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Pensée. « Qu'est-ce que la pensée ? Platon l'a très bien défini: "un dialogue invisible et silencieux de l'âme avec elle-même"Invisible et silencieux. Secret. Ce qu'on appelle la vie intérieure, c'est cette vie secrète qui, de prime abord, je dis bien de prime abord, on va en reparler, sinon il n'y aurait pas d'ambiguïté, est dissimulée à l'autre, opaque à l'autre. Il y a une sorte de sphère invisible qui m'entoure et où nul ne pénètre sauf par effraction, et est-ce que ce n'est pas là le grand privilègede l'être humain ?

Dans les périodes les plus difficiles de l'histoire de l'Humanité, par exemple la fin de la Cité Grecque Antique, ou l'effondrement de l'Empire Romain, on s'aperçoit qu'au moment où les hommes éprouvent douloureusement leur impuissance à l'égard de leur destin, des philosophes vont tenter de sauvegarder la dignité humaine en invitant l'homme à se replier sur son for intérieur, for, forum en latin, le lieu où l'on parle, le lieu où l'on se parle à soi-même. Le commencement de la pensée est dans la réalité.

1. Commencement Tout est possible. Tout est pensée. « Notre hypothèse de travail est donc : tout est hypothèse de travail. » La totalité est le ici et maintenant, le commencement. La réalité est ce qui arrive, au commencement. Ce qui arrive est ce qui est fait. Dans le fait, dans ce qui arrive, dans la réalité, il y a ce qu’on ne peut pas changer. Alors que la réalité ne peut pas être pensée, la pensée peut être réalisée. La contradiction naît ainsi en même temps que l’acte initial, dont naît tout. A travers ces différentes conceptions du commencement et de la totalité, la pensée apparaît comme le négatif de la réalité. La contradiction est la métaphore du drame de la création qui est, en vérité, drame de la scission, projet non accompli. 2. La pensée est tout ce qui s’échappe de la réalité, c’est-à-dire non seulement tout ce qui existe, mais même tout ce qui est. . « La pensée est tout ce qui est » signifie d’abord, ici et maintenant, que la réalité aussi est de la pensée. 3. 4. 5.

L'expérience aporétique aux origines de la pensée. Pensée latérale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pensée latérale est un ensemble de techniques théorisées par Edward de Bono, Docteur maltais en médecine et en philosophie, Master en psychologie et physiologie et auteur de plusieurs livres sur la créativité.

Cet ensemble de méthodes de résolution de problème consiste à approcher les problèmes sous plusieurs angles au lieu de se concentrer sur une approche unique[1]. Définition et application[modifier | modifier le code] La pensée latérale se définit par opposition à la pensée verticale, qui est la pensée classique, caractérisée par la continuité entre les étapes et la validation pas à pas des hypothèses et de chaque résultat intermédiaire.

En pensée verticale, une idée dont l'applicabilité n'est pas validée est rejetée et n'est plus considérée dans la suite du processus. L'invalidation d'une idée en pensée verticale se fait classiquement à travers les objections suivantes : Techniques de pensée latérale[modifier | modifier le code] Qu'est-ce que penser ? Qu'est-ce que penser ? L'origine de la pensée. Essayons donc de comprendre l'ensemble de cette structure complexe qu'est la pensée. Voyons ce qu'est la mémoire, comment la pensée prend naissance, comment elle conditionne tous nos actes ; et, en comprenant tout cela, peut-être rencontrerons-nous quelque chose que la. pensée n'a jamais pu découvrir, une chose à laquelle la pensée n'a jamais pu ouvrir la porte.

Les idées sont devenues pour nous beaucoup plus importantes que l'action les idées qu'exposent les intellectuels avec tant de talent, sur toutes les questions. Nous avons séparé les idées de l'action, parce qu'elles sont toujours du passé tandis que l'action est toujours du présent vivre est toujours du présent. Nous avons peur de vivre, et c'est pour cela que le passé, en tant qu'idées, est si important pour nous. Aucun fait nouveau ne peut être vu par la pensée. Si on se rend compte de la façon dont naît la pensée, on n'a plus besoin de la diriger. . Pensée complexe.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble".

