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Origine de la dette de l'Europe. Quand Goldman Sachs aidait la Grèce à tricher pour 600 millions d’euros Goldman Sachs avait échangé de la dette grecque à un taux fictif en 2001, permettant à Athènes de maquiller ses comptes publics. Aujourd’hui le pays fortement endetté doit 600 millions d’euros à la banque américaine. Le coup de main de Goldman Sachs à la Grèce pour maquiller ses comptes lui aura rapporté quelque 600 millions d’euros, révèlent Nick Dunbar et Elisa Martinuzzi, dans un article de l’agence Bloomberg. Les deux journalistes ont recueilli les confessions de Christoforos Sardelis, chef du bureau de gestion de la dette à Athènes entre 1999 et 2004, et de son successeur Spyros Papanicolaou. En 2001, la Grèce et « la firme » se sont entendus pour échanger de la dette grecque à un taux de change fictif afin de réduire de 2% l’endettement hellène.

. « Une histoire sulfureuse » Goldman Secret Greece Loan Shows Two Sinners as Client Unravels By Nicholas Dunbar & Elisa Martinuzzi - Mar 6, 2012 1:01 AM GMT+0100. L'origine de la crise de la dette du tiers-monde^^ Pourquoi les dettes publiques augmentent. Espace sommet fenêtre i.Définitions Commençons par quelques définitions. La dette publique (un stock) est l'accumulation des soldes publics annuels (des flux). Le solde public est négatif si les dépenses de l'État sont supérieures à ses recettes (essentiellement constituées des impôts). Il convient de distinguer d'une part la tendance structurelle des dettes publiques, et d'autre part leurs variations conjoncturelles autour de la tendance. ii.Tendance structurelle L'augmentation tendancielle des dettes publiques résulte du fait que les recettes des États ont tendance à augmenter moins que leurs dépenses.

Dépenses La croissance structurelle des dépenses publiques a quatre causes principales (classées ci-dessous par ordre croissant d'importance) : la hausse des dépenses de pensions, suite à l'augmentation de l'espérance de vie ; la hausse des dépenses de soins de santé, suite : au vieillissement de la population (PS : qui est aussi conséquence de meilleurs soins de santé ...) Commentaires. La dette publique, une vieille histoire : Les montagnes de dettes des cités italiennes. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvie Arsever ("Le Temps") A Florence, tout commence avec des faillites : en 1343, les Peruzzi, qui ont prêté à Edouard III d'Angleterre, prennent un bouillon à la suite de la décision de celui-ci de faire défaut.

Le prêt aux monarques a transformé les riches négociants florentins, Médicis en tête, en banquiers de l'Europe. Mais les souverains sont capricieux et les risques élevés. La chute des deux maisons, suivie d'autres dont celle, aussi puissante, des Bardi, ébranle la République. Il faut trouver de l'argent et l'impôt est exclu. Les négociants et les artisans italiens résistent avec la dernière énergie à tout prélèvement direct, une indignité réservée dans leur esprit aux sujets et aux vaincus.

En 1347, les dettes de l'Etat sont regroupées dans un fonds, le Monte commune, une montagne de dettes que les autorités se reconnaissent dans l'incapacité immédiate de rembourser. Et cette monnaie-là, elle, ne fait jamais défaut. Le FMI propose de taxer l'épargne privée pour solder les dettes nationales. ÉCONOMIE - Rendez-vous compte. Et si l'État choisissait du jour au lendemain de vous prélever 10% sur votre épargne? Un dixième de ce qui est inscrit sur votre relevé bancaire annuel. L'idée fait sens pour le FMI, qui y voit une bonne alternative à la résolution de la crise de la dette.

Avec une ponction de cet ordre, les pays "avancés" (Europe, Etats-Unis, Japon) pourraient retrouver le niveau de dette qu'ils présentaient avant 2007. Le Fonds monétaire international n'avance rien de concret dans son rapport annuel des finances publiques. En théorie, le principe ne manquerait pas "d'égalité". Le phénomène s'est déjà produit en Europe. "Il y a eu un travail d'explication en amont. "En théorie, c'est possible" (Banque de France) Une telle solution de la dernière chance pourrait-elle arriver en France? Au printemps dernier, Chypre a ponctionné 47,5% sur les dépôts de plus de 100.000 euros afin de se voir accorder un plan d'aide international.

Les risques d'une telle décision. Et si la dette globale était à l'origine de la crise économique ? "Le système financier, c’est l’ensemble des institutions dont la matière première est la DETTE. La finance, elle émet de la dette, elle fait circuler de la dette, elle place de la dette, elle négocie de la dette".

Il est important de bien lire et relire cette citation de Peyrelevade, elle est fondamentale. L’intéret de cette forte affirmation est de remettre sur les pieds ce qui marche sur la tête, ce qui est inversé. Ce qui est premier, ce qui est la pierre angulaire du système, ce qui en constitue la matière premiére c’est la dette. La dette affirmons-nous crée, fabrique la monnaie, c’est une vérité cachée qui explique la crise actuelle, les pseudos remèdes utilisés (qui créent toujours plus de dettes), le sort commun de la dette et de la monnaie et le pourrissement final de la monnaie de crédit entraînée par le choix d'émettre de la dette à tout prix.

