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Avion

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L'histoire de l'aviation. L’histoire de l'aviation pourrait symboliquement débuter avec le vol d'Icare, mais il faut attendre le 9 octobre 1890 pour voir le décollage du premier engin plus lourd que l'air après douze décennies de rêves.

L'histoire de l'aviation

Chronologie Les origines Depuis l'aube des temps, l'homme a toujours souhaité voler comme les oiseaux. Déjà durant l'Antiquité, on retrouve dans le mythe d'Icare la trace de cette volonté de se faire "moins lourd que l'air". Plus tard, on trouve les premières traces de "machines volantes" en Chine, au 1er siècle av. A la fin du XVème siècle, l'oiseau inspire à Léonard de Vinci ses premières machines volantes. Sir John Cayley présente le premier l'idée d'un "plus-lourd-que-l'air". En 1804, il met au point le premier planeur. En 1857, Jean-Marie Le Bris s'élève dans les airs grâce à une version améliorée de ce même planeur. La machine volante de Jean-Marie Le Bris - Photographiée par Nadar en 1868.

Histoire de l'aviation. Le Wright Flyer (1903) est communément considéré comme le premier avion, capable d'effectuer un vol motorisé et contrôlé.

Histoire de l'aviation

L'histoire de l'aviation peut se diviser en six périodes : l'époque des précurseurs : jusqu'au début du XVIIIe siècle l'être humain imagine – de manière plus ou moins réaliste – ce que pourrait être une machine volante. Puis à partir de la fin du XVIIIe siècle, cette période voit le début de la conquête de l'air avec le développement de l'aérostation et de nombreuses tentatives de vol plané.les pionniers du plus lourd que l'air : c'est la période des premiers vols d'engins à moteur capables de décoller par leurs propres moyens.

Presque chaque vol est une première ou une tentative de record : un peu plus vite, un peu plus loin, un peu plus haut . (Voir la chronologie de l'aéronautique pour des événements précis datés) Les précurseurs[modifier | modifier le code] La légende du vol d'Icare, révèle que le désir de voler existait depuis longtemps. Thèmes Histoire Listes.

Aviation. Le ciel nous tombe sur la tête ? Selon l’industrie aéronautique, 2 % des rejets mondiaux de C02 sont émis par les avions de ligne.

Aviation. Le ciel nous tombe sur la tête ?

Quand, par exemple, on fait un aller retour Paris / New York en avion, en première classe, on émet plus de 2,5 tonnes de CO2. Les aérodromes distribuent plus de 27 % des carburants produits dans le monde. L’avion émet entre 134 et 148 grammes de CO2 par voyageur.kilomètre (contre 2,6 grammes pour le train) et tout kilomètre de vol supplémentaire se traduit par du kérosène supplémentaire brûlé dans l’atmosphère. Or pour chaque kilo de kérosène utilisé, ce sont 3 kilos de C02 qui sont émis. 10000 mouvements d’avions en plus par an, c’est 140 tonnes d’oxyde d’azote en plus par an dans l’air Francilien. L’avation, une pollution locale réelle Globalement, on manque d’études épidémiologiques sérieuses et incontestables.

Une étude de l’Inserm a démontré que les enfants qui vivent dans un rayon de 200 m autour d’une station-service ont un risque multiplié par quatre de déclarer une leucémie. Histoire de l'Aéronautique - L'Internaute Magazine. Le manifeste des économistes atterrés. Une prise de position forte et remarquablement argumentée d’économiste « anti-libéraux » a commencé à circuler et à être très largement signée, sous le titre de « manifeste des économistes atterrés », accessible notamment via ce lien.

Le manifeste des économistes atterrés

J’ai immédiatement signé ce manifeste, en mentionnant toutefois une réserve. D’autres ont fait de même, avec diverses réserves qui ne remettent pas en cause les qualités et la force globales du texte, qui contient d’une part une critique de fond de dix postulats ou « fausses évidences » de l’économisme ambiant, et d’autre part un ensemble de propositions crédibles à opposer à la pensée unique libérale. Il s’agit donc d’une avancée collective incontestable. Ma réserve porte sur la référence selon moi excessive à la croissance.

La tonalité générale du texte est en effet que l’un des grands défauts des logiques néolibérales est qu’elles nous privent de croissance, vue comme l’un des principaux moyens de sortie de crise et de progrès social.