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Tunisie/Egypte

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"J’ai été payé 5000 livres pour semer le chaos dans les manifestations du Caire" "Je pense qu’il a accepté que je le filme pour attendrir les gens" Mohamed Abd Elatty est journaliste freelance et blogueur au Caire. C'est lui qui a filmé ces aveux. Hier, quand la foule arrêtait les pro-Moubarak qui l'attaquaient, elle les désarmait et les remettait aux soldats qui se trouvaient à proximité. Dans la soirée, je me suis approché d’un groupe de manifestants qui avait arrêté une bande de "baltgias". L’armée était un peu plus loin.

J’en ai profité pour demander aux "pro-Moubarak" si l’un d’entre eux était prêt à témoigner, car beaucoup de rumeurs circulaient sur l’identité et les motivations de ces personnes. Ce jeune homme a été le seul à accepter. Il m’a raconté qu’il venait d’Alexandrie et qu’il avait été arrêté - par erreur selon lui - pour une histoire de trafic de drogue. C’est vrai qu’un tel passage aux aveux peut étonner.

?Ils nous ont dit que nous ?tions peut-?tre des agents am?ricains ou - Lib?ration. Notre envoyée spéciale au Caire, Elodie Auffray, a repris ce jeudi l’avion pour Paris. Sur le trajet entre son hôtel et l’aéroport, elle a été arrêtée par un barrage d’une vingtaine de jeunes gens en civil qui lui ont dérobé la carte mémoire de son appareil photo. Elle raconte. «On est partis précipitamment de l’hôtel, un peu avant 8 heures jeudi matin, parce qu’on a été informés que les routes autour de la place Talaat Harb, dans le centre du Caire, allaient être coupées. Le taxi a été arrêté à un barrage après dix minutes de route environ, près de la moquée Al-Azhar.

«Ils étaient un peu paniqués, un peu stressés. «Il est clair que nous avons été arrêtés parce que nous étions deux étrangers dans la voiture. «Par contre ils m’ont pris mon appareil photo et, lorsqu’ils me l’ont rendu, la carte mémoire avait disparu. «Ils nous ont dit que nous étions peut-être des agents américains ou israéliens. ?Mieux vaut ?tre arr?t? par des anti-Moubarak? - Lib?ration.

[INFO OBS] Le deuxième voyage en jet privé de Michèle Alliot-Marie - Politique. A harrowing, historic week in Egypt. They have been days of chants and chaos, bloodshed mixed with moments of breathtaking solidarity between the protesters and the soldiers sent to subdue them. The flame of social unrest that first flickered in Tunisia has spread to Egypt, culminating with the announcement Tuesday by President Hosni Mubarak that after three decades in power, he would not run for another term.

The clashes left government buildings in ashes, stores ransacked, and an economy teetering. Cairo's international airport teemed with Americans and other foreigners trying to flee; Egypt's tourism industry froze. At Cairo's Liberation Square, Mubarak's announcement was met with jeers and calls for an immediate resignation. President Hosni Mubarak, in a taped speech shown Tuesday night, announces he would not run for reelection.

Arr?t sur images - De Canal+ ? France 2, MAM mot ? mot. Ben Ali : autocritique de Jeune Afrique. "Des lecteurs exigeants, dont nous publions les lettres dans ce numéro, nous reprochent avec amertume de ne pas avoir dit «toute la vérité» sur les méfaits du pouvoir déchu, voire de l’avoir volontairement occultée, lorsque ce dernier régnait sur la Tunisie", écrit le magazine Jeune Afrique qui fait une autocritique en expliquant son attitude. "Pendant vingt-trois ans, le type de relation qui a prévalu entre Jeune Afrique et Zine el-Abidine Ben Ali peut être qualifié de «cohabitation conflictuelle». (...) Lorsque Ben Ali arrive au pouvoir entouré de la ferveur populaire, le 7 novembre 1987, J.A. est interdit en Tunisie depuis six mois sur ordre d’un Bourguiba à bout de souffle.

