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Le symbolique, l'imaginaire et le réel (Lacan) Réel - Imaginaire - Symbolique (Lacan) BonjourSuite de la "disputatio" (et fin pour Stelios car je crois déceler une pointe de lassitude ?

Réel - Imaginaire - Symbolique (Lacan)

... je préfère ne pas abuser... mais une réponse de Mohammed Aliboron est bienvenue) Cela dit, je dois avouer que l'énoncé de ton "credo" Non non il y a méprise, ce que j'ai exposé dans ma réponse n'est en aucune manière mon credo, qui est en fin de compte simpliste puisqu'il s'agit d'actualiser le noyau subversif de ma tradition, et comme le dit Lévinas, l'occident c'est les grecs (la philosophie) et la bible (de la sacralisation du vide du bereshit hébraique jusqu'a la cloture (ouverte) de la révélation Cor'anique avec l'homme khalif de Dieu en passant par l'anarchisme chretien). J'ai simplement clarifié deux ou trois points d'un précédent texte. Réel, imaginaire et symbolique. Gilles Deleuze écrivait que le réel, l'imaginaire et le symbolique, dans la conception structuraliste, correspondaient aux chiffres UN, Deux et Trois.

Réel, imaginaire et symbolique

Voilà qui demande quelque explication. Paradoxalement je commencerai par l'imaginaire, le plus familier à notre psychè, le plus facile à concevoir. L'imaginaire esr l'élément déterminant de la représentation. Je vois quelqu'un dans la rue et immédiatement se met en marche une élaboration complexe, mais finalement assez répétitive.

Imaginaire, symbolique et réel chez Lacan. Le premier et long moment de l’enseignement de Lacan, sous l’égide du " retour à Freud ", peut être considéré comme une vaste reprise de l’expérience et de la doctrine analytiques dont les éléments, les concepts et leurs références sont distribués selon trois registres distincts : le réel, le symbolique, l’imaginaire.

Imaginaire, symbolique et réel chez Lacan

Un tel ouvrage s’est imposé à lui " de provenir de la pratique par la critique de l’intervention, et de s’avérer éristique pour l’édifice théorique ". (Lacan J., " D’un syllabaire après-coup ", Ecrits, Paris, Editions du Seuil,1966, p. 720) Il s’est agi dans ce travail de rénovation de montrer que la cure joue essentiellement sur deux plans : le plan de l’inertie, de ce qui est à la fois de l’ordre du représenté et de l’ordre des fixations de la libido, du narcissisme, registre de l’imaginaire ; et le plan de la dialectique et de la répétition signifiante, registre du symbolique. Bibliographie. Le signifiant imaginaire. La fonction de la nomination imaginaire dans le lien social. « Dès lors, puisque nous ne savons pas à quoi coupler la nomination, la nomination qui fait ici quatrième terme, est-ce que nous allons le coupler à l’Imaginaire, à savoir que, venant du Symbolique, la nomination est là pour faire dans l’Imaginaire un certain effet ?

La fonction de la nomination imaginaire dans le lien social.

C’est bien en effet ce dont il semble s’agir chez les logiciens quand ils parlent du référent. Les descriptions russelliennes, celles qui s’interrogent sur l’auteur, celles qui se demandent en quoi il est légitime et fragile logiquement d’interroger sur le fait que Walter Scott est-il ou non l’auteur de Waverley, il semble que cette référence concerne expressément ce qui s’individualise du support pensé des corps.

Il n’est en effet certainement rien de semblable. La notion de référent vise le Réel. C’est en tant que Réel que ce que les logiciens imaginent comme Réel donne son support au référent. Dans son article Russell souligne tout d’abord qu’il y a deux sortes de descriptions. Réalité, fantasme et réel. Naissance de la notion de Réel chez Jacques Lacan. Le Réel de Lacan : Lacan invente la version définitive de la notion de Réel (qui deviendra le Réel de Lacan ) dans son séminaire "L'identification" où il parle sans cesse du retournement et de l'inversion et surtout d'une phrase extraite de Kant où il est question de : "Ein leerer Gegenstand ohne Begriff" (Un objet le plus vide de concept sans saisie possible avec la main).

