec les autres sciences. C’est à ce dernier stade, d’ailleurs que se posent de multiples problèmes, lorsque l’étude d’un organe (le cerveau) se lie à celle de l’esprit humain. Les deux premiers articles abordent la question en partant de la spécificité de l’explication en neurosciences. Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Qu'est-ce que la neurophilosophie ? [mardi 16 décembre 2008 - 16:00] Philosophie Des neurosciences à la philosophie. Neurophilosophie et philosophie des neurosciences Éditeur : Syllepse Mais d’autres articles abordent plus directement la question des rapports entre sciences cognitives et neurosciences. Mais les sciences cognitives sont-elles pour autant réductibles aux neurosciences ?

S’ouvre alors la possibilité d’une voie médiane entre indifférence et réduction, celle d’une co-évolution des sciences cognitives et des neurosciences, s’enrichissant mutuellement. 3 : Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Qu'est-ce que la neurophilosophie ? [mardi 16 décembre 2008 - 16:00] Philosophie Des neurosciences à la philosophie. Neurophilosophie et philosophie des neurosciences Éditeur : Syllepse Trois autres articles s’intéressent à divers aspects épistémologiques des neurosciences. Dans un dernier article, Elizabeth Ennen s’oppose à la théorie de "l’incrémentalisme cognitif" selon laquelle nos capacités cognitives inférieures sont plus ou moins les blocs de construction de nos capacités cognitives.

Neurophilosophie La seconde partie de l’ouvrage s’intéresse, elle, à la façon dont les philosophes peuvent s’emparer des résultats fournis par les neurosciences pour éclaircir ou enrichir certaines questions philosophiques traditionnelles. Une grande partie des articles de cette section s’intéresse au problème de la conscience et de l’expérience privée qui en est la marque (les fameux qualia) : les neurosciences peuvent-elles contribuer à résoudre l’épineuse question de la conscience ? 4 : Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Qu'est-ce que la neurophilosophie ? [mardi 16 décembre 2008 - 16:00] Philosophie Des neurosciences à la philosophie. Neurophilosophie et philosophie des neurosciences Éditeur : Syllepse Mais à quoi ressemblerait justement une "réponse satisfaisante" au problème de la conscience ? Cependant, cette théorie est mise en doute par Pierre Jacob qui, dans son article, se base sur des résultats neuroscientifiques pour montrer qu’il existe deux systèmes distincts de traitement de l’information visuelle : un système dédié à la reconnaissance des objets (et à la production d’un percept visuel) et un système dédié à l’action (et à la production d’une représentation visuo-motrice).

5 : Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Qu'est-ce que la neurophilosophie ? [mardi 16 décembre 2008 - 16:00] Philosophie Des neurosciences à la philosophie. Neurophilosophie et philosophie des neurosciences Éditeur : Syllepse Autre problème abordé : celui de l’objectivité. Enfin, Joëlle Proust et Elisabeth Pacherie s’intéressent à la distinction classique entre niveau personnel et niveau subpersonnel et à la division du travail qu’elle justifie entre philosophes (qui traiteraient du niveau personnel) et neuroscientifiques (qui traiteraient du niveau subpersonnel).

En conclusion Il est difficile d’évaluer un recueil d’articles qui regroupe les travaux d’une vingtaine d’auteurs différents. Mais à qui ce livre s’adresse-t-il ? Qu'est-ce que la neurophilosophie ? Neurosciences et philosophie - Le cirque de JJ. Marie-Odile m’a prêté (ou donné ?) Récemment un exemplaire de la revue « Connaître », organe semestriel de l’association « Foi et culture scientifique », affiliée au réseau Blaise Pascal.

