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Parménide. Parménide, philosophe grec, de l'école éléatique, fils de Pyrès, né vers le milieu du VIe siècle av.

Parménide.

J. -C. (vers 544-540) à Élée, en Grande-Grèce (Italie du Sud). Nous n'avons que très peu de renseignements sur sa vie. Xénophane avait déjà affirmé l'unité et l'immobilité de l'être et peut-être distingué le point de vue de l'opinion du point de vue de la vérité. Parménide, selon la Chronique de Nuremberg(fin du XVe siècle).. Il faut, dit Parménide, choisir entre deux partis : ou bien admettre que l'être est et que le non-être n'est pas, ou bien prétendre que l'être n'est pas et que le non-être est. . - qu'il est improduit et indestructible. Telle est, d'après les fragments que nous avons à peu près textuellement traduits, la doctrine métaphysique de Parménide. Aristote a, en un sens, raison de dire que Parménide ne s'est pas élevé au-dessus du point de vue de la matière. L'univers est composé de plusieurs cercles concentriques. Et la Voie lactée en sont comme des soupiraux; la Terre.

PARMÉNIDE. Les indications de Diogène Laërce situent la maturité de Parménide autour de 500 avant J.

PARMÉNIDE

-C. et en font un contemporain d'Héraclite. Celles de Platon la situent autour de 480. Dans son Parménide, Platon place Socrate en position d'étudiant par rapport à Zénon, et Zénon en position de disciple par rapport à Parménide. Ce qui vaut dans ce témoignage, c'est moins une histoire, chronologiquement incertaine et construite selon des schémas de tradition, que la reconstitution d'une lignée spirituelle. À trois générations de distance du maître, Platon se sait y appartenir, bien que la pensée de Platon procède de lignées croisées, et prenne son essor au prix d'un « meurtre de l'ancêtre ». Parménide. Parménide. Diogène Laërce, Parménide - Les isolés et les Sceptiques. Traduction Robert Genaille, 1933 Parménide d’Élée[1], fils de Pyrès, fut disciple de Xénophane, mais Théophraste, dans son Abrégé, dit qu’il fut disciple d’Anaximandre.

Diogène Laërce, Parménide - Les isolés et les Sceptiques

Toutefois, même s’il fut disciple de Xénophane, il n’a pas été d’accord avec lui par la suite. Il eut pour amis Aminias et Diochaète le Pythagoricien (cf. Sotion), homme pauvre, mais homme de bien qu’il fréquenta de préférence et à qui il éleva une chapelle après sa mort. Riche et célèbre, c’est par Aminias, non par Xénophane, qu’il fut conduit à une vie sage. Tu dois apprendre à tout connaître, Et le coeur ferme de la vérité, Et les opinions des hommes où ne reste pas de croyance vraie. Lui aussi philosophe en vers, comme Hésiode, Xénophane et Empédocle. Ne tente pas, suivant cette route commune de la coutume, De prendre pour règle ton oeil aveugle, ton oreille pleine de bruits, Et ta langue, mais que la raison tranche les arguments controversés. C’est pourquoi Timon a dit de lui : Parménide et le non-être. Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 20:59 Parménide (540 à 470 avant Jésus-Christ), philosophe de l'unité de l'être, fut l'un des premiers penseurs grecs à considérer les paradoxes impliqués par la théorisation des recherches philosophiques, paradoxes à la limite de la considération logique.

Parménide et le non-être

Considérant l'étant, « sans commencement, éternel, homogène, immuable, hors du temps, un, continu » et le non-être, il fut amené à se poser la délicate question de l'existence de ce dernier. Mais cette existence lui apparut comme impossible « car l'être est en effet, mais le néant n'est pas », ce qui induisit un paradoxe. Se faisant il posait un problème d'interprétation de la non-existence elle-même et on perçoit dès lors la nécessité de la définition stricte. Jusqu'alors les notions philosophiques abordées avaient été étudiées par rapport à leurs qualités et à leurs conséquences.

« Présentation de la doctrine de l’être de Parménide » Parménide : de la nature. Οὐ γὰρ μήποτε τοῦτο δαμῇ εἶναι μὴ ἐόντα· ἀλλὰ σὺ τῆσδ' ἀφ' ὁδοῦ διζήσιος εἶργε νόημα.

Parménide : de la nature

Μηδέ σ' ἔθος πολύπειρον ὁδὸν κατὰ τήνδε βιάσθω, νωμᾶν ἄσκοπον ὄμμα καὶ ἠχήεσσαν ἀκουήν καὶ γλῶσσαν, κρῖναι δὲ λόγῳ πολύδηριν ἔλεγχον 5 ἐξ ἐμέθεν ῥηθέντα. Μοῦνος δ' ἔτι μῦθος ὁδοῖο λείπεται ὡς ἔστιν· ταύτῃ δ' ἐπὶ σήματ' ἔασι πολλὰ μάλ', ὡς ἀγένητον ἐὸν καὶ ἀνώλεθρόν ἐστιν, ἐστι γὰρ οὐλομελές τε καὶ ἀτρεμὲς ἠδ' ἀτέλεστον· οὐδέ ποτ' ἦν οὐδ' ἔσται, ἐπεὶ νῦν ἔστιν ὁμοῦ πᾶν, 5 ἕν, συνεχές· τίνα γὰρ γένναν διζήσεαι αὐτοῦ; Πῇ πόθεν αὐξηθέν; Οὔτ΄ ἐκ μὴ ἐόντος ἐασέω φάσθαι σ(ε) οὐδὲ νοεῖν· οὐ γὰρ φατὸν οὐδὲ νοητόν ἔστιν ὅπως οὐκ ἔστι. Τί δ' ἄν μιν καὶ χρέος ὦρσεν ὕστερον ἢ πρόσθεν τοῦ μηδενὸς ἀρξάμενον φῦν; 10 Οὕτως ἢ πάμπαν πελέναι χρεών ἐστιν ἢ οὐχί.

Οὐδὲ διαιρετόν ἐστιν, ἐπεὶ πᾶν ἐστιν ὁμοῖον· οὐδέ τι τῇ μᾶλλον, τό κεν εἴργοι μιν συνέχεσθαι, οὐδέ τι χειρότερον, πᾶν δ' ἔμπλεόν ἐστιν ἐόντος. Τῷ ξυνεχὲς πᾶν ἐστιν· ἐὸν γὰρ ἐόντι πελάζει. 25 Ταὐτὸν δ' ἐστὶ νοεῖν τε καὶ οὕνεκεν ἔστι νόημα.