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Permaculture

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Visite d'une oasis d'abondance | par Francis Gendron. Espace consommateurs – Sommet sur l'alimentation. Des noix de chez nous | Annie Morin | Agro-alimentaire. Faire une tournée des champs de Jacques Blais équivaut pratiquement à une visite de laboratoire. Le retraité présente chacune de ses neuf variétés d'arbres à noix en indiquant la provenance du plant, l'année de mise en terre, le comportement attendu de la jeune pousse et les qualités de son fruit.

Et comme le ferait tout bon scientifique, il verbalise sans cesse les questions qui le taraudent. Pourquoi ce noisetier, planté en même temps que son prolifique voisin, ne donne-t-il pas de fruits? Vaut-il mieux un tronc unique ou un plan buissonnant pour résister à nos hivers? Saviez-vous que la noix de coeur est la plus recherchée? C'est que la culture des noix est très peu documentée au Québec.

La passion de M. Patience Patient, très patient, M. Dans l'espoir de vivre de sa passion, M. De retour au Québec, chaque noix est craquée manuellement par Diane Pageau, la conjointe de M. Pour aller plus loin sans se ruiner, l'agriculteur a toutefois besoin d'un coup de pouce de la science. Documentaire sur les toits verts. Le Groupe de travail sur les toitures végétalisées (GTTV) et le Conseil du bâtiment durable du Canada (CBDCa) – Québec, en collaboration avec Bell Fibe TV1, lancent le documentaire Les toitures végétalisées sur la chaîne You Tube du Conseil. « Ce documentaire, en quatre épisodes de 30 minutes, explore le monde des toitures végétalisées au Québec depuis les 15 dernières années », indique l’instigateur du projet, Denis Gingras, directeur des ventes chez Hydrotech. « Mettant en vedette les acteurs locaux sur le verdissement de nos bâtiments, les épisodes montrent des projets réalisés, des enjeux et les possibilités des toitures végétalisées au Québec », souligne pour sa part Roxanne Miller, coanimatrice du documentaire avec Antoine Trottier.

Les sujets abordés sont les îlots de chaleur urbains, la gestion des eaux pluviales, l’agriculture urbaine et certains aspects plus techniques. Soulignons que le GTTV du CBDCa – Québec a été mis sur pied en août 2014. Source : GTTV. Albi vise l'autosuffisance alimentaire grâce au bio et au gratuit ! Quand la politique fait preuve de volonté, tout est possible. La preuve à Albi où les élus de la ville viennent de se fixer un objectif aussi concret qu’utile et ambitieux : parvenir à l’auto-suffisance alimentaire de toute la commune à l’horizon 2020 !

Concrètement, cette ville de 51 000 habitants veut réorganiser sa production agricole pour que 100% de ce dont elle a besoin soit disponible dans un rayon de 60km seulement ! Avec à la mise en place de circuits-courts, la ville d’Albi vise trois objectifs : réduire l’impact carbone lié aux transports de marchandise, sécuriser les approvisionnement en cas de crise alimentaire et s’assurer une meilleure qualité des produits consommés ! Mais attention, l’autosuffisance alimentaire ne se décrète pas : elle se construit à force de décisions nouvelles et pragmatiques. Ainsi, la ville d’Albi a déjà préempté 73 ha de friche à deux pas du centre-ville. Ces terrains seront mis en location pour la modique somme de 70€ par an et par hectare. Une forêt comestible pour atteindre l’auto-suffisance alimentaire. Nous le savons, nous vivons dans un monde de surconsommation. On achète, on jette sans même se soucier de ce qu’il se passera après. Mais les mentalités évoluent et le monde est véritablement en train de changer.

Des consciences s’éveillent partout dans le monde. Un espagnol de 78 ans s’est mis en tête de changer le monde grâce à sa forêt comestible et autosuffisante. À 78 ans, Juan Anton Mora veut changer les choses tel le colibri de Pierre Rabhi… Produire des fruits sains, avec le moins de travail possible, et en respectant la nature, est l’objectif qui hante cet espagnol. Son histoire a commencé il y a 30 ans, lorsque Juan voulait trouver un lieu au calme pour faire son potager et partager cette aventure avec quelques poules.

Il commence à couper l’herbe et à la déposer aux pieds des arbres pour qu’elle se transforme en compost. Sources : Sideways /Basta ! Le Devoir | Nouvelles, actualités, politique, culture et chroniques. Stefan Sobkowiak s’est d’abord consacré à la pomiculture biologique, avant de découvrir la permaculture, une contraction de « culture permanente », un concept d’écosystème fonctionnel qui été inventé en 1978 par Bill Mollison, un écologiste australien. « En 2007, nous avons tout arraché et nous avons replanté un mélange d’espèces différentes d’arbres fruitiers selon un design de permaculture qui est très différent d’un verger de pommiers bio en monoculture », a raconté M. Sobkowiak dans le cadre d’un colloque sur les expériences agriculturelles qui a eu lieu au congrès de l’Acfas.

En permaculture, les arbres sont disposés en trios, a expliqué celui qui détient une maîtrise en architecture du paysage de l’Université de Guelph (Ontario) et une maîtrise en biologie de la faune de l’Université McGill. Dans ce qui est devenu « le plus grand verger commercial en permaculture de l’Est de l’Amérique du Nord », à Cazaville, près d’Huntington, M. PROJET ECO CENTRE LFN. Tournesol vivace - Pépinière Rhizome. Lombricomposteur - Entropie. Permaculture de montagne - Zone de rusticité et microclimats. Cultiver en montagne? L'idée peut encore surprendre et pourtant. Comprendre la nature, coopérer avec elle, associer plusieurs plantes, encourager la biodiversité permettent de cultiver à peu prêt dans toutes les conditions.

Sol acide, terreux rocheux, sablonneux, températures basses, altitude, neige... Découvrez les stratégies d'adaptation des plantes et initiez vous à permaculture de montagne. Grâce aux espèces rustiques et aux techniques d'implantation en microclimat, vous pourrez vous délecter de saveurs parfois tropicales sous nos latitudes avec des variétés bien de chez nous.

Les montagnes ont été les dernières terres colonisées par les végétaux qui ont du s'adapter à la rudesse des températures, des UV, l'éloignement des rivages océaniques et l'acidité du sol. Les sols rocheux recèlent de minéraux, des eaux minérales (parfois soufrées) ou gazeuse (carbone), toutes riches en oligoéléments. Tout ceci a été rendu possible grâce à une morphogenèse adaptée. Astuce! Le gel et les fleurs. Faire pousser des arbres à noix dans sa cour: une tendance qui gagne le Québec. Une des rares pépinières au Québec à en offrir est située à Maskinongé. La pépinière Casse-Noisette se spécialise dans les arbres rares. On y retrouve une vingtaine de variétés d'arbres à noix et aussi d'autres arbres qui sortent de l'ordinaire. Son propriétaire, Marc-Olivier Harvey est aussi le président du Club des producteurs de noix comestibles du Québec. Il vend des arbres à noix depuis 3 ans et chaque année, son chiffre d'affaires double. « La première année, je ne m'attendais pas à doubler mon chiffre d'affaires [...]

Je vends à la grandeur du Canada, les Maritimes, l'ouest du Canada, en France, en République Tchèque, en Norvège, un peu partout en Europe et aux États-Unis aussi. De plus en plus, les arbres sont expédiés par boîte, par Poste Canada et aussi Expédibus. » Avec 2 ou 3 arbres à noix, on obtient une production suffisante pour une famille.