L’une des toutes premières mesures prises par le nouveau président et son Premier ministre de l’époque, Hédi Baccouche, est de lever cette interdiction. Entre nous et le Palais de Carthage commence alors une période des «cent fleurs» qui durera… quatre semaines. Jeune Afrique daté du 23 janvier 2011 Abonnez-vous ! C'est la faute au net. Confusion au Caire dans une ambiance extrêmement tendue - international - toute l'actualité internationale. © © France Info - Radio France Actualisé à 18h45 avec l'interview du vice-président Les opposants au régime d'Hosni Moubarak ne comptent pas lâcher la place Tahrir. En dépit des assauts violents des partisans du rais qui ont fait au moins six morts et plus de 800 blessés, ces milliers de manifestants n'en démordent pas : Moubarak doit quitter le pouvoir. Leurs armes : des pierres.

Entre les deux camps, l'armée tente de faire respecter une sorte de "zone tampon". La situation est donc toujours extrêmement tendue et le Premier ministre égyptien s'est excusé jeudi pour les affrontements meurtriers. "Je présente toutes mes excuses pour ce qui s'est passé hier et il y aura une enquête", a déclaré Ahmed Chafic. Le Premier ministre a également fait aveu d'impuissance. Tentative d’apaisement ? Egypt news day ten: Army steps in; journalists arrested. An anti-government demonstrator prays near Egyptian army vehicles on Thursday.

(John Moore/Getty Images) For Friday's update, follow the live blog here. » Day Nine Protests » Day Eight Protests » Day Seven Protests » Day Six Protests » Day Five Protests » Day Four Protests » Day One Protests » Latest Tweets about Cairo » Police rejoin army in the streets: The Washington Post report » Submit protest photos | Full photo gallery Latest UpdatesWe'll be marking time in EST. Egypt is seven hours ahead. (See World Clock here.) Clashes through the day; uneasy night ahead12:42 a.m. A wounded anti-government protester holds up his bloodied hand as he is carried by others back from clashes on Thursday.

Anti-government protesters and regime supporters clashed throughout Thursday, with more rock-throwing battles and attacks on reporters, foreigners and rights workers. Jon Snow with Britain's Channel 4 News posted this report from the clashes earlier Thursday: Cairo in panorama11:53 p.m. I am ok. Egypt: ABC News Reporter Brian Hartman Threatened With Beheading While Covering Egypt Uprising. <br/><a href=" US News</a> | <a href=" Business News</a> Copy A group of angry Egyptian men carjacked an ABC News crew and threatened to behead them today in the latest and most menacing attack on foreign reporters trying to cover the anti-government uprising. Producer Brian Hartman, cameraman Akram Abi-hanna and two other ABC News employees were surrounded on a crowded road that leads from Cairo's airport to the city's downtown area.

While ABC News and other press agencies had been taking precautions to avoid volatile situations, the road to the airport had been a secure route until today. Hartman says it was only through the appeal of Abi-hanna, who is Lebanese and a veteran ABC cameraman, that they were saved from being killed or severely beaten. "We thought we were goners," Hartman said later. Moments later, the ABC News staffer said, "They're surrounding us. " Then cryptically, "We have to go. " En Tunisie, "reprendre une vie normale est un acte militant" Dans la plupart des secteurs, l'activité reprend Trois semaines après le départ du président déchu Zine El-Abidine Ben Ali, des internautes présents en Tunisie nous racontent leur quotidien.

"Le pire est déjà derrière nous", par Mouadh La vie reprend peu à peu son cours normal à Tunis. Les actes de pillage se raréfient. (...) "C'est le prix à payer ! " Depuis l'interview qu'a donnée le ministre de l'intérieur, les gens sont de plus en plus confiants. "Le ciel est plus silencieux cette semaine", par Samer Je travaille dans le centre de Tunis pour une organisation internationale. "Reprendre une vie normale : un acte militant", par Rached Dans la société qui m'emploie (...), nous avons essayé de reprendre le travail dès le 18 janvier malgré le couvre-feu et la relative insécurité.

