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[BBS] L'Internet caché du monde de l'ombre. Big Data : nouvelle étape de l’informatisation du monde. Viktor Mayer-Schönberger, professeur à l’Oxford internet Institute, et Kenneth Cukier, responsable des données pour The Economist ont récemment publié Big Data : une révolution qui va transformer notre façon de vivre, de travailler et penser (le site dédié). Ce livre est intéressant à plus d’un titre, mais avant tout pour ce qu’il nous apprend du changement du monde en cours. Riche d’exemples, facilement accessibles, il dresse un état compréhensible des enjeux des Big Data en insistant notamment sur ce que cette nouvelle étape de l’informatisation transforme.

Le code n’est plus la loi ! « Les systèmes informatiques fondent leurs décisions sur des règles qu’ils ont été explicitement programmés à suivre. Quand un problème survient, nous pouvons donc revenir en arrière et comprendre pourquoi l’ordinateur a rencontré un problème. Pour les auteurs, les Big Data créent une intelligence artificielle qu’aucun humain ne peut comprendre. Nous devons réinventer la protection de la vie privée. Pourquoi ça rame quand je veux regarder une vidéo YouTube avec Free.

«Passager clandestin», l'expression est jetée. Pour la ministre de l'Economie numérique Fleur Pellerin, qui s'exprimait dimanche 13 janvier, c'est désormais assez clair: les géants du web profitent des réseaux des opérateurs télécom pour faire leur beurre. Une situation «asymétrique» qu'il faut rééquilibrer: Google et compagnie sont priés de mettre la main au porte-monnaie pour acheminer leurs données auprès des internautes. Alors qu'elle organise ce mardi 15 janvier une table ronde sur le sujet, la ministre semble donc avoir déjà choisi son camp dans la guerre que se livrent fournisseurs d'accès à Internet (Orange, Free, SFR, Bouygues Telecom...) et gros bonnets du web (représentés par les «Gafa»: Google, Amazon, Facebook et Apple).

Une baston dans les entrailles du Net, qui s'est intensifiée en raison de l'augmentation du volume de données qui circulent sur le réseau. publicité L'enjeu est simple: définir qui doit payer pour entretenir la plomberie. Ça rame! Andréa Fradin Devenez fan sur. IntroDossierT111.pdf (Objet application/pdf) J’aime pas Facebook, La face cachée de Google : 2 livres critiques. Ca bouge du coté d'HTML5, ne ratez pas le départ.

HTML5 (HyperText Markup Language 5) est la prochaine révision majeure d'HTML le format de représentation des pages web. C'est une version encore en développement en 2012 mais composée de nombreux modules, et livrée progressivement. Elle est déjà compatible avec les dernières versions des principaux navigateurs. HTML5 c'est surtout la promesse de repousser les limites de HTML avec: l’intégration en standard de Widgets, la lecture de vidéo ou d’audio sans module complémentaire, la simplification de la création d’applications web (glisser coller, couche application avec API, géolocalisation en standard, ...), la simplification du référencement des pages par les moteurs de recherche (grâce à la description des données présentes sur la page) et surtout la consultation de contenu hors connexion.

A la clef du contenu et des applications plus dynamiques, compatibles internet fixe et internet mobile, et ayant une interaction parfaite avec leurs équipement mobile, tablettes ou smartphones. « Infobésité » : plus une question de qualité que de volume. L’infobésité (buzzword s’il en est) n’est pas un concept nouveau, mais devient ces derniers temps une sorte de marronnier : trop d’informations, trop de mails, trop de données… Seulement, si le terme en lui-même est contestable (bien que parlant, nous verrons pourquoi), il semble qu’il soit à l’heure actuelle mal employé. Plutôt que de se focaliser sur la « surcharge informationnelle », pourquoi ne pas se questionner sur la qualité de ces informations ? En rentrant de vacances j’ai, comme beaucoup de « travailleurs de l’information », retrouvé mes agrégateurs, boites mails et autres réceptacles informationnels, « légèrement » surchargés. Là où, de prime abord, j’aurais pu crier « trop d’infos tue l’info », j’ai commencé par en faire le tri puis la lecture.

