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Actualité articles L’Epicurisme

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Epicurisme. L'épicurisme est une doctrine philosophique qui tire son nom d'Épicure, son fondateur.

Epicurisme.

C'est surtout comme système de morale qu'elle est célèbre.L'épicurisme a un but essentiellement pratique, qui est de découvrir les moyens de rendre l'homme heureux. Aussi la morale tient-elle, dans cette doctrine, une place prépondérante. L’Epicurisme. La définition moderne de l’épicurisme : Un malentendu On entend souvent parler d’épicurien et d’épicurisme au coin de la rue ou dans les conversations courantes.

L’Epicurisme

Approches de la philosophie d'Epicure par Michel LIEGEOIS. Approches de la philosophie d'Epicure par Michel LIEGEOIS Epicure est né en 341 avant J.C. dans l'île de Samos où il reçut d'abord l'enseignement du platonicien Pamphyle, puis, à Théos, celui d'un disciple du matérialiste Démocrite, Nausiphane,.

Approches de la philosophie d'Epicure par Michel LIEGEOIS

Une fois dégagé de ses obligations militaires, il suivit à Athènes les leçons de Xénocrate qui dirigeait, depuis la mort de Platon, l'Académie. Après des voyages à Colophon, Mytilène et Lampsaque (sur les Dardanelles, en face de Gueliboli), il revint à Athènes où il fonda, en 306, sa propre école, Le Jardin. Ses cours consistaient en conversations amicales avec ses élèves et disciples, au rang desquels se trouvaient des personnages célèbres (Mithrès et Idoménée par exemple), tout comme des esclaves, des femmes, et même des éthaïres.

L'épicurisme : présentation et doctrine. L'épicurisme, qui fut avec le stoïcisme l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité, est souvent confondu à tort avec une recherche effrénée du plaisir.

L'épicurisme : présentation et doctrine

» La sagesse épicurienne. Pour Epicure, la fin de l'existence humaine est le bonheur. « Avec le bonheur nous avons tout ce qu'il nous faut et si nous ne sommes pas heureux, nous faisons tout pour l'être ».

» La sagesse épicurienne

Lettre à Ménécée. 14. 15. (Cf. Texte et Commentaire détaillé) PB : Qu'est-ce que le bonheur ? Epicure répond : C'est le plaisir. Mais il faut lever les malentendus que l'idée de plaisir suscite. « Quand nous disons que le plaisir est le but de la vie, nous ne parlons pas des plaisirs des voluptueux inquiets, ni de ceux qui consistent dans les jouissances déréglées... » 152.153.154.155. Epicure, le plaisir du savoir-vivre « Limites. Epicure (342-270 avant J.

Epicure, le plaisir du savoir-vivre « Limites

-C.) fait partie de ces quelques philosophes dont l’histoire a retenu le nom pour désigner une attitude de vie. L’épicurien, c’est le bon vivant, le jouisseur, le cueilleur du jour, le profiteur de la vie. C’est pourquoi, en nos Temps modernes du Désir tout puissant, on s’attendrait à voir dans Epicure un philosophe précurseur de la croissance et du toujours plus plutôt qu’un « défricheur de la décroissance ». Il y a pourtant un premier point commun évident entre épicurisme et décroi ssance : l’un comme l’autre sont de telles provocations que les calomnies et les approximations sur leur compte sont plus aisées à adopter qu’une patiente et généreuse attention à leur pensée « sur la crête ». Epicure : le faux sensualisme.

La pensée d’Epicure se réduit souvent à ce préjugé négatif sur une forme de délicatesse et de jouissance exquise : le carpe diem qui fait des épicuriens des « pourceaux ».Le problème est plus précis.La pensée d’Epicure réévalue le statut de la sensation et de la perception.Si pour Platon, la sensation est un degré moindre de réalité et de connaissance, si Aristote prend au sérieux la sensation et la perception comme mode d’être et de connaître, aucun d’eux n’institue dans ce que l’on peut qualifier de pensée esthétique (du sensible et de sa perception) un rapport éthique.

Epicure : le faux sensualisme

Qu’est ce que l’éthique :C’est l’appropriation du monde par une manière d’être, c’est un concept variable selon les modalités conceptuelles chez les philosophes.Si la sagesse – voire la philosophie- a pour détermination un mode d’exister particulier, ce mode d’exister se qualifie par une pertinence entre les enjeux conceptuels et les pratiques de vie. Pourquoi sont-elles claires ? Si on résume : Les ambiguïtés de la conception épicurienne du temps. La Lettre à Hérodote d’Épicure, si l’on se réfère à son préambule, constitue un schème condensé de ce qu’il faut se rappeler en toute circonstance à propos de la nature pour mener une vie exempte de trouble.

Les ambiguïtés de la conception épicurienne du temps

Le temps du savoir doit s’accorder au temps de la vie heureuse. Il doit se ramasser sur lui-même comme le temps éthique est ramassé sur lui-même grâce à la mémoire, qui nous rappelle les biens passés, et grâce à une anticipation sereine de l’avenir, dont nous savons qu’il n’est pas à craindre [1] Lettre à Ménécée, 122. Pour la Lettre à Hérodote,... [1] .

Il est donc d’emblée question du temps, bien que de manière implicite, et l’on est en droit d’attendre de la Lettre qu’elle nous en propose une définition. Épicure passe de l’implicite à l’explicite aux § 72-73. 1 / Le temps est-il externe et objectif ou bien intime et subjectif ? 2 / Comment connaissons-nous le temps ? Il serait illusoire de penser que l’on puisse ici résoudre intégralement toutes ces difficultés. L’amitié épicurienne, entre plaisir et vertu. Épicuriens et stoïciens. La décadence rapide des écoles de l'Académie et du Lycée, après la mort de leurs fondateurs, la reprise active et de plus en plus prononcée des doctrines d'Aristote et de Platon, au bout de cinq cents ans pendant lesquels on avait vu les ouvrages d'Aristote tomber dans un désordre inexprimable et manquer de se perdre, et la Nouvelle Académie se confondre ou à bien peu près avec la secte de Pyrrhon, ce phénomène singulier de l'histoire de la philosophie, dont aucune révolution politique ou religieuse n'est là pour donner la raison, a besoin d'être expliqué dans ses deux phases:celle de l'oubli, celle du retour.

Épicuriens et stoïciens

Voici ce qui nous en semble. L'épicurisme et le stoïcisme comparaison.