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Un homme-machine dans la tourmente. L'homme se regardant de manière réflexive se distinguait de l'animal et de la chose, être doué de raison et social pour les Anciens, et créature à l'image de Dieu, devant cultiver l'univers pour les chrétiens. Mais comment l'homme en est-il arrivé à ne plus pouvoir distinguer en lui l'humain du technique, à préférer s'adresser à un écran d'ordinateur plutôt qu'à son voisin, à croire avoir atteint l'épanouissement de son humanité alors qu'il est toujours plus esclave de son désir ? Il faut d’emblée voir le flou qui entoure le concept de machine. Ne disons-nous pas couramment, lorsque nous voyons une plaie cicatriser rapidement que le corps humain est une « formidable machine » ? Mais l'homme postmoderne qui oublie qu'il demeure « charnel », revendiquant des libertés imaginaires et agissant par conformisme paraît déshumanisé. Des antécédents philosophiques mécanistes.

L'Homme Machine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Homme Machine

L'Homme Machine est un ouvrage de Julien Offray de La Mettrie publié en 1747. Résumé[modifier | modifier le code] L’esprit doit être considéré comme une suite de l’organisation sophistiquée de la matière dans le cerveau humain : l’homme n’est donc qu’un animal supérieur (comme l’automate de Vaucanson). L'Art de jouir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Art de jouir

L’Art de jouir est un court ouvrage de Julien Offray de La Mettrie, paru en 1751, où ce dernier fait l'apologie de la volupté. Le livre est semblable à une longue lettre où le philosophe s'adresse à une femme (puisqu'il s'adresse à une certaine Céphise à la fin de l'ouvrage), et est donc en opposition avec les livres « classiques » de philosophie (que La Mettrie considère comme de la « froide Philosophie »). Julien Offray de La Mettrie : L'Homme Plante.