Section 3 : La vraie raison de la guerre : l'expansion de l'empire étasunien | Collectif Échec à la guerre. La guerre en Afghanistan visait des objectifs immédiats et des objectifs stratégiques. objectifs immédiats : renverser un gouvernement hostile aux É. -U. et mettre en place un gouvernement afghan favorable aux intérêts étasuniens dans la région. Les Talibans refusaient notamment d’octroyer à des intérêts étasuniens – la compagnie UNOCAL, dont le président Hamid Karzai avait déjà été un consultant – la construction du pipeline trans-afghan devant transporter le gaz naturel du Turkménistan vers le Pakistan. Selon Michael Meacher, ex-ministre britannique de l’environnement dans le gouvernement Blair de mai 1997 à juin 2003, les États-Unis envisageaient déjà une intervention militaire contre l’Afghanistan avant le 11 septembre 2001 : Le 27 décembre 2002, une entente est finalement signée entre Hamid Karzai et des représentants des gouvernements turkmène et pakistanais : un projet de 3,2 milliards de dollars...
Table des matières Section 2 | Section 4 Haut de page | Imprimer. Afghanistan : les raisons d'un conflit interminable. Pourquoi une guerre en Afghanistan ? Certaines informations peuvent parfois renverser votre univers, certaines découvertes peuvent aussi tout simplement vous donner cette vague impression d’avoir été abruti par le système qui vous informe.
Une fois n’est pas coutume je regardais par curiosité il y a un peu plus d’un mois un reportage soulevant les thèses conspirationnistes (thèses alternatives semblent plus approprié) concernant le 11 septembre. Ces vidéos sont fascinantes sur leur mécanique réthorique, leur capacité à utiliser l’image et le montage afin de convaincre. Toutefois je reste toujours très distant, n’ayant pas encore une fois été convaincu ni par les scénarios visant a souligner un complot interne ni par l’enquête officielle. Mais ce docu commençait avec un fait simple, extrêmement facile à vérifier et qui a totalement bouleversé quelques causes et conséquences que je tenais pour acquises. Car oui le jour même des attentats le coupable désigné était bel et bien Ben Laden. LIBEREZLES.NET COMITE DE SOUTIEN A HERVE ET STEPHANE.
[AUDIO] Béatrice Coulon, compagne d'Hervé Ghesquière : « C'est le soutien de l'ombre qui m'est le plus précieux » - Actualité Région. Cela faisait hier quatre cents jours qu'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier sont détenus par les talibans en Afghanistan. Béatrice Coulon, la compagne d'Hervé Ghesquière, très discrète dans les médias, participait à une manifestation organisée par le club de rugby à Marcq-en-Baroeul. ... - Le club de rugby de Marcq s'est mobilisé. Vous avez assisté à cette manifestation hier... [ VOIR NOTRE REPORTAGE VIDÉO ] « C'était très émouvant. . - Quel est votre état d'esprit ? « Je suis très confiante, ça me permet d'accepter ces quatre cents jours. . - Comment tenez-vous ? « Je suis extrêmement entourée par le centre de crise du Quai d'Orsay où je suis reçue quand je veux. Il y a eu des déclarations qui sont allées dans tous les sens lors du premier anniversaire. Kâpîssâ.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Districts de la province de Kapissa. Kâpîssâ est une province de l'est de l'Afghanistan. Sa capitale est Mahmoud-é-Râqi. Historique[modifier | modifier le code] Schématiquement, cette région est coupée en deux : le nord est à dominante tadjike, est relativement calme tandis que le sud pose davantage de problèmes, surtout dans le secteur de Tagab, où l'ethnie pachtoune, dont sont issus les taliban, est majoritaire. Le GTIA affrontant une force de 600 à 800 rebelles dans son secteur a tué environ 150 insurgés entre octobre 2008 et octobre 2009 pour la perte de 4 des siens[1]. En juillet 2012, la responsabilité de la sécurité dans la province passe à la 3e brigade du 201e corps de l'armée nationale afghane.
Cinquante-quatre militaires français sont morts et plusieurs centaines d’autres blessés dans cette région entre 2004 et 2012. Géographie[modifier | modifier le code] La province de Kâpîssâ est située à 80 km au nord est de Kaboul. Depuis un an, l'armée française a "éliminé" environ 150 insurgés en Kapissa. Selon nos informations, les militaires français ont "éliminé", c'est-à-dire tué, environ 150 insurgés dans le district de Kapissa, au cours des douze derniers mois. Les opérations dans la vallée d'Alassaï auraient fait, à elle seules, entre 60 et 70 morts chez les insurgés. Il s'agit d'une estimation des militaires français engagés sur le terrain, sachant qu'il n'existe pas de comptabilité exacte des pertes ennemies, les insurgés n'abandonnant pas les corps de leurs tués.
Ce chiffre n'est pas officiel, dans la mesure où les autorités politiques et militaires ne souhaitent pas mettre en avant les pertes chez les insurgés. La réalité même de ces chiffres est mise en doute. Ils sont "invérifiables" avance-t-on à l'état-major des armées. Etrange guerre que celle d'Afghanistan, où l'on communique jusqu'au plus haut niveau de l'Etat sur nos propres morts, mais où l'on s'interdit de faire de même quant aux pertes que nous occassionnons à l'ennemi.