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Bouddhisme tantrique vajrayāna (véhicule de Diamant)

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Bouddhisme vajrayāna (Véhicule de Diamant) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bouddhisme vajrayāna (Véhicule de Diamant)

Le vajrayāna (sanskrit : वज्रयान) est une forme de bouddhisme d'origine indienne, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite celles du Mahāyāna et du Hīnayāna. Il contient des éléments semblables à l'hindouisme et en particulier au shivaïsme cachemirien. Au Tibet, le vajrayāna et le bön, religion locale, se sont eux aussi influencés réciproquement. Son nom sanskrit signifie « véhicule » ( yâna) du diamant ou adamantin (vajra). Elle est décrite par ses pratiquants comme l'indestructible et brillant comme l'ultime réalité, ou de « foudre », destructrice de l’ignorance, et voie d'une rapidité fulgurante. Il est apparu en parallèle avec l’hindouisme tantrique. Shugendō. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Shugendō

Pratiquants du Shugendō dans les montagnes de Kumano. Le shugendō (修験道, shugendō?) Est une tradition spirituelle millénaire japonaise (à forte dominance Bouddhisme Vajrayana) où la relation entre l'homme et la Nature est primordiale. « Shugendō » signifie littéralement « le chemin de la formation et de l'essai », ou voie de l'acquisition de la Siddhi. Site shugendo. Shugendo. Shingon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Shingon

Kūkai, fondateur de l'école Shingon Shingon (眞言 ou 真言, Shingon?) Est une école bouddhiste japonaise, fondée au VIIIe siècle par le moine Kūkai (空海) qui reçut le titre posthume de Kobo Daishi, le grand instructeur de la Loi[1]. Le mot Shingon signifie « parole vraie »; c'est la traduction japonaise du mot sanskrit mantra qui désigne la prière mystique en Inde. Son idéal se résume dans la phrase « Sokushin-Jōbutsu », qui signifie « devenir bouddha dans cette vie avec ce corps ». Avec environ 12 millions de fidèles c'est un des courants majeurs du bouddhisme japonais et l'une des plus anciennes lignées du bouddhisme tantrique, le vajrayana. Historique[modifier | modifier le code] Avant de se rendre en Chine, Kukai était un moine bouddhiste indépendant. Son respect pour le Bodhisattva Akasagarbha était si grand qu'il le considérera toute sa vie comme son Honzon (本尊) ou divinité principale.

Les 8 grands patriarches[modifier | modifier le code] L'enseignement du Shingon, école bouddhiste vajrayâna japonaise. Dans le Temple Oiwasan Nissekiji à Toyama, JaponMéditation Shingon sous les chutes d’eau, ou takigyo, pour concentrer l’esprit et développer l’éveil Photo Credit : Cary Wolinsky - © National Geographic L’école Shingon (眞言 ) est une école bouddhiste vajrayâna japonaise, fondée au VIIIe siècle par le moine Kûkai qui reçut le titre posthume de Kobo Daishi, le grand instructeur de la Loi.

L'enseignement du Shingon, école bouddhiste vajrayâna japonaise

Le nom signifie « parole vraie » ; c’est la traduction japonaise du mot sanscrit mantra qui désigne la prière mystique en Inde. Son idéal se résume dans la phrase « Sokushin-Jôboutsu », qui signifie « devenir bouddha dans cette vie avec ce corps ». C’est en purifiant le cœur de ses passions parasites, en cultivant modestie, simplicité, pureté, concentration qu’il devient possible d’exprimer son esprit bouddhiste. Tendai. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tendai

Enryaku-ji monastère situé sur le Mont Hiei: Yokokawa-chudo. Créée en 805 par le moine Saichô, l'école Tendai est la forme qu'a prise au Japon l'école chinoise Tiantai du bouddhisme mahayanique, fondée par le religieux Zhiyi (538-597) de la dynastie Sui. Elle constitue depuis son apparition une composante importante et influente du bouddhisme japonais. Histoire[modifier | modifier le code] Au Japon, l'école eut pour fondateur le moine Saichô (767-822), qui s'était rendu en Chine en 804 pendant une année et en rapporta les doctrines et les pratiques. Saicho avait reçu des initiations de Kukai, autre grand religieux de l'époque Heian fondateur du courant ésotérique Shingon, et souhaitait intégrer dans le Tendaï le mikkyô (密教).

Les deux lignées accentuèrent leurs traits ésotériques, se consacrant aux liturgies tantriques et aux rituels tout en restant en étroite relation avec l'aristocratie et la cour. Shinnyo-En. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Shinnyo-En

Shinnyo-En France Home. Bön. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bön

Détail de la roue de la vie dans la tradition bön Monastère bön de Khyungpori Tsedruk au Nord du Tibet Pierre de mani-bön avec le mantra om ma tri mu ye sa le du Pour les articles homonymes, voir Bon. Le terme bön (prononcer beun), désigne trois traditions religieuses tibétaines distinctes, selon le tibétologue norvégien Per Kværne : tout d'abord une religion tibétaine préexistant au bouddhisme et qui est supplantée par celui-ci aux VIIIe siècle et IXe siècle ;ensuite une religion syncrétique qui apparaît au Tibet aux Xe siècle - XIe siècle, époque où le bouddhisme, après une période de décadence, se propagea à partir de l'Inde pour devenir, la foi dominante ;enfin, le vaste corpus de croyances populaires, souvent mal définies, dont la divination, qui ne sont pas d'origine bouddhique et sont communes aux adeptes du bön ou bönpos et aux bouddhistes[1].

Livres Bouddhisme vajrayāna