Ce numéro (36-37) de décembre 2011 retranscrit les actes du colloque « L’humanité de l’homme bouleversée par les neurosciences ? » qui s’est déroulé en avril 2011. J'y ai noté plusieurs choses concernant les notions de déterminisme et de liberté. Déterminisme et liberté C’est le cœur du sujet traité par Bernard Feltz. C’est aussi une partie importante du sujet que j’introduirai au début de 2013 au Café-Débat sous le titre : « Quelle est la place du hasard dans notre vie ? Il a trait à une problématique qui m’intéresse depuis longtemps, sur laquelle j’ai déjà écrit un peu, et que je souhaite approfondir. . « Le déterminisme au niveau microscopique est parfaitement compatible avec une imprédictibilité au niveau macroscopique. » Mais reprenons ce que dit Bernard Feltz : Il en déduit ensuite que :

Le problème de la conscience en neurobiologie et en anthropologie théologique. Avons-nous aujourd’hui une théologie de la conscience qui embrasse les trois niveaux cognitifs en question ? Si elle reste encore à faire, sur quoi doit-on la fonder ? Suffit-il de moderniser l'image chrétienne de l'homme en faisant appel aux sciences humaines et à leurs conquêtes les plus récentes ? Ou faut-il commencer par faire une relecture des grands textes fondateurs du christianisme, dans la conviction qu’ils constituent toujours la base d’une telle théorie théologique ? Je réponds sans hésiter par l'affirmative ; d’autant plus que, comme j’ai essayé de le démontrer dans un ouvrage récent [35] A. Ganoczy, Neurosciences et christianisme. La syneidesis comme conscience éthique dans le Nouveau Testament Il apparaît que les auteurs néotestamentaires optent systématiquement pour le terme syneidesis en mettant l'accent sur sa signification d’instance éthique [36] Voir W.

Que dit l'Apôtre de la syneidesis des autres, chrétiens ou païens, envers lesquels il se montre si accueillant ? Neurosciences et éthique : que nous apprend le dilemme du wagon fou ? - IGITUR - Arguments philosophiques. 1 Introduction L'éthique normative a pour tâche de répondre à des questions comme « Qu’est-ce qu’une action bonne ? » ou « Comment doit-on se comporter dans telle situation ? ». Les philosophes contemporains ont tendance à classer les réponses sous deux catégories opposées, exemplaires de deux théories morales en désaccord : soit on donne à ces questions une réponse déontologiste soit une réponse conséquentialiste. Une réponse déontologiste invoque une norme à laquelle l’action ou le comportement doivent se conformer, norme qui s’énonce généralement comme une obligation ou une interdiction catégoriques.

Cela est bien connu, tout comme il est bien connu que ces deux théories se heurtent à de multiples difficultés [1]. Dans cet article, je vais examiner l’argumentation déployée par Greene pour justifier sa thèse, ainsi que certaines objections qui lui ont été adressées, particulièrement celles de Marc Hauser, qui recourent elles aussi à des données empiriques. 1. Exploration du cerveau et enjeux éthiques.

Neurophilosophie et philosophie des neurosciences. Les Neurosciences, une position réductionniste ? Les Neurosciences, une position réductionniste ? Par Eve Suzanne. Considérer que nos états mentaux (ou âme, dans le vocabulaire cartésien) se réduisent à l’activité de nos neurones, nous contraint-il à endosser une position réductionniste ? De quel réductionnisme s’agit-il ? Remarque : le problème ne se pose pas au sujet de la dépendance du fait psychologique au fait biologique. Dualisme et réductionnisme neurobiologique : Selon les neurosciences, l’ensemble de nos états mentaux est réductible à l’activité de nos neurones c’est-à-dire, à des réactions chimiques.

Le réductionnisme tel qu’il est défendu par la neurobiologie consiste à mettre au même niveau la conscience et les neurones, autrement dit, la vie psychique de l’Homme est entièrement comprise du point de vue des processus chimiques neuronaux qui se produisent dans son cerveau. Chez Descartes aussi, il n’y a pas une différence de nature entre le corps et la machine mais seulement de degré de complexité.

Le philosophe J.R. . [1] J. Neurobiologie: L'intuition de nietzsche - Philosophie sur JeuxVideo.com - 27/12/2007 - 14:24:39.