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Wikileaks

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Wikileaks. Wikileaks OVH (hébergeur), requête 1. Or, la réserve d’interprétation formulée par le Conseil Constitutionnel subordonne laconnaissance du caractère illicite soit à ce que le contenu présente manifestementun tel caractère, soit lorsque son retrait, et donc son illicéité a été prononcée par unJuge (décision du Conseil Constitutionnel du 10 juin 2004 n°2004/496) :« Ces dispositions ne sauraient avoir pour effet d’engager la responsabilitéd’un hébergeur qui n’a pas retiré une information dénoncée comme illicite par un tiers si celle-ci ne présente pas manifestement un tel caractère ou si sonretrait n’a pas été ordonné par un juge l’autorité judiciaire peut prescrire en référé ou sur requête, à toute personnementionnée au 2 toutes mesures propres à prévenir un dommage ou à faire cesser un dommage occasionné par le contenu d’un service de communication au public enligne.

Wikileaks OVH (hébergeur), requête 1

OpenLeaks. "Aveugler la conspiration" : dès 2006, la conception de WikiLeaks. En 2006, alors qu’il s’apprêtait à lancer WikiLeaks, Julian Assange avait déjà théorisé sur son blog sa conception de la transparence, et l’importance de prendre le contrôle de l’information contre le pouvoir.

"Aveugler la conspiration" : dès 2006, la conception de WikiLeaks

Extraits de ce manifeste toujours d’actualité. Le blog personnel de Julian Assange, Iq.org, n’est plus en ligne, mais il reste accessible via le site internet Archive. On y trouve notamment un texte daté du 3 décembre 2006, intitulé « De la conspiration comme mode de gouvernance ». Un manifeste annonçant les actions d’éclat de WikiLeaks, jusqu’à la révélation dimanche soir de milliers de documents sur les secrets de la diplomatie américaine. Dans ce texte, Julian Assange estime que les régimes politiques « autoritaires » reposent sur des conspirations, et que ces conspirations tirent elles-mêmes leurs forces des informations dont elles disposent. Avec WikiLeaks, Julian Assange est passé à la pratique. Des « conspirations » basées sur le secret. WikiLeaks : représailles de l'Empire... et contre-offensive des "barbares"

De même qu’un ex-footballeur sema l’émoi dans un système bancaire fébrile, Julian Assange et WikiLeaks forcent un Empire occidental humilié à dévoiler un visage bien moins avenant qu’il n’essaie de le laisser penser.

WikiLeaks : représailles de l'Empire... et contre-offensive des "barbares"

Et bien plus vulnérable qu’il ne voudrait le croire. Collusion vengeresse des « forces du Bien » Résumons : un mandat d’arrêt international du parquet suédois et d’Interpol contre Assange... pour un simple complément d’informations sur deux troubles accusations de viol (pardon, « sexe par surprise ») ; l’arrestation d’Assange à Londres (il s’est en fait rendu de lui-même à Scotland Yard) ; le maintien du suspect en détention jusqu’au 14 décembre. Plus : la fermeture de l’hébergement de WikiLeaks par Amazon ; la suspension des virements à destination de WikiLeaks par MasterCard, Visa Europe et PayPal ; la fermeture du compte bancaire d’Assange par la banque suisse Postfinance.

La défense de l’Empire... à n’importe quel prix prix Les « barbares » du Net contre-attaquent.