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Description de quelques troubles

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Trouble de la personnalité multiple. Trouble de la personnalité schizotypique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité schizotypique, ou simplement trouble schizotypique, est un trouble de la personnalité caractérisé par un besoin d'isolement social, d'anxiété durant des situations sociales, accompagné de pensées ou d'un comportement bizarres ainsi que de délires.

Causes[modifier | modifier le code] Génétiques[modifier | modifier le code] Bien qu'il soit listé dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) sur l'Axe II, le trouble de la personnalité schizotypique est grandement perçu comme étant un trouble du « spectre de la schizophrénie ». Les statistiques indiquent que ce trouble est beaucoup plus fréquent chez les individus atteint de schizophrénie que chez les individus atteint d'un autre trouble mental ou ne souffrant pas forcement d'un trouble quelconque.

Société et environnement[modifier | modifier le code] Critères diagnostiques[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité anankastique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité narcissique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité narcissique est un trouble de la personnalité[1] dans lequel un individu se manifeste par le besoin excessif d'être admiré, et par un manque d'empathie. Cette condition affecte 1 % de la population[2]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Le trouble de la personnalité narcissique est décrit dans le Diagnostic and Statistical Manual DSM-IV qui classifie chaque trouble de la personnalité dans un groupe parmi trois, en fonction des symptômes qui les caractérisent[3]. Cette classification place le trouble de la personnalité narcissique dans le groupe B des troubles de la personnalité, troubles caractérisés par un sentiment excessif d'importance personnelle.

Le trouble de la personnalité narcissique est également répertorié dans le Manuel de Classification International des maladies (CIM) ICD-10 publié par l'organisation mondiale de la santé. DSM-IV[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité dépendante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité dépendante (TPD ; anciennement connu sous le terme de trouble de la personnalité asthénique) est un trouble de la personnalité caractérisé par une dépendance psychologique persistante des autres individus. Ce trouble de la personnalité est une condition chronique ou à long terme dans laquelle les patients dépendent des autres individus concernant leurs besoins physiques et émotionnels, tout en dépendant un minimum d'eux-mêmes.

Caractéristiques[modifier | modifier le code] Perception des autres[modifier | modifier le code] Les patients souffrant de trouble de la personnalité dépendante considèrent que les individus autour d'eux sont plus capables qu'eux-mêmes de gérer leur vie[1]. Les autres individus leur paraissent puissants, compétents et capables d'instaurer de la sécurité chez les patients atteints de TPD. Image de soi[modifier | modifier le code] Épidémiologie[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité évitante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Les personnes atteintes de trouble de la personnalité évitante sont préoccupées par leur capacité à s'inclure dans une relation sociale de crainte d'être rejetées. La perte et le rejet sont si douloureux que les sujets choisiront d'être seuls plutôt que de prendre le risque de communiquer avec les autres. Signes habituels des comportements des personnes atteintes de trouble de la personnalité évitante : Critères diagnostiques (DSM-IV)[modifier | modifier le code] Mode général d'inhibition sociale, de sentiments de ne pas être à la hauteur et d'hypersensibilité au jugement négatif d'autrui qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes : Épidémiologie[modifier | modifier le code] D'après le DSM-IV-TR, le trouble de la personnalité évitante survient à 0,5 % à 1 % de la population générale[5].

Névrose obsessionnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La névrose obsessionnelle (ou névrose de contrainte) est une forme majeure de névrose, dégagée par Sigmund Freud en 1894. L'appellation actuelle de trouble obsessionnel compulsif relève d'un tout autre champ de la psychopathologie. Théorie[modifier | modifier le code] Dans l'approche psychanalytique, elle est la deuxième grande maladie nerveuse de la classe des névroses après l'hystérie[1].

L'hystérie telle que définie par Freud, est la manifestation « positive » du complexe d'Œdipe (prépondérance de l'Eros) (désir inconscient d'entretenir un commerce sexuel avec le parent du sexe opposé), la névrose obsessionnelle au contraire exprime avant tout la composante « négative », c'est-à-dire la haine inconsciente envers le rival.

[réf. nécessaire] Modèle[modifier | modifier le code] Première topique[modifier | modifier le code] Seconde topique[modifier | modifier le code] Régression[modifier | modifier le code] Stade anal[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité histrionique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité histrionique (TPH ; anciennement hystérique) est défini par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) comme un trouble de la personnalité caractérisé par un niveau émotionnel et de besoin d'attention exagéré. Le patient est en quête d'attention de la part d'autrui, essaie de se mettre en valeur, de séduire, ou simplement d'attirer le regard ou la compassion. La séduction devient un besoin pour la personne qui vit avec ce trouble affectif. Le besoin de plaire devient excessif.

L'histrionique utilise le charme, et des comportements de séduction inadaptés, comme moyen d'échange, de communication, voire d'interaction. Critères[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] CIM-10[modifier | modifier le code] La CIM-10 de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) liste les caractéristiques des troubles de la personnalité histrionique. Catégories de Millon[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité borderline. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2].

Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5].

Comportement[modifier | modifier le code] Personnalité antisociale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La personnalité antisociale est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales, des émotions et droits d'autrui ainsi que par un comportement impulsif. Le terme de trouble de la personnalité antisociale est utilisé par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR)[1], publié par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) tandis que la Classification internationale des maladies (CIM-10), publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), parle de trouble de la personnalité dyssociale[2].

La psychopathie et la sociopathie sont considérées comme deux manifestations différentes du trouble de la personnalité antisociale [réf. nécessaire]. Selon Robert Hare, la différence entre psychopathie et sociopathie peut s'expliquer par l'origine du trouble[3]. Description[modifier | modifier le code] Diagnostic[modifier | modifier le code] Trouble de la personnalité schizoïde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité schizoïde est un trouble de la personnalité caractérisé par un manque d'intérêt pour les relations sociales. L'individu éprouve des difficultés à nouer des liens sociaux ; ses loisirs, son activité professionnelle, sont solitaires et indépendants.

Il n'est en apparence pas touché par les marques de sympathie ou d'affection et n'exprime pas ses émotions, d'où une image de froideur, d'apathie. La prévalence de ce trouble varie selon les études, de 1 %[1] à 5 %. Cette variation est due en partie au manque de définition précise de la personnalité schizoïde, à la confusion de celle-ci avec la schizophrénie, et à la rareté des diagnostics donnés. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme de "schizoïde" fut inventé en 1908 par Eugen Bleuler pour désigner une tendance naturelle d’une personne à s’attacher à la vie intérieure en dehors du monde extérieur. Diagnostic[modifier | modifier le code] ↑ (en) Weismann, M. Trouble de la personnalité paranoïaque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité paranoïaque est un trouble mental caractérisé par une paranoïa et une méfiance envahissante à long-terme des autres.

Les individus souffrant de ce trouble de la personnalité peuvent être hypersensibles. Ils pensent être menacés et tentent de chercher tout signe de cette menace[1]. La tendance actuelle est de considérer qu'il existe un continuum allant de la normalité aux formes graves de paranoïa en passant par la personnalité paranoïaque. L'être humain normal peut, à certains moment, présenter de manière isolée de tels symptômes, qu'on pourra alors comprendre comme des défenses réactionnelles et labiles contre l'angoisse. Chez certaines personnes cependant, les traits de personnalité paranoïaque se rigidifient, s'installent de manière chronique et finissent par constituer une souffrance ou une gêne pour l'entourage.

Il est alors question de trouble de la personnalité paranoïaque. Pervers narcissique.