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Henry Miller 1891-1980

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Henry Miller. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Miller. Son œuvre est marquée par des romans largement autobiographiques, dont le ton conjugue à la fois désespoir et extase. Miller s'est lui-même qualifié de « Roc heureux ». Son œuvre a suscité une série de controverses dans une Amérique mécanique et pécuniaire contre laquelle Miller a lutté car, pour lui, le but premier de la vie est de vivre. Henry Miller a été durant sa jeunesse un grand admirateur de l’écrivain Knut Hamsun (prix Nobel 1920) ainsi que de Blaise Cendrars, qui fut également son ami et un des premiers écrivains de renom à reconnaître son talent littéraire. Biographie[modifier | modifier le code] Henry Miller est le fils d'Heinrich Miller, un entrepreneur et un tailleur américain d'origine bavaroise et de Louise Marie Neiting. En 1930, Henry Miller décide de quitter les États-Unis pour ne plus y retourner (cette décision est en partie motivée par sa rupture avec June).

Henry_Miller peintre et écrivain. Biographie Nait de parents américains d’origine allemande en 1891, à Yorkville, un quartier de New-York. Son père y est tailleur. Quelques années plus tard, la famille déménage à Brooklyn. La rue devient alors le domaine du jeune Henry et il connaît une enfance assez turbulente mais, semble-t-il, heureuse, qu’il célèbre dans plusieurs livres.

Surtout dans Printemps noir (1936) qu’il préface ainsi : "Ce qui ne se passe pas en pleine rue est faux, c’est-à-dire littérature". En 1909 Miller entre au City College de New-York. Révolté par les méthodes éducatives en vigueur, il le quitte deux mois plus tard, et trouve du travail à l’Atlas Portland Cement Compagny. C’est pour aller vivre avec une femme de presque vingt ans son aînée qu’il quitte la maison paternelle, où il n’a jamais connu d’affection. En 1912, il se lance dans un long voyage dans l’Ouest, en Arizona puis en Californie; il y fait la connaissance d’Emma Goldman, une célèbre anarchiste. 1914 marque son retour à New-York. 1952. Anaïs NIN / Henry MILLER : une liaison passionnée. La Rencontre À l'automne 1931, par l'intermédiaire de l'avocat Richard Osborn, Henry Miller est invité à déjeuner chez Anaïs et Hugh Guiler, à Louveciennes. Anaïs a vingt huit ans, Henry quarante. Lorsque j'ai vu Henry Miller s'avancer vers la porte où j'attendais debout, j'ai fermé les yeux un instant pour le voir de l'intérieur.

II était chaleureux, détendu, naturel...Il ressemblait à un moine bouddhiste, un moine à la peau rose, avec son crâne à moitié chauve auréolé de cheveux argentés et sa bouche pleine et sensuelle. Cette rencontre improbable marque le début d'une grande amitié littéraire, et d'une liaison passionnée. À l'époque, ce sont tous deux des écrivains en herbe, autodidactes, amoureux de la littérature, grands lecteurs et graphomanes invétérés : lui écrit d'innombrables lettres, elle alimente son journal de ses moindres pensées. Anaïs pense qu'Henry ne l'intéresse pas physiquement. En décembre 1931, la femme de Miller, June, vient à Louveciennes. La Passion La rupture. Henry Miller, extrait. Henry Miller: Personal Collection. 28, Henry Miller. In 1934, Henry Miller, then aged forty-two and living in Paris, published his first book. In 1961 the book was finally published in his native land, where it promptly became a best-seller and a cause célèbre.

By now the waters have been so muddied by controversy about censorship, pornography, and obscenity that one is likely to talk about anything but the book itself. But this is nothing new. Like D. H. His life is all written out in a series of picaresque narratives in the first-person historical present: his early Brooklyn years in Black Spring, his struggles to find himself during the twenties in Tropic of Capricorn and the three volumes of the Rosy Crucifixion, his adventures in Paris during the thirties in Tropic of Cancer. In 1939 he went to Greece to visit Lawrence Durrell; his sojourn there provides the narrative basis of The Colossus of Maroussi. At seventy Henry Miller looks rather like a Buddhist monk who has swallowed a canary. No, not generally, no, nothing of that sort. The Reality of Henry Miller (Rexroth)

It is a wonderful thing that some of Henry Miller’s work at last is coming out in a popular edition in the United States. Henry Miller is a really popular writer, a writer of and for real people, who, in other countries, is read, not just by highbrows, or just by the wider public which reads novels, but by common people, by the people who, in the United States, read comic books. As the Southern mountain woman said of her hero son, dead in Korea, “Mister, he was sure a great reader, always settin’ in the corner with a piece of cold bread and one of them funny books.”

In Czech and Japanese, this is the bulk of Miller’s public. In the United States he has been kept away from a popular public and his great novels have been banned; therefore only highbrows who could import them from France have read him. This picture, I have discovered, is quite commonly believed in by people who should have better sense. This is the way it should be. Literature is a social defense mechanism.

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