Naissance de la notion de Réel chez Jacques Lacan

Il en parle aussi dans "Le Sinthome", (p.93 dans l'édition de l'association freudienne) Mettant en pratique ce dont il parle, peut-être même sans s'en rendre compte (pourquoi pas !) , il part de l'adjectif allemand "leer" et il le retourne (comme il l’a fait avec l'algorithme saussurien s/S dont il a fait S/s), ou l'inverse pour en faire le Réel, concept dont il ne se départira plus. Leer : qui signifie en allemand : vide, inoccupé, vacant (fig. : vide de sens) Leerer : qui est un superlatif et signifie : "le plus vide" Leer après inversion ou retournement devient réel Traduction des mots allemands employés par Kant :

Le Réel de Lacan - Le blog de lepharedesmots. « Le réel... n’est pas la réalité » Il convient d’établir une distinction entre le réel et la réalité.

« Le réel... n’est pas la réalité »

Le réel dans la théorie lacanienne, contrairement à la définition du Larousse, n’est pas la réalité. Ce qui nous est accessible, c’est la réalité c’est à dire le discours qui décrit et crée une vision du monde pour tous ceux qui y participent. C’est le monde tel que nous le percevons avec nos sens (limités et spécifiques) et notre intelligence. Par contre le réel se définit à partir d’une limite du savoir, limite à partir de laquelle il ne peut être appréhendé mais plutôt cerné et déduit ; le réel dans sa globalité et sa complexité c’est l’impossible à décrire donc l’impossible à dire.

Le réel pour l’enfant in utero c’est l’unité avec la mère, l’endroit où tous les besoins sont satisfaits, l’endroit où il n’y a pas d’absence ni de manque. À cette époque, il est encore massivement dans le réel car il n’y a qu’un embryon de limites entre lui et le monde extérieur ou les personnes qui l’entourent. A propos de "Qu'est-ce que le 'Réel' ?", essai de Gérard Pommier.

Cet ouvrage aborde d'entrée la naissance du réel contemporaine du refoulement originaire, l'auteur appuyant sa démarche sur les thèses freudiennes et les apports de Lacan quant à la question du sujet et de son déterminisme.

A propos de "Qu'est-ce que le 'Réel' ?", essai de Gérard Pommier

Nous retrouvons dans cette formalisation rigoureuse la façon très imagée que Gérard Pommier a déjà personnalisée dans plusieurs de ses ouvrages (voir plus particulièrement dans Naissance et renaissance de l'écriture, PUF, Janvier 1993, L'amour à l'envers, PUF, Février1995). La thèse de l'auteur reprend l'amarrage du pulsionnel au champ de l'Autre maternel avant la recherche salvatrice du Père pour parer à un Unien mortel, sur un fond d'exil qui dès la naissance marque le refus du petit être à son entrée dans le nouveau monde. Sa relation au père ne sera pas moins celle du oui pour parer au risque mortel engendré par l'Autre maternel que celle du non dans le meurtre fantasmé du père.

LE REEL, L’ORGANIQUE ET LE CORPS DE LA REALITE. TOUT CE QUI EST MENTAL (Francoise Fonteneau) Aux questions sur le reel que Lacan nous a transmises, leguees, saurons-nous repondre un jour ?

TOUT CE QUI EST MENTAL (Francoise Fonteneau)

Il faut beaucoup de temps pour les deployer. Symbolique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Symbolique

Le mot symbolique peut prendre différentes significations[1] : Une personne très douée, très puissante et un taulier.l'ensemble des relations conjugales entre les humains et les animaux et des interprétations afférant à un symbole, la symbolique du feu, par exemple ;l'ensemble des symboles caractéristiques d'une tradition, par exemple la symbolique de la Kabbale ou celle des Mayas, de l'art roman, etc.

;l'art d'interpréter les symboles, par l'analyse psychologique, par l'ethnologie comparée, par tous les processus et techniques de compréhension qui constituent une véritable herméneutique du symbole;la science ou la théorie des symboles. Selon J. Fonction symbolique, magie et psychanalyse. Ce billet fait appel à des notions énoncées dans la thématique « Mythes et symboles ».