Les constituants sont différents, mais il faut voir comme dans une tapisserie la figure d’ensemble. Le vrai problème (de réforme de pensée) c’est que nous avons trop bien appris à séparer. Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Daniel, M. LA PENSEE COMPLEXE 1 / La complexité est une simplicité enrichie. Parlons un peu de complexité c'est sans doute pour cela que certaines personnes nous disent que nous parlons chinois Faisons d'abord une première distinction. Est compliqué ce qui n’est pas simple. C’est une évidence qu’il faut approfondir pour comprendre que ce qui est complexe repose sur une simplicité mais n’est pas ce qui est compliqué. Complexe s’« oppose » donc à compliqué de la même manière que l’intuition qui réclame l’intelligence n’est pas cette seule intelligence.

Si on fait un usage de sa seule intelligence on obtient une pensée qui certes rend tout objectif mais la « seule » intelligence est malheureusement réflexive et déprécie donc la vie. Ainsi on peut comprendre que la complexité s'appuie sur l'intuition d'un ordre beaucoup plus large et plus chaosmatique, pour faire deleuzien, alors que ce qui est compliqué est le résultat de l'intelligence qui ne parvient à s'extraire de ses concepts contradictoire.

LA PENSEE COMPLEXE 2 / L'émulsion ou le fait de faire tenir ensemble ce qui n'a pas de rapport. Qu'est-ce que l'émulsion ? On a déjà abordé ici ce terme grec qu'est la stasis : cette déchirure de la cité organisée en partis politiques opposés qui donne l’Etat ou l’équilbire des forces. On peut distingué une stasis contemporaine, tragique et complexe à la fois qui se différenciait de la stasis athénienne qui au fond fut une impasse avec l’émergence de gens comme le Socrate de Platon ou Platon lui-même, qui n’assumaient le côté tragique de l’existence et mettaient en avant une dimension morale qui consistait à aiguillonner les consciences plutôt qu’à réenclencher un mouvement comme le fut la pensée préplatonicienne.

Maintenant je peux vous donner un synonyme, à tous ces dispositifs relever chez Nietzsche, Antigone ou encore chez les rats. Le synonyme de stasis c’est l’émulsion, pensez aux émulsifiants de l’industrie agro-alimententaire, tous les E400 à E483 qu’on trouve dans nos aliments. Nul ne sait quel sera le destin de la pensée. LA PENSEE COMPLEXE 3 | Les systèmes complexes adaptatifs. Les systèmes complexes adaptatifs ne sont que des systèmes ouverts et des champs opératoires , c'est-à-dire des postures institutionnelles de savants transposés notamment sur le cerveau et les réseaux. Vous pourrez lire cela dans les citations d'un entretiens de Paul Bourgine (diffusé vendredi dernier sur France Culture).

Ces systèmes ou ces postures scientistes qui ne sont en rien toute la compléxité , pour preuve les livres de Bernard Lahire qui distingue le jeu chez Kafka du champ littéraire désigné par Bourdieu depuis son institution. Il y a décalque d'une posture scientique et non inscription de la coomplexité. Les théories issues des systèmes complexes ne font en fait que poser la sélection et l'adaptation chère à Darwin, que nous nous permettons de critiquer par ailleurs. /Pourquoi produire un système ouvert qui plus est adaptatif ? "On comprend bien que la même question se repose pour les réseaux sociaux. LA PENSEE COMPLEXE 4 / La simplexité. Sorte de compromis entre anarchie et hiérarchie, on parle d'hétérarchie à partir du moment où, dans une organisation, il n'y a pas de "niveau supérieur". A propos de l'autonomie je vou avais parlé des rats à présent on peut parler des fourmis. cette notion ("hétérarchie dense") a été introduite par Wilson en 1988 pour décrire les mécanismes de communication dans une colonie de fourmis.

D'autres diront que c'est Warrren Mc Culloch, l’un des premiers cybernéticiens, qui avait créé ce terme pour décrire certains programmes informatiques. Quoiqu'il en soit l'encyclopédie Wikipédi en est le parfait exemple. L’hétérarchie (eteros, autre en grec) c’est le pouvoir que je reconnais à l’autre à condition qu’il demeure mon égal et que nous convenions ensemble de coopérer sans suivre un plan et sans jamais nous soumettre à une autorité ni nous laisser aliéner par un chef.