Promenades autour du symbole psychanalytique : anasémie et pratique analytique. Du jeu de la théorie et de l'introjection. Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Revue française de psychanalyse (Paris) Informations détaillées Notice complète Titre : Revue française de psychanalyse (Paris) Titre : Revue française de psychanalyse : organe officiel de la Société psychanalytique de Paris Auteur : Société psychanalytique de Paris Éditeur : G. Éditeur : Presses universitaires de France (Paris) Date d'édition : 1927 Type : texte,publication en série imprimée Langue : Français Format : application/pdf Identifiant : ark:/12148/cb34349182w/date Identifiant : ISSN 00352942 Source : Bibliothèque Sigmund Freud, 8-T-1162 Relation : Description : Etat de collection : 1927-2000 Description : Appartient à l’ensemble documentaire : Pam1 Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 03/12/2008 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières 1347 Page zoom.
A propos des clivages du moi et des clivages du psychisme. Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Revue française de psychanalyse (Paris) Informations détaillées Notice complète Titre : Revue française de psychanalyse (Paris) Titre : Revue française de psychanalyse : organe officiel de la Société psychanalytique de Paris Auteur : Société psychanalytique de Paris Éditeur : G. Éditeur : Presses universitaires de France (Paris) Date d'édition : 1927 Type : texte,publication en série imprimée Langue : Français Format : application/pdf Identifiant : ark:/12148/cb34349182w/date Identifiant : ISSN 00352942 Source : Bibliothèque Sigmund Freud, 8-T-1162 Relation : Description : Etat de collection : 1927-2000 Description : Appartient à l’ensemble documentaire : Pam1 Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 03/12/2008 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières NP Page zoom Aide.
Du tact chez Ferenczi à la résonance chez Nicolas Abraham. Convergences. Que penser de l'expression "faire son deuil"? Nous sommes mortels et, à moins de mourir très jeune, nous sommes tous amenés à perdre des parents et des proches. Le deuil est une variété de traumatisme à laquelle nous ne pouvons échapper. "Faire son deuil " signifie d'abord, sur le versant négatif de la privation, accepter progressivement de ne plus revoir la personne décédée en ce monde, de ne plus pouvoir échanger avec elle, régler une dispute éventuelle, continuer un travail en commun ou lui demander conseil comme nous le faisions parfois. "Faire son deuil" , c'est aussi sur un plan plus positif, réorganiser en nous tous les souvenirs de ce que nous avons échangé avec le défunt.
Lors de la perte d'un très proche, la tradition chrétienne prévoyait un an de grand deuil et deux ans de demi-deuil. Ceci correspond assez bien à la réalité psychique. Des recherches menées, après la seconde guerre mondiale, par des psychanalystes, psychiatres et sociologues... ont donné toute leur place à certains types de deuils. Le psychanalyste croit-il aux fantômes? Freud a dit quelque part qu'il ne pensait pas que la plupart des psychanalyses aillent si loin qu'elles amènent les analys(ants)és à modifier leurs croyances ou leur incroyance religieuse. Il y a donc des analysés et des analystes de presque toutes les religions ou sectes existantes et , parmi eux, des analystes qui croient aux fantômes des traditions populaires internationales. Il semble tout de même que l'athéisme soit plus répandu chez les disciples de Freud, comme chez ceux de Marx, que dans l'ensemble de la population.
Toutefois, Eric Fromm a bien montré que beaucoup de pionniers de la psychanalyse aux côtés de Freud étaient des hommes sans conviction religieuse ni politique qui sont entrés dans le mouvement psychanalytique comme dans une religion, d'où toute une organisation hiérarchique religieuse avec des "évêques" et, parfois, "un pape" officiel ou secret.