Fonction symbolique, magie et psychanalyse

Dans mes billets précédents, j’ai démontré comment Claude Lévi-Strauss définit la fonction symbolique propre à un symbole, et comment celle-ci permet de transformer un environnement naturel en un environnement culturel : la fonction symbolique œuvre sur deux plans, sans hiérarchie entre les deux : collectif — en organisant les pratiques sociales — et individuel — en organisant l’exercice d’une pensée réflexive ;la fonction symbolique agence et ordonne le monde en se fondant sur des symétries, des oppositions, des contraires, et des équivalences ;la capacité d’ordonnancement de la fonction symbolique produit du lien social, parce qu’elle instaure des règles — satisfaction réciproque et cohabitation pacifique. Partant de là, voyons maintenant — toujours dans une perspective lévistraussienne — comment le symbole agit dans le traitement de la maladie, ici entendue au sens large : physiologique et mentale.

Imaginaire et Symbolique. Dans les premières semaines après la naissance, le MOI vit dans une relation indifférenciée au monde, à la mère en particulier. Il ne fait pas la distinction entre lui et l'extérieur. Le nouveau-né perçoit le monde de façon hallucinatoire, le sujet et l'autre sont confondus dans une relation fusionnelle. Il n'y a pas encore de représentation interne de l'objet extérieur, le sujet et l'objet sont indifférenciés. Les pulsions internes envahissent tout le champ de la réalité, l'inconscient se fond dans le monde extérieur. Il y a prééminence du principe de plaisir. Puis le MOI va progressivement émerger de la conscience et sortir de cette relation fusionnelle au monde. L'enfant s'attend à ce que tous ses désirs soient comblés et réalise douloureusement sa dépendance quand ses besoins vitaux ne sont pas immédiatement satisfaits. R S I. Approche du nœud borroméen. Le noeud borroméen entre dynamique et structure.

Le monde est ainsi fait : pour dénouer un noeud, il faut parfois l'emmêler encore plus pour qu'il se démêle mieux ! Alexei Sossinsky, Noeuds, Seuil, 1999. Figure 1 Le noeud borroméen a été au centre de l'enseignement de Lacan les dix dernières années ; il s'agissait de donner aux analystes une écriture et une autre façon de penser, de penser les concepts (peut-on encore parler de concepts ?) Une lettre d'« a »mour : nœud borroméen et fin d'analyse. L’image du corps et la lettre, l’écriture chinoise. L’image du corps et la lettre, l’écriture chinoise : introduction XU dan Le concept d’image du corps n’est pas un concept classiquement freudien ni lacanien. D’une part, il renvoie facilement les cliniciens à la dimension d’Imaginaire où se trouve le concret de la pratique. D’autre part, il est d’usage courant en pratique psychanalytique, nombreux auteurs y font appel, dont la plupart notamment en appui à une clinique de la psychose ou de l’enfant.

Autrement dit, lors que la clinique rencontre des niveaux de l’organisation ou de la désorganisation du moi, l’interrogation renvoie facilement au moi corporel. Pensée mythique et processus primaires. Thierry Simonelli Remarques sur la fonction symbolique en psychanalyse (Conférence donnée le 2 décembre 2002 à l’EHESS, au séminaire Epistémologie des Sciences Humaines du Professeur Mireille Delbraccio, CNRS-EHESS-ENS.) 1. Introduction Dans son article « On Cassirer’s Theory of Language and Myth[1] » Susanne K. Contrairement, à ce que l’on pourrait être tenté de croire au premier coup d’œil, il est plus facile d’articuler la psychanalyse à la philosophie de Cassirer, que de mesurer l’impact que risque d’avoir la conception cassirerienne sur la psychanalyse. J’essayerai de montrer brièvement le poids de ce rapprochement et les conséquences qu’il risque d’entraîner de part et d’autre. 2.

Dans la préface du premier volume de sa PSF[4] (1924), Cassirer énonce très brièvement la naissance de la problématique de sa philosophie des formes symboliques.