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Déontologie

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3 métamoteurs pour des recherches approfondies. Si Google truste la très grande majorité des requêtes sur le web, il n’est jamais inutile de temps à autre d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. Pour des recherches approfondies et pour vous éviter de perdre du temps en surfant d’un moteur à un autre vous pouvez utiliser un métamoteur de recherche. Voici une liste de trois métamoteurs qui ont résisté à la déferlante Google et qui peuvent encore rendre de bons services. Trois métamoteurs pour aller puiser vos informations à travers plusieurs moteurs de recherche généralistes. Le métamoteur envoie ses requêtes à plusieurs moteurs de recherche et retourne les résultats de chacun d’eux. Dogpile. Le chien de Dogpile qui ramène l’information est un vénérable ancien. Duck Duck Go Le canard de Duck Duck Go a lui aussi beaucoup de qualités. SearX Un autre métamoteur qui mérite une petite place dans cette liste.

Ces publireportages qui ne disent pas leur nom. Quatre semaines d'affilée que le news féminin Grazia publie cet étrange exercice publicitaire: une double page qui met en avant les vertus de la dernière tablette Samsung Galaxy, dans une maquette qui ressemble à celle de pages d'actus. Une discrète mention "Grazia promotion" dans le coin droit nous signale que nous sommes dans un objet rédactionnel un peu particulier. Cette semaine, on voit donc Sarah, journaliste culture au sein de l'hebdo, prendre la pause et vanter les vertus de ladite tablette, dans un "témoignage", un texte trèèès premier degré à l'appui. Côté boulot, explique-t-elle, "Pour commencer du bon pied, je prends un thé vert dès que j'arrive au journal, tout en chattant avec le correspondant à l'étranger du magazine grâce à l'appli Google vidéo chat. C'est pratique, maniable, un vrai plus !.

Parce qu'elle est fine et que l'on ne sent pas son poids, à chaque interview, j'emporte ma Galaxy Tab". "Opés spéciales" et publis très intégrés. Déontologie : pour un journalisme modeste mais exigeant (papier énervé) J’ai comme des envies de mettre la plume dans le plat. Et le clavier avec tant qu’on y est. Depuis quelques jours, je sens monter l’envie, le besoin, de lancer le débat.

Tout ou presque est parti de ce lien, signalé par mon excellent collègue @sylvainmarcelli (qui n’imaginait sans doute pas m’émouvoir ainsi!) : le Syndicat national des journalistes réactualise sa charte déontologique. C’est tout chaud, ça date de mars 2011. Et ce n’est pas une petite affaire, puisque la précédente version datait de…1938. Vous n’étiez pas au courant de l’existence de ce nouveau texte fondateur? Nous suscitons la méfiance Entendons nous bien, je ne jette pas la pierre au SNJ. Des textes prétentieux Ce qui me frappe le plus, c’est la prétention qui émane de ces textes.

J’arrête là, parce que pendant que j’écrivais ces lignes, mes chevilles ont enflé et mon jabot s’est gonflé d’orgueil. Chambardement économique et déclassement Un peu de modestie, que diable. Toute information est complexe et relative. Déontologie des médias : vraies questions, fausses bonnes idées (Legipresse, n° 233, juillet 2006) | Le Blog d'Olivier Da Lage. Indignés du PAF : De la déontolog... Journalisme embarqué. La crise de la presse nourrit forcément les inquiétudes sinon l’angoisse des journalistes touchés par le chômage et la précarisation. Les mutations apportées par Internet, les blogs, les forums et toutes les formes d’information en ligne promettent un avenir incertain.

Comble de l’horreur, un logiciel en ligne est en cours de développement pour écrire les articles à partir de quelques mots [1]. La diversification des façons de faire le métier ajoute encore à la confusion. La profession est donc confrontée, plus que d’autres, à la question de son utilité sociale. La question se pose à tous, même si elle se pose plus à certains qu’à d’autres. Il n’y a pas de sujet plus convenu que la relation entretenue entre la presse et les pouvoirs. Il est vrai que la tonalité principale des relations n’est pas conflictuelle mais plutôt coopérative. Cette proximité se traduit par le même langage et, au-delà, les mêmes façons de penser.

Journalistes, vous n’êtes pas les bienvenus à Bercy! « Dès ce soir, j’arrête mon abonnement » à Mediapart. Au premier examen, quand j’ai reçu le 4 septembre, tard dans la soirée, ce SMS de la chargée de communication du ministre des finances, Pierre Moscovici, j’ai cru que c’était une mauvaise plaisanterie. Je venais, certes, la veille, d’écrire un article plutôt sévère sur le choix fait par Pierre Moscovici de retenir Matthieu Pigasse, de la banque Lazard, comme le banquier conseil de l’Etat pour la création de la Banque publique d’investissement (Lire Les enjeux cachés du duel Moscovici-Montebourg).

Mais j’étais à cent lieues de penser que la chargée de communication du ministre des finances, dont le métier est en théorie de faciliter les relations entre ledit ministre et les journalistes, puisse se permettre de me prendre à partie de la sorte pour une enquête. Et qui plus est en m’annonçant avec brutalité que Mediapart ne figurerait plus dans son paysage. Impensable ! Oui ! Et pourtant non ! Depuis, rien n’a changé. Black listé ! Les médias ont-ils besoin d'une instance de déontologie ? - L'actu Médias / Net. Panorama des démarches éthiques de presse.

Un blogueur emprisonné pour “diffamation” après censure préalable. Roger Shuler a obtenu une mise en liberté sous condition le 26 mars 2014, après 5 mois de détention. Le blogueur, avait été arrêté pour “outrage au tribunal” car il avait refusé de retirer de son blog Legal Schnauzer un article jugé diffamatoire contre le fils d’un ancien gouverneur de l’ État de l’Alabama. Ne supportant pas ses conditions d’emprisonnement, il a fini par demander à sa femme Carol Shuler de supprimer l’article en question.

Toutefois, sa libération ne sera définitive que si la cour juge que toute matière diffamatoire a été retirée. “Roger Shuler s’est plié à la demande du juge par souci pour sa santé. Les charges retenues contre lui demeurent néanmoins de la censure préalable. 14.11.2013 : Un blogueur emprisonné pour “diffamation” après censure préalable Reporters sans frontières condamne la détention de Roger Shuler, incarcéré depuis trois semaines sans possibilité de contester les charges retenues contre lui.