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BIEN COMMUN

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David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes » Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture, de science ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » - ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens.

David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes »

D’un autre côté, la notion de « biens communs » est invoquée à propos de choses extrêmement différentes entre elles, depuis la préservation des traditions indigènes jusqu’à Linux et Wikipédia, en passant par la gestion collective des ressources naturelles, les services et infrastructures publics, les coopératives et l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile parfois de trouver un fil conducteur. Dans son nouvel ouvrage, David Bollier entend expliquer ce qui rapproche les pratiques et les initiatives disparates que l’on regroupe aujourd’hui sous le terme de « communs ».

Ecole Doctorale Thématique en Etudes du Développement de la Communauté Française de Belgique. Social Good - Le Blog de Mailforgood. Social Good - Le Blog de Mailforgood. Mailforgood : de nouveaux moyens d'aider des associations sur internet. Des biens publics aux biens communs. Il a été fort peu question de biens communs – avec toutefois de bonnes exceptions - dans la campagne présidentielle en cours (voir une courte interview sur cette campagne que j’ai accordée à Terra Eco sous le titre “Ce qu’il y a à sauver de cette campagne ne s’est pas vu à la télé”, via ce lien).

Des biens publics aux biens communs

Il en est en revanche beaucoup question dans la préparation du sommet de Rio, autre grand oublié de cette période. Ce billet s’inspire beaucoup d’un texte plus long (téléchargeable via un lien fourni à la fin de ce billet) de mon ami Laurent Cordonnier, économiste lillois avec qui je suis impliqué dans un projet de « transformation écologique et sociale » porté par le Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais.

La notion de biens communs y a été fortement mise en avant, mais elle exigeait d’être mieux définie et circonscrite pour devenir « opérationnelle ». D’où ces réflexions, qui intègrent de multiples débats avec des acteurs divers, presque tous non économistes. La pensée d'Elinor Ostrom. Elinor Ostrom, première femme ayant obtenu le prix « Nobel » d'économie en 2009, est morte mardi 12 juin 2012 à 78 ans.

La pensée d'Elinor Ostrom

Elle était aussi une des rares « Nobel » critiques à l'égard de la théorie néoclassique. Retrouvez les articles que lui avaient consacré Denis Clerc, Hervé Le Crosnier, Jean-Marie Harribey et Alain Lipietz dans nos colonnes. Elinor Ostrom : un pas de côté, par Denis Clerc (novembre 2009) Le prix « Nobel » à Elinor Ostrom : une bonne nouvelle pour la théorie des biens communs, par Hervé Le Crosnier (octobre 2009)Le bien commun est une construction sociale. Apports et limites d'Elinor Ostrom, par Jean-Marie Harribey (janvier 2011)Elinor Ostrom : prix Nobel pour Copenhague ? Commenter cet article. Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs. La théorie des biens communs, ou plus précisément des « communs », suivant le terme anglais commons, qui est plus général et moins focalisée que la traduction française actuellement utilisée, a connu plusieurs périodes : les études historiques, l’analyse du fonctionnement des communs naturels et la construction des communs du numérique.

Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs

Elinor Ostrom et l’approche institutionnelle de l’économie politique des communs est essentielle dans ce parcours pour comprendre le renouveau de l’étude des communs et l’apparition de mouvements sociaux qui se revendiquent de la défense ou de la construction des communs. Cause commune. Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale.

Cause commune

L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) L’anti-recette des biens communs. Les biens communs sont une émulsion qui prend à feu doux.

l’anti-recette des biens communs

Sa réussite n’est ni nécessaire ni scientifique. Elle requiert une subtile alchimie. C’est celle-ci qu’on voit prendre forme ces dernières années dans la convergence des luttes politiques autour de la notion de « biens communs ». Des rencontres s’organisent en Europe, en Asie, en Amérique latine, etc. Derrière le terme, chacun met l’objet de sa mobilisation ou de ses inquiétudes. Ingrédients Du temps, de l’hier, et du demain, un spectre ; Des pensées fraîches, indéterminées et aiguisées ; Des produits rivaux et non rivaux ; Un foyer bien entretenu ; Quelques pincées d’intérêts divergents ; Un coulis pas trop liquide ; Une calculette à faire les soustractions ; Un ratatine propriété privée et publique ; Des rêveries de qualité, à dénicher loin des marchés battus ;