"A l'université, les choses sont rentrées dans l'ordre", par Ichrak Je suis enseignant-chercheur en biologie à l'université de Tunis El-Mana. Le Monde.fr Abonnez-vous au Monde.fr : 6 € par mois + 1 mois offert. Et si la justice tunisienne s'intéressait à MAM ? - MAM, la grande pro du gouvernement, a encore frappé. Après l’aide à la police de Ben Ali et les chaussures de Gaza, voici l’avion du beauf et du financier de Ben Ali.

MAM a fait le choix de passer ses vacances de Noël en Tunisie : bonne pioche ! Le 17 décembre, Mohamed Bouazizi, 26 ans, s’était immolé par le feu à Sidi Bouzid, un geste ouvrant vers les premières manifestations et les premiers morts. Mais c’était tellement vacances que MAM n’avait pas lu les journaux. C’est les vacances, et on se prive de rien. La ministre a confirmé en bredouillant des salades avariées dans le genre Aziz Miled et Belhassen Trabelsi n’étaient pas des proches du régime. Ceci dit, il y a un autre problème qui pourrait être plus gênant. Si l’avion appartient à Aziz Miled et Belhassen Trabelsi, comme deux bons copains qui ont acheté un vélo ensemble, pas d’obstacle juridique. Si l’avion appartient à une société, ça change tout pour MAM. Elle est rigolote cette histoire, finalement. Les actualités du droit. Le Caire: "Des heurts sur le pont du 6-Octobre"

Le photographe de La Vie matraqu? en Tunisie - Monde. Il est environ 18h, samedi 29 janvier sur l'avenue Bourguiba, la grande artère de Tunis. Nous couvrons la fin de la manifestation pour les droits des femmes, pour un futur article à paraître dans l'hebdomadaire La Vie. Le cortège a été chahuté par la présence de nombreux provocateurs "RCD", l'ancien parti de Ben Ali. Les participants se sont peu à peu dispersés. Il y a encore beaucoup de monde sur l'avenue, quand les policiers tunisiens chargent. Après avoir lancé des bombes lacrymogènes, ils poursuivent les manifestants, matraque à la main. Un jeune homme qui s'enfuit est rattrapé. D'autres arrivent et s'acharnent dessus. Human rights watch, (HRW) une ONG internationale de défense des droits de l'homme, a relaté les faits dans un article dénonçant les violences policières de ces derniers jours à Tunis.

MAM en Tunisie: le jet est celui du clan Ben Ali! MAM et la Tunisie: la polémique ne s'éteint pas. La polémique autour des vacances tunisiennes de la chef de la diplomatie Michèle Alliot-Marie se poursuivait jeudi en dépit des explications de la ministre et du soutien du plus haut niveau de l’Etat, la gauche réclamant toujours avec force sa démission.

A la mi-journée, le Premier ministre, François Fillon, a voulu fermer le ban en assurant la ministre des Affaires étrangères de «toute (sa) confiance» et de celle du président Nicolas Sarkozy. Il a dénoncé une «polémique très politicienne». «Michèle Alliot-Marie s’est expliquée, elle-même fait son mea culpa, elle a dit qu’elle ne le referait pas», avait fait valoir plus tôt le porte-parole du gouvernement, François Baroin, en estimant «l’affaire close». Il est reproché à la ministre de s’être rendue fin décembre en vacances en Tunisie, avec son compagnon et ministre, Patrick Ollier, alors que les troubles avaient commencé, puis d’avoir bénéficié pour un vol intérieur du jet privé d’un de ses amis, l’homme d’affaires tunisien Aziz Miled. MAM et la Tunisie: le vrai visage d'un ?ami? encombrant. Michèle Alliot-Marie : de Tarnac à Tabarka, une ministre hors-sol.

