File inclusion vulnerability. Code execution on the web serverCode execution on the client-side such as JavaScript which can lead to other attacks such as cross site scripting (XSS).Denial of Service (DoS)Data Theft/Manipulation Programming languages[edit] PHP[edit] Example[edit] Consider this PHP script which includes a file specified by request: <form method="get"><select name="COLOR"><option value="red">red</option><option value="blue">blue</option></select><input type="submit"></form> The developer intended only blue.php and red.php to be used as options.
But it is possible to inject code from other files as anyone can insert arbitrary values for the COLOR parameter. /vulnerable.php? Local File Inclusion[edit] Local File Inclusion (LFI) is similar to a Remote File Inclusion vulnerability except instead of including remote files, only local files i.e. files on the current server can be included. See also[edit] References[edit] External links[edit] SQL injection.
Computer hacking technique A classification of SQL injection attacking vector as of 2010. SQL injection attacks allow attackers to spoof identity, tamper with existing data, cause repudiation issues such as voiding transactions or changing balances, allow the complete disclosure of all data on the system, destroy the data or make it otherwise unavailable, and become administrators of the database server. In a 2012 study, it was observed that the average web application received four attack campaigns per month, and retailers received twice as many attacks as other industries.[2] History[edit] The first public discussions of SQL injection started appearing around 1998;[3] for example, a 1998 article in Phrack Magazine.[4] Form[edit] Classic SQLIBlind or Inference SQL injectionDatabase management system-specific SQLICompounded SQLI SQL injection + insufficient authentication[7]SQL injection + DDoS attacks[8]SQL injection + DNS hijacking[9]SQL injection + XSS[10] Technical implementations[edit]
Injection SQL. De nombreux développeurs web ne sont pas conscients des possibilités de manipulation des requêtes SQL, et supposent que les requêtes SQL sont des commandes sûres. Cela signifie qu'une requête SQL est capable de contourner les contrôles et vérifications, comme les identifications, et parfois, les requêtes SQL ont accès aux commandes d'administration. L'injection SQL directe est une technique où un pirate modifie une requête SQL existante pour afficher des données cachées, ou pour écraser des valeurs importantes, ou encore exécuter des commandes dangereuses pour la base. Cela se fait lorsque l'application prend les données envoyées par l'internaute, et l'utilise directement pour construire une requête SQL.
Les exemples ci-dessous sont basés sur une histoire vraie, malheureusement. Avec le manque de vérification des données de l'internaute et la connexion au serveur avec des droits de super utilisateur, le pirate peut créer des utilisateurs, et créer un autre super utilisateur. <? Faille Heartbleed, quels risques pour les internautes ? Tous les acteurs d’Internet, experts en sécurité, développeurs, blogueurs, consommateurs et internautes sont inquiets.
Une faille de sécurité critique a été découverte sur Internet dans la nuit du 7 au 8 avril 2014. Son nom: Heartbleed. Heartbleed est le nom d’une faille de sécurité critique qui serait présente dans la quasi-totalité des connexions web chiffrées. Cette faille serait due à une défaillance du protocole OpenSSL qui permet d’accéder aux transactions cryptées utilisées par de nombreux services dont les banques en ligne, les chat, les messageries, les VPN y compris le réseau Tor. 66% des serveurs Web pourraient être touchés Des experts en sécurité informatique ont dévoilé cette faille présente dans OpenSSL, utilisé par 66% des serveurs Web. Une faille qui daterait de 2012 Cette faille serait présente depuis plus de deux ans. Symantec annonce la mort de l antivirus. «L'antivirus est mort.» L'avis de Brian Dye, vice-président de Symantec pour la sécurité de l'information, sonne comme une sentence.
«Nous ne pensons pas à l’antivirus comme une source de revenus de quelque façon que ce soit», a-t-il ajouté lors d'une interview au «Wall Street Journal». Bien que les antivirus et les autres produits qui tournent sur des machines privées représentent encore 40% des revenus de Symantec, le cadre a expliqué que ce type de produit de sécurité traditionnel était voué à l'échec et n'était plus en mesure de protéger efficacement contre les cybermenaces actuelles.
Les antivirus ne sont en mesure d'arrêter que le 45% des cyberattaques, à l'heure où les hackers utilisent de plus en plus les bugs des systèmes informatiques pour y pénétrer. La société et l'ensemble du secteur font face à un tournant. Voyant son chiffre d'affaires baisser, Symantec a créé une équipe d'intervention pour aider les entreprises piratées. (man) Une nouvelle faille découverte dans OpenSSL. Par Stéphane Larcher, le 06 juin 2014 12:02 Alors que le bug Heartbleed n’est toujours pas corrigé partout, un chercheur japonais vient de trouver une nouvelle faille au sein du protocole OpenSSL. La faille Heartbleed à peine refermée (il resterait plus de 12 000 sites parmi les plus populaires qui seraient encore affectés selon AVG Virus Labs), voici qu’un nouveau bug se pointe à l’horizon. La fondation OpenSSL a en effet publié hier un avertissement accessible à cette adresse relatif à un bug vieux de plus de 10 ans et permettant de mener une attaque de type « man-in-the-middle » sur le trafic chiffré avec OpenSSL.
Le bulletin publié par la fondation indique que le bug permet à un attaquant d’intercepter une connexion chiffrée, de la décrypter et de la lire. Cette faille a été découverte initialement par Masashi Kikushi, chercheur au sein de la société de logiciels Lepidum. Le fait que ce nouveau bug soit resté indétecté si longtemps est une nouvelle tache dans la gestion d’OpenSSL.