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FBI & iPhone

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La nouvelle technique de piratage des iPhone a mis fin à la tension Apple-FBI. Le FBI, police fédérale américaine, a utilisé une technique de piratage révolutionnaire permettant d’accéder à un iPhone. Ils ont pu le tester sur les appareils des terroristes de San Bernardino. Le FBI est maintenant libre de cracker tout iPhone Sans besoin de l’autorisation d’Apple, le FBI est parvenu à contourner les mesures de sécurité des iPhone des terroristes de San Bernardino, Californie. De ce fait, la Police fédérale s’est décidée à annuler son procès contre Apple, devant le tribunal et le Juge Sheri Pym. Ainsi, sans l’aide d’Apple, elle devait tester cette méthode le 5 avril 2016. À noter que cette dernière lui a été proposée par un hacker inconnu, au cours du week-end de la semaine du 14 mars dernier. L’affaire FBI-Apple a duré pendant plusieurs semaines déjà. Les origines de la guerre entre Apple et FBI Avec iPhone, la vie privée des utilisateurs était à l’abri Apple pourra-t-il améliorer la sécurité des iPhones à l’avenir ?

Hack de l’iPhone : Apple décide de ne pas poursuivre le FBI. Le hack du FBI ne fonctionne pas avec les iPhone Touch ID | Slice42. James Comey, le directeur du FBI, très en vue dans l’affaire qui a opposé son agence à Apple à propos de l’iPhone de San Bernardino, donne quelques précisions sur la manière dont le hack de l’iPhone 5c a été réalisé. Ce hack ne fonctionne qu’avec « une portion des iPhone et ne fonctionne pas avec les derniers iPhone, ni avec l’iPhone 5s », a-t-il indiqué à CNN. Autant dire que le hack ne fonctionne pas avec les iPhone équipés de Touch ID et de l’enclave sécurisée qui protège les empreintes digitales.

Par ailleurs, il divulgue aussi quelques précisions sur l’entreprise qui a rendu possible l’accès aux données de l’iPhone 5c : « je connais de nombreuses choses sur les personnes qui nous ont aidé, et je suis très confiant sur leur capacité à protéger leur exploit. Leurs motivations vont dans le même sens que les nôtres », a-t-il précisé. Les chances sont élevées qu’il s’agisse de l’entreprise israélienne Cellebrite. Le FBI a fait appel à des hackers pour débloquer l’iPhone de San Bernardino. Énième rebondissement dans l’affaire qui voit s’opposer le FBI et Apple ! Le Washington Post a révélé que le fameux casseur de sécurité de l’iPhone de San Bernardino n’est pas la société israélienne Cellebrite mais une bande de hackers professionnels payés à la commission. L’institution américaine ne les a pas nommés – on se doute que ces prestataires tiennent à leur discrétion – mais a révélé la procédure utilisée.

Les mercenaires du hacking ont découvert une vulnérabilité « zero day » (faille inédite exploitée immédiatement avant sa correction). Celle-ci a permis de contourner la sécurité qui efface les données du terminal après dix essais infructueux de déverrouillage. Une pièce de matériel informatique a ensuite été créée pour bloquer le système de sécurité de l’iPhone, censé résister aux attaques de forces brutes : il n’aura fallu que 26 minutes pour déverrouiller l’appareil.

James B. Libérez-vous des contraintes de la gestion locative pour 17,90€/mois Nexity E-gérance Ligatus. Cette nuit en Asie : un groupe japonais fait fortune sur le hacking de l'iPhone par le FBI.