Et, bizarrement, j’ai plutôt bien digéré toutes ces infos et données… Car (et c’est le centre de mon propos) : si infobésité il y a, il s’agit plus d’une question de ce que l’on ingère et la manière dont on l’ingère, que de quantité. Un Web Index pour mesurer l'impact d'Internet sur chaque pays. Quel est l’impact d'Internet pour chaque pays dans le monde ? Quels sont ceux qui utilisent le plus le réseau des réseaux ?

Pour tenter de répondre à cette question, Tim Berners-Lee a proposé la mise en place du projet Web Index qui devrait, chaque année, publier un classement en s'appuyant sur un certain nombre de données. Ainsi, la World Wide Foundation — qui chapeaute le projet — compte notamment exploiter les rapports élaborés par certaines structures internationales dans les domaines les plus variés (presse, télécommunications, etc.) Le premier classement proposé par le Web Index prend en compte à 61 pays. Le trio de tête est constitué de la Suède, des États-Unis puis du Royaume-Uni. La France occupe la 14ème place. D'après les responsables du projet, une personne sur trois utiliserait Internet dans le monde.

Source : (la carte est interactive) Pour en savoir plus : Souvenons-nous du monde avant internet. Mon beau-père, allemand, m’a envoyé récemment un courrier pour me signaler l’exposition à Mannheim du plus ancien essai photographique conservé, le fameux “point de vue du Gras” de Niépce, montré pour la première fois en Europe depuis soixante-dix ans. Avec sa carte d’accompagnement et sa coupure de presse, cet envoi a la forme classique d’un signalement du XXe siècle (voir ci-dessus). L’effort mobilisé le réservait aux nouvelles d’importance. Je ne recevais que quelques envois semblables par an. Les interfaces numériques et la mise en ligne des contenus ont permis de réduire à quelques clics cette opération, devenue la brique élémentaire de l’échange social. Si je tente d’évaluer le nombre de signalements dont je prends effectivement connaissance par le biais des réseaux sociaux, l’ordre de grandeur de la multiplication est largement supérieur à 1000.

Ces jeunes sont énervants. “Comment faisiez-vous avant internet?” Lire la suite: “Souvenons-nous du monde avant internet (suite)“ Comment Wikipédia domine les résultats de Google - SEO de Wikipedia - Journal du Net Solutions. Wikipédia est un modèle de réussite pour les référenceurs car l'encyclopédie en ligne arrive à très bien se positionner sur un nombre particulièrement impressionnant de requêtes. L'agence Résonéo a pu en partie mesurer cette réussite grâce à son outil interne Matriceo. Ce dernier scrute les résultats générés par Google.fr sur plus de 4,6 millions de requêtes (d'un ou plusieurs mots) retenues par l'agence.

Matriceo peut ainsi mesurer le nombre de mots clés sur lesquels apparaît un site. L'outil lui attribue aussi un score de visibilité selon la fréquence des requêtes et les positions du site sur ces requêtes dans les pages de résultats de Google.fr. Comme le montre le tableau ci-dessous, basé sur des données datant de juin 2012, la domination de Wikipédia sur les millions de requêtes auditées par Résonéo est assez nette.

L'agence Résonéo dispose également d'un panel de mots clés classés par secteur (et suivant la classification d'Adwords). Influences du web et d'Internet sur la société. En coulisse, la liberté du Net est peut-être menacée. 01net. le 18/05/12 à 19h19 C’est une histoire en cascade et extrêmement complexe. Une de ces histoires qui pourraient avoir de lourdes conséquences pour tous les Internautes à travers le monde. Une de ces histoires où rien n’est tout noir ou tout blanc, mais où tout est source d’inquiétude, parce que c’est de nos libertés et d’un des outils qui permet notre expression dont il est question.

Une mise en garde Régulièrement, depuis quelque temps, Robert McDowell, très respecté et reconnu commissaire au sein de la FCC, la Commission fédérale sur les communications américaines, publie des chroniques dans la presse américaine où il crie à qui veut l’entendre que la liberté du Net est menacée, généralement, par l’ONU. Les risques d’une révision Revoir le traité n’est en soit pas foncièrement mauvais. Un passif économique et politique lourd On comprend alors évidemment que les motivations économiques servent au mieux à accompagner des motivations politiques claires. Page d'accueil du site de l'UIT.