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Relativité générale : Gravity Probe B confirme l'effet Lense-Thirring. L'effet Einstein-De Sitter (en anglais geodetic precession) et l'effet Lense-Thirring, dit encore effet d'entraînement des référentiels (en anglais frame-dragging precession), sont présentés sur cette image d'artiste. Ils modifient lentement l'axe d'un gyroscope en orbite. © Stanford University Relativité générale : Gravity Probe B confirme l'effet Lense-Thirring - 2 Photos Consultez notre dossier complet sur la relativité générale C’est en 1916 qu’Albert Einstein a mis un point final à sa fameuse théorie de la relativité générale. Certainement, la phrase attribuée à Sir Arthur n’était pas du tout le reflet de la réalité car dès 1916, plusieurs physiciens, astronomes et mathématiciens ont commencé à publier des travaux importants sur le sujet.

Hans Thirring en 1925. © Bildarchiv ÖNB, Vienne / AEIOU A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. La relativité générale - Des exemples concrets. La théorie de la Relativité La relativité générale : des exemples concrets Travaux pratiques (I) Enfin me direz-vous, quelques travaux pratiques sur la gravitation ! Il est vrai que la théorie de la relativité générale vous paraîtra bien plus claire avec quelques exemples bien choisis, d’autant que le sujet est passionnant.

La théorie de la relativité générale énoncée en 1915 élargit le concept de la relativité. Cette théorie permet de décrire la structure de l'univers en confirmant le comportement des corps en mouvements non uniformes. Cet espace à quatre dimensions étroitement mêlées a des influences sur la matière qu'il contient.

Principe d'équivalence et théorie de la gravitation Bien qu'Einstein jugea sa théorie cohérente, il devait la vérifier, en recherchant dans l'espace ou par des expériences de laboratoire une confirmation de ses prédictions. Einstein connaissait le sort que pouvait lui jouer la Nature. Nous savons que la lumière contient de l'énergie; celle-ci a donc une masse. La relativité générale et la courbure de l’espace-temps. En développant ses idées sur les conséquences du principe d’équivalence, Einstein aboutit à une nouvelle vision de la gravitation qui devait remplacer celle d’Isaac Newton : la relativité générale.

L’aspect le plus important de cette théorie est la disparition du concept de force de gravitation. La courbure de l’espace-temps Pour Einstein, le mouvement d’un corps n’est pas déterminé par des forces, mais par la configuration de l’espace-temps. Par exemple, d’après Newton la Terre tourne autour du Soleil car celui-ci exerce une force gravitationnelle sur notre planète. Pour Einstein, c’est une perturbation de l’espace-temps introduite par la masse du Soleil qui est à l’origine du mouvement de la Terre. Pour mieux comprendre cette idée, faisons appel à une analogie à deux dimensions. L’espace, en relativité générale, peut être comparé à une sorte de tissu élastique. Que se passe-t-il lorsqu’un corps plus petit passe à proximité de l’étoile ? L’espace comme tissu élastique. Mécanique quantique et relativité générale : vers un autre monde. La grande révolution scientifique du XXe siècle se compose de deux épisodes majeurs.

D'un côté, il y a la mécanique quantique, de l'autre il y a la relativité générale d'Einstein. La mécanique quantique, qui décrit très bien les choses microscopiques, a bouleversé profondément ce que nous savons de la matière. La relativité générale, qui explique très bien la force de gravité, a transformé radicalement ce que nous savons du Temps et de l'Espace. Les deux théories sont très bien vérifiées, et sont à la base d'une grande partie de la technologie contemporaine. Or, ces deux théories mènent à deux manières très différentes de décrire le monde, qui apparaissent incompatibles.

La mécanique quantique utilise les anciennes notions de temps et d'espace, qui sont contredites par la théorie de la relativité générale. Par bonheur, il n'y a pas de situation physique courante dans laquelle les deux théories s'appliquent simultanément. . © Dunod Pour approfondir. La Relativité Générale remise en question. En redéfinissant la célérité limite comme la vitesse des neutrinos à la place des photons, et sachant que la vitesse supraluminique vaut +0,00246% seulement par rapport à la vitesse des photons, on ne voit a priori qu'une nouvelle façon d'interpréter la théorie de la relativité, mais la théorie n'est absolument pas réfutée ni abandonnée, bien au contraire.

