background preloader

Psychanalyse

Facebook Twitter

Métapsychologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Métapsychologie

La métapsychologie est l'ensemble des concepts théoriques formulés par la psychanalyse Freudienne. Du temps de Freud[modifier | modifier le code] Sigmund Freud était neurologue ; ses premières formulations concernant le psychisme humain se basaient sur des schémas inspirés de la neurologie et intégraient donc le système nerveux lui-même, les neurones et synapses. Par la suite, Freud décide de laisser de côté cette approche et fonde la métapsychologie, en attendant que la science vienne confirmer ou infirmer les résultats de la psychanalyse. Jusqu'au dix-huitième siècle, l'esprit était raison. Principes métapsychologiques[modifier | modifier le code] La métapsychologie décrit la réalité psychique (par opposition à la réalité extérieure) selon trois aspects. Le principe économique renvoie à la libido. Ces trois aspects valent comme grille d'analyse ; ils s'attachent au sens du conflit psychique et à son évolution.

Étape fusionnelle mère/ enfant: Transfert (psychanalyse) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Transfert (psychanalyse)

"Le transfert en psychanalyse, est essentiellement le déplacement d’une conduite émotionnelle par rapport à un objet infantile, spécialement les parents, à un autre objet ou à une autre personne, spécialement le psychanalyste au cours du traitement. " (Daniel Lagache, 1949 p. 33) Francis Pasche définit ainsi et à sa manière le transfert au sens large (1975) : « La reviviscence de désirs, d'affects, de sentiments éprouvés envers les parents dans la prime enfance, et adressés cette fois à un nouvel objet, et non justifiés par l'être et le comportement de celui-ci.» [2] Le transfert est, d'abord et avant tout, un phénomène humain qui s'éprouve à des degrés variables dans toutes les relations entre individus. C'est évidemment dans la relation magnétiseur-magnétisé puis dans la relation hypnotiseur-hypnotisé (électivité des somnambules) et enfin, de nos jours de manière moins flagrante, dans la relation médecin-malade qu'il s'éprouve.

Sigmund Freud. Sigmund Freud photographié par Max Halberstadt, vers 1921. signature plaque commémorative Vue de la sépulture.

Sigmund Freud

Sigmund Freud [sigmund fʁ̥øːd][1] ou [fʁœjd][1] (en allemand : [ˈziːkmʊnt ˈfʁɔʏt].[2]), né Sigismund Schlomo Freud le 6 mai 1856 à Freiberg (Empire d'Autriche) et mort le 23 septembre 1939 à Londres, est un neurologue autrichien, fondateur de la psychanalyse. Freud regroupe une génération de psychothérapeutes qui, pas à pas, élaborent la psychanalyse, d'abord en Autriche, en Suisse, à Berlin, puis à Paris, à Londres et aux États-Unis. Le terme de « psycho-analyse » apparaît pour la première fois en 1896 dans un article écrit en français, publié dans cette langue le 30 mars 1896, puis en allemand le 15 mai 1896.

Biographie[modifier | modifier le code] Les biographes de Freud[modifier | modifier le code] L'histoire de la vie de Freud est celle de la psychanalyse[Freud 1]. Enfance et études (1856–1882)[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Musées Freud. Psychanalyse. La psychanalyse est, selon la définition classique qu'en a donnée Sigmund Freud : un procédé d'investigation des processus psychiques, qui autrement sont à peine accessibles ;une méthode de traitement des troubles névrotiques ou psychotiques, qui se fonde sur cette investigation, également nommée la cure psychanalytique ;une série de conceptions ayant trait au psychisme, acquises par ces moyens et qui fusionnent progressivement en une discipline scientifique nouvelle[1].

Psychanalyse

La psychanalyse fait l'objet, depuis l'origine, de critiques et de discussions à la fois internes au mouvement psychanalytique et extérieures à ce mouvement, concernant son caractère scientifique, la pertinence de sa description du psychisme, et son efficacité thérapeutique. Histoire[modifier | modifier le code] Du temps de Freud[modifier | modifier le code] La première occurrence du mot, écrite « psychoanalyse », remonte à 1896, dans un texte écrit et publié en français, L’hérédité et l’étiologie des névroses[3],[4].