Où trouver les meilleures informations sur la situation égyptienne sur internet ? Pdviz. Reporters in Egypt Under Broad Assault. Révolution de Jasmin. Révolution de Jasmin. Si nous perdons la bataille, chacun de nous sera arrêté, harcelé, torturé. Le Caire, 3 février 2011. Place Tahrir, depuis presque vingt longues heures, quelques milliers de manifestants pacifiques répondent à des attaques d'une rare violence. Comme prévu, des blessés. 1500 selon Al Jazeera. Il y a aussi des morts, 5 selon la même source. Des médecins volontaires recousent des oreilles déchirées, des crânes ouverts, des cuisses déchiquetées. Ils sont sur place, par terre ou dans les quelques rares ambulances dépêchées sur place.

Ils opèrent sous les pierres, les cocktails molotov et les tirs à balles réelles du gouvernement Moubarak. Pendant toute la journée du 2, et dans la nuit du 2 au 3, les manifestants se relaient de l'arrière au front. Des hommes de main du gouvernement sont continuellement arrêtés par les manifestants qui les remettent aux militaires. Sur place, les mots pour décrire ce qui se passe appartiennent désormais à un autre registre: crime de guerre, crime contre l'humanité, terrorisme d'état, barbarie. Photo © Reuters. Tunisie, Egypte: les errements de la diplomatie française - international - toute l'actualité internationale. © ©REUTERS/Charles Platiau - Radio France En position d'observateur jusqu'à présent, Nicolas Sarkozy a souhaité “qu'un processus de transition concret s'engage sans tarder” en Egypte.

Un communiqué qui faisait écho à l'intervention du président américain Barack Obama, quelques heures plus tôt. _ Lors de son discours au sommet de l'Union africaine, à Addis-Abeba en Ethiopie, Nicolas Sarkozy s'était contenté d'une phrase sur le sujet. . _ Une vision que partage Jean-Christophe Rufin. _ Il a été ambassadeur de France au Sénégal et en Gambie. Il a quitté Dakar et le Quai d'Orsay. _ Pour lui, il faut faire preuve de “ neutralité ” et “être capable de parler avec tout le monde et malheureusement ca n’est pas le cas ”.

Vidéo : police et pro-Moubarak ripostent dans le sang au Caire. Depuis mercredi soir, le chaos règne dans les rues du Caire. Des centaines de pro-Moubarak sèment la terreur parmi les opposants. Quatre Egyptiens réclamant le départ d’Hosni Moubarak ont été tués ce jeudi matin sur la place Tahrir. Les violences de mercredi soir ont fait treize morts et 1 200 blessés selon les autorités égyptiennes. Depuis 48 heures, les pro et les anti-Moubarak s’affrontent. Les partisans du Président fondent sur les opposants et les rouent de coups de bâtons. Ces milices appuient ainsi la répression policière, accrue depuis quelques jours. Sur ces images, très impressionnantes, une voiture de police fonce sur les manifestants. Les envoyés spéciaux pris pour cibles Les images en provenance du Caire se raréfient ; les journalistes étrangers sont arrêtés les uns après les autres. Certains ont disparu. Il est difficile de savoir dans quelle mesure ces rétentions visent à les protéger tant ils sont devenus la cible des pro-Moubarak.

Il a raconté la première sur Mediapart. Vite dit. Suites judiciaires après les révélations parues à la Une du magazine Closer le 10 janvier dernier (ci-contre). Une photo de l'actrice Julie Gayet au volant de sa voiture parue dans le numéro suivant, daté du 17 janvier a provoqué quatre inculpations. Le photographe Sébastien Valiela et Laurent Viers, son beau-frère et collaborateur, plus l'éditeur de Closer, Carmine Perna, directeur général de Mondadori Magazines France, et Laurence Pieau, directrice de la rédaction, se retrouveront devant le tribunal corrrectionnel pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" selon le procureur de la République de Nanterre cité par l'AFP.

Viers est aussi incupé de faux, et son beau frère de complicité de faux, pour avoir fabriqué une fausse carte de presse à partir de la vraie carte de Valiela.