Pour les phénomènes mettant en jeu l'énergie électromagnétique, la formule E = mc² est toujours valide. La différence c'est dans un autre contexte, pour les cas exotiques, quand on cherche à quantifier des énergies lorsque les neutrinos entrent en jeu. Par exemple : E' = mc'² où c' désigne la vitesse des neutrinos. La différence E' - E (donc entre m(c'² - c²) représente seulement une augmentation de +0,000049%, si je ne m'abuse. En ce sens, la théorie d'Einstein est toujours valide. Les trois percées d'Einstein. Constatations fondamentales Galilée, dans un texte superbe, avait suggéré qu’il était impossible pour le voyageur enfermé dans la cabine d’un bateau de savoir si le navire avançait sur une mer calme ou s’il était immobile. Aujourd’hui, comment estimer la vitesse d’un avion sans regarder par un hublot ?

L’eau s’y verse dans le verre comme au sol, lequel sol est néanmoins entraîné à près de 30 kilomètres par seconde autour du Soleil ! Ces constatations fondamentales portent le nom de « principe de relativité ». Enoncé par Galilée dans le cadre de la mécanique classique, Einstein, après Poincaré, va reconnaître dans son article « Électrodynamique des corps en mouvement », publié en 1905, que ce principe s’étend aux phénomènes électromagnétiques et à la lumière. Des difficultés révélatrices Dans l’introduction, Albert Einstein pointe deux difficultés de l’électromagnétisme classique. Des postulats révolutionnaires Transformer l’espace-temps Transformer la lumière Qu’est-ce que la lumière ?

Et . Forum : Cosmologie et relativité générale font mauvais ménage ! @ Jherve et Ludwig, Encore une fois, cette discussion part dans les choux. Je vous expose ma façon de voir le champ de pesanteur avec ses conséquences positives pour expliquer nos observations du cosmos et vous venez avec des arguments du niveau de CM 2. 1 - Révolution des planètes :L’équilibre des objets en orbite autour d’un corps céleste est fonction exclusivement de sa vitesse orbitale par rapport à son éloignement. Les « masses » n’interviennent pas ! 2 - Transit d’exoplanètes :Je ne dis pas qu’il y a aucune exoplanètes, bien au contraire, je suis persuadé qu’il y en a autour de pratiquement toutes les étoiles, car ce sont elles qui génèrent des planètes. 3 – Les maréesC’est sans aucun complexe que je me frotterai aux principes qui régissent les marées. 4 – Incidence des planètes entre-ellesLes planètes sont en orbite dans l’éthersphère solaire (champ de pesanteur solaire) et leur champ de pesanteur, limité en dimension (sphère d’influence), n’entre pas en contact.

Jacob Barnett, 12 ans, va t-il remettre en question la théorie de la relativité d’Einstein ? Photo: iupui.edu Jacob Barnett alias « Jake » est un jeune américain de 12 ans qui fait le buzz actuellement aux Etats-Unis. L’adolescent pourrait tenter de remettre en question la célèbre théorie de la relativité d’Einstein E=mc². Originaire d’Hamilton dans l’état de l’Indiana, Barnett souffre du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme qui dans son cas l’a transformé en génie.

Avec un Quotient intellectuel de 170 (plus que celui d’Albert Einstein), il prépare actuellement son doctorat à l’Université de l’Indiana IUPUI (joli coup de pub pour l’établissement universitaire) et devrait commencer à travailler en tant que chercheur prochainement. Un centre de recherche de la Côte Est américaine lui a déjà trouvé un financement pour ses futurs travaux… Jake est capable de réciter rapidement l’alphabet à l’envers, écrire aussi à l’envers, résoudre un puzzle de 5000 pièces en très peu de temps, réciter les 200 premières décimales de Pi (dans les deux sens) et mémoriser tout un tas de choses.