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Popper. Nous vivons une époque où l'humanité, grâce aux sciences, a résolu la plupart des problèmes.

Popper

Rien dans le présent ne permet de prévoir le futur. Ce qui est scientifique, c'est ce dont la fausseté peut être démontrée. Le relativisme moral et intellectuel est la plus grave menace planant sur notre société. Il se réclame plutôt de la tradition des lumières, celle de , et . « Le mouvement des Lumières, précise-t-il, remonte en fait à , et sa devise est : Je sais que je ne sais pas. » Objectivement, nous vivons à une époque où l'humanité, grâce aux sciences, a résolu la plupart des problèmes qui, jusqu'en 1945, paraissaient à peu près insurmontables. « Je ne sais pas pourquoi il en a été ainsi, mais c'est un fait. » Notre société est la plus confortable et la plus pacifique à avoir jamais existé ; elle est aussi la plus juste. « Dans mon enfance, raconte Popper, Vienne était comparable, par son mélange de luxe et de misère, à l'Inde actuelle...

Popper et la connaissance objective. Philosopher face au relativisme et nihilisme. Comment!

Philosopher face au relativisme et nihilisme

Vous ne connaissez pas Karl POPPER??!! Vite! (L'encyclopédie Agora) Philosophe de la liberté, adversaire déclaré du totalitarisme, POPPER a été tardivement traduit en français, car il a rencontré dans ce pays l'hostilité des hégéliens qui dominent la vie philosophique. Ostracisé sous l'effet combiné du rejet de la pensée scientifique hérité de Heidegger, du philocommunisme ambiant de l'après-guerre et de l'ère du soupçon. Faillibilisme, vérificationnisme et histoire : Popper vs Cercle de Vienne.

Les crises sont à nos sociétés ce que les casse-tête sont à la science : quand la science tombe dans une impasse, cela veut dire qu’elle s’est trompée de direction dans le labyrinthe du monde ; quand une société connaît une crise, cela veut dire de même qu’elle n’a pas perçu un de ses dysfonctionnements et qu’il lui faut le découvrir.

Faillibilisme, vérificationnisme et histoire : Popper vs Cercle de Vienne

Par Fabrice Descamps. Karl Popper Le présent article m’a été très largement inspiré par un lumineux petit ouvrage du logicien belge Philippe Thiry (notamment pour le choix de mes exemples). Qu’il en soit remercié dans mes propos liminaires. Deux épistémologies concurrentes se sont opposées au milieu du XXe siècle, celle issue du Cercle de Vienne et celle de Karl Popper. Or ces deux critères ne tiennent pas la route. Admettons en effet que nous affirmions que « tous les chats sont gris ». Admettons ensuite que nous soyons faillibilistes et affirmions à nouveau que « tous les chats sont gris ». Sur le web. Karl Popper vs Platon par Damien Theillier.

L’épistémologie darwinienne de Karl Popper : Instruction et sélection. 1La question fondamentale de la théorie de la connaissance, ou du moins sa question préalable, est de nature kantienne : comment se fait-il que la science puisse connaître des objets ?

L’épistémologie darwinienne de Karl Popper : Instruction et sélection

De trois choses l’une, disait Kant : soit les objets nous instruisent à la fois de leur contenu et de leur forme, et l’esprit est passif, se réglant sur l’objet ; soit il y a une harmonie entre l’objet et le sujet, telle que la connaissance est « préformée» en nous ; soit c’est nous qui informons la réalité, qui lui donnons sa forme : l’objet se règle sur nous. La première solution ne rend pas compte du fait que nous avons des connaissances a priori ; la seconde ne s’explique que par un miracle ou une harmonie préétablie ; seule la troisième voie reste ouverte : l’esprit actif est le vrai législateur a priori de la nature (idéalisme formel ou « transcendantal»).

Compréhension et communication chez K.R. Popper, 1995 - Table des matières - Table des matières. Compréhension et communication chez K.

Compréhension et communication chez K.R. Popper, 1995 - Table des matières - Table des matières

R. POPPER Le travail de mise en ligne de ce mémoire n'est pas achevé ; il reste notamment à insérer toutes les notes de bas de page et à en faire des liens ; ceci est long et fastidieux ; j'espère y arriver bientôt pour livrer l'intégralité de ce texte. T able des matières Index Introduction 1. Bibliographie. Epistémologie de Karl Popper - Emergence et représentation - Frédéric Fabre. Le rationalisme poppérien et les sciences sociales. L’un des objectifs majeurs de la philosophie rationaliste des sciences de Popper aura été, d’un bout à l’autre, d’établir une différence logique entre science et non-science, plus précisément, entre science et métaphysique et de déterminer le critère premier (la falsifiabilité), décisif à l’établissement d’une telle frontière.

Le rationalisme poppérien et les sciences sociales.

Source : photos-libres.fr Contre l’historicisme Son but était avant tout de réfuter le caractère prétendument scientifique des théories marxistes et de la psychanalyse, qui, à l’époque, revendiquaient le statut de science. Popper et le critère de falsifiabilité. Par Claire Saillour Copyright © Photo-libre.fr A la recherche d’un critère ultime de détermination de la frontière entre science et non-science, Popper aura fait de la falsifiabilité des énoncés théoriques la clé de voûte de son épistémologie.

Popper et le critère de falsifiabilité

La falsifiabilité peut se définir de la manière suivante : un énoncé est falsifiable « si la logique autorise l’existence d’un énoncé ou d’une série d’énoncés d’observation qui lui sont contradictoires, c’est-à-dire, qui la falsifieraient s’ils se révélaient vrais » [1]. La méthode hypothético-déductive selon Popper. La critique de l’induction La méthode poppérienne se base sur une critique radicale de l’inductivisme.

La méthode hypothético-déductive selon Popper

Imprégné, tout jeune, des théories du cercle de Vienne, Popper rompra radicalement et définitivement avec le positivisme logique[1] puis se lancera dans une œuvre épistémologique de taille qui influencera de nombreux scientifiques, issus des sciences « dures » comme des sciences « molles », bien que son œuvre ait spécifiquement pour objet les sciences de la nature, et ne s’applique qu’avec beaucoup de restrictions aux sciences sociales, qu’il considère, pour la plupart, comme non-scientifiques dans la mesure où ses principes de scientificité ne s’y appliquent pas. Cette méthode est logiquement illégitime, car, comme Hume l’avait déjà formulé, aucune série finie d’observations ne peut permettre d’affirmer l’universalité d’un phénomène observé. B. Claire Saillour [2] Schéma illustrant le raisonnement inductif selon A. . [3] Cf. . [4] R. . [5] A.