Les assets- backed (titres adossés à des actifs) par des prêts subprimes étaient triple A , c’est-à-dire garantis money-like. 2015 : De gigantesques effacements de dettes publiques ? En 2015, la dette publique de la zone euro devrait frôler 100 % du PIB, auxquels il faut ajouter l’endettement caché, c'est-à-dire la partie non financée du coût du vieillissement de la population.

En un an, les dettes publiques européennes ont augmenté de 400 milliards d'euro et, depuis 2007, de 3.000 milliards d’euro ! Les critères de Maastricht ayant fixé le seuil d'une dette publique supportable à 60 % du PIB, cela signifie que l'excédent de la dette publique européenne atteint aussi 3.000 milliards d'euro, soit l’équivalent du PIB allemand.

C’est insupportable. La question n'est plus de savoir si les Etats de la zone euro sont en défaut : la plupart le sont sociétalement dans la mesure où le poids des dettes publiques n'est plus transposable dans le futur. Or la dette publique ne bénéficie plus en rien aux générations futures, alors que le remboursement est mis à leur charge. Cette dette ne finance d'ailleurs plus des investissements mais des transferts. Pourquoi il faut faire l'éloge du plafond de la dette. L'agitation autour du relèvement du plafond de la dette du gouvernement américain - fort heureusement désormais apaisée, au moins pour les prochains mois - met en lumière les risques que pose l'excès d'endettement des États. De nos jours, la tâche des gouvernements consiste pour l'essentiel à gérer un gigantesque mécanisme de redistribution des fonds issus du contribuable en direction d'un certain nombre de destinataires et autres bénéficiaires de la dépense publique.

Et tandis que le camp aval ne cesse de demander davantage, l'amont s'attache avec zèle de préserver ses ressources. La tentation irrésistible de l'endettement Au bout du compte, la solution à un tel "défi de la redistribution" a souvent tendance à résider dans davantage d'emprunt de la part des gouvernements. Les parents gardent un oeil sur l'addiction à l'emprunt Des emprunts déraisonnables Nouvelle extension des échéances Et ce n'est pas tout. Se décharger du fardeau sur les épaules d'autrui Un semblant de boom économique. A l’origine de la dette publique française, une loi de 73 sur la Banque de France ? Nous reproduisons cet article (rédigé par Anne-Sophie Jacques et publié ici par Arrêt sur Images) car il propose un contre-point intéressant à une vidéo très largement diffusée (comprendre la dette publique en quelques minutes).

Il s’agit, non pas de prendre parti dans ces “désaccords d’économistes”, mais de verser ce contre-point au débat. NDASI : Arrêt sur images est un site indépendant qui ne vit que de ses abonnements (pas de publicité, pas de mécènes, pas de subventions publiques). Depuis la rentrée, le site a entamé un travail de décryptage économique. Pour l’encourager, abonnez-vous. Désaccords d’économistes autour d’une vidéo virale. Et si on se penchait sur la dette publique ? Entendons-nous : loin de moi l’idée de vous faire un cours sur le sujet, d’autant que j’ai trouvé il y a un mois environ une vidéo dont l’objectif est de nous faire comprendre en dix minutes l’origine de la dette publique. Que vaut cette vidéo ? Monnaie, monnaie, monnaie Economiste vraiment atterré Bonus : Ces pays qui ont dit non à la dette.

IRIB- Face à l'endettement massif, qui menace différents pays du monde, dont la zone euro, peut-on dire non à la dette ? Avec l'annulation de la dette de la Tunisie par la France, le sujet revient sur le tapis : est-il possible d’annuler la dette ? Si oui, comment procéder ? Comment s’en sont sortis les pays qui ont dit non à la dette ? Pour ce faire, il est indispensable de connaître l’origine de la dette d’un pays. La dette est un problème monétaire La dette publique regroupe l’ensemble des dépenses (emprunts) de l’État, collectivités publiques et les organismes qui en dépendent directement (comme la Sécu et certaines entreprises publiques). À ces dépenses s’ajoutent la dette des ménages qui vivent à crédit, celle des entreprises et des établissements financiers. La Grande-Bretagne arrive en tête des pays les plus endettés par ménage et par établissement financier. Dette publique, par État membre, de la zone euro, à la fin du troisième trimestre 2012 Qui a dit non à la dette ?

Dette : l'histoire d'une morale ou la moralité d'une histoire. "On doit toujours rembourser ses dettes. " Ce vieil adage est souvent présenté comme le fondement du capitalisme. Son questionnement est d'ailleurs la raison d'être de l'imposant livre (quelque 600 pages) de l'anthropologue américain David Graeber intitulé "Dette. 5000 ans d'histoire".

Ce best-seller international, traduit enfin en français - il est sorti en 2011 dans sa version originale -, grâce au travail d'une jeune maison d'édition Les liens qui libèrent, défend une thèse pour le moins originale : la dette façonnerait fondamentalement nos relations sociales sur le mode économique, et ce depuis le début de l'humanité. "Quand nous disons que notre sentiment de la morale et de la justice est réduit au langage d'une transaction financière, que cela signifie-t-il au juste ?

Que se passe-t-il quand nous ramenons l'obligation morale à la dette? Qu'est-ce qui change quand l'une se transforme en l'autre? Un taux d'intérêt qui intègre précisément le risque du non remboursement. J’ai lu Graeber sur la dette et depuis, je balade mon banquier.