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Jules : la fin des clichés sur les hommes ?LLLLITL. Dans sa nouvelle publicité (novembre 2020), la marque Jules se joue des clichés sur les hommes et leur masculinité, via des portraits d’hommes d’aujourd’hui, terriblement actuels et riches en diversité. “Men in Progress” vise à détoxifier le stéréotype de la masculinité et à diversifier la vision de l’homme moderne avec une intonation optimiste et aborde certaines des interprétations obsolètes alpha-masculines de ce que signifie être un homme. Grand, fort, sensible, paternel, décisif, élégant, intrépide et courageux contre subtil, émotionnel, fier de sa maison, tentant, modeste, patient et confiant.

Une nouvelle approche de la masculinité. Cette nouvelle campagne publicitaire explore les relations que les hommes entretiennent au cours de leur vie avec eux-mêmes, avec leurs amis, leurs femmes, leur famille et leur carrière, et nous emmène dans un voyage pour examiner ce que signifie être un homme et ce que cela peut signifier maintenant.

“On dit qu’un homme doit être grand. Jules & Brice s'unissent. | Vêtements homme et prêt-a-porter masculin. VIDÉO. «Ce sont les soldes, ils bradent les salariés !» : chez Celio, on craint des licenciements - Le Parisien. Le syndicat CGT est venu manifester ce jeudi devant le siège de Celio à Saint-Ouen, pour dénoncer le plan PSE qui prévoit de fermer 103 magasins et menace 392 postes, alors que l’entreprise d’habillement pâtit de la crise du coronavirus. « Ce sont les soldes et la direction de Celio brade les salariés ! » ironise Élodie, secrétaire générale du syndicat CGT pour la vente et le commerce. « Nous dénonçons le manque de transparence de ce plan, qui a pris les salariés par surprise, certains magasins fermant lundi prochain et leurs salariés ne sachant même pas s’ils vont être gardés ou non ». « On est à bout », lâche Joachim, un jeune syndicaliste de chez Celio. « Je suis en colère » hurle à ses côtés Sorel, un employé, devant les portes du siège.

Soudain, les portes s’ouvrent. Le directeur de la sécurité France de Celio demande aux importuns de bien vouloir laisser le passage. Le ton monte. « Nous sommes là et nous allons manifester, lui crie un syndicaliste, prêt à ne pas céder d’un pouce.