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Reflexiums - Madagascar

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Chaine des trois premiers billets d'un blog

Global Voices en Français » Madagascar: Le sud du pays durement. Alors que le climat politique malgache reste marqué par une instabilité totale depuis le coup d’état du mois de mars [en anglais, les billets ont été traduits en français], la communauté internationale, réunie à Addis Abeba, essaye à nouveau de négocier un accord entre les diverses fractions politiques.

Global Voices en Français » Madagascar: Le sud du pays durement

Le président de l’Union africaine et Jean Ping, un des médiateurs présents dans la capitale éthiopienne, ont ouvert la rencontre en déclarant [en anglais]: « Comme vous le savez, la réalité sur le terrain, à Madagascar, se caractérise par la fatigue que ressentent les citoyens qui espèrent voir la fin de la crise, une crise dont, finalement, ils sont les otages. La situation économique du pays empire chaque jour. La population de Madagascar mérite un meilleur destin et ceci dépend entièrement de vous. » Il semble que ce sentiment soit partagé par une large portion de la blogosphère qui souligne également les autres défis auxquels Madagascar doit faire face. Naufrage du bateau, source: Un président en cache 2 autres - Le blog de Alain Rajaonarivony. Dimanche 8 novembre 2009 7 08 /11 /Nov /2009 15:26 C’était très mal parti.

Un président en cache 2 autres - Le blog de Alain Rajaonarivony

L’ancien président Ravalomanana dès son arrivée le 1er novembre dans la capitale éthiopienne, avait tancé vertement Ablassé Ouedraogo, «simple consultant de l’Union Africaine» pour ses propos concernant les réunions du 6 octobre au Carlton. Outrepassant son devoir de réserve, Ouedraogo avait émis publiquement l’idée que la présidence de la nouvelle transition était acquise à Andry Rajoelina, même sans la signature des 4 responsables des mouvances engagées dans les négociations quadripartites. Il voulait sans doute appuyer la position française, exprimée par Alain Joyandet, secrétaire d’état à la coopération : Andry Rajoelina est le président de la transition, reconnu par la communauté internationale. Du moins, c’était le vœu le plus cher de l’Hexagone. Ravalomanana a changé d’hôtel pour ne plus dépendre de l’organisation de l’Union africaine et demandé aux autorités éthiopiennes d’assurer sa sécurité.

Quitte ou double - Le blog de Alain Rajaonarivony. Dimanche 4 octobre 2009 7 04 /10 /Oct /2009 16:16 Après avoir rencontré à Paris différents protagonistes de la crise malgache, en particulier Andry Rajoelina (voir article précédent), Mamy Andriamasomanana a pris l’avion «à l’arrache» dans la nuit du 2 octobre pour Antananarivo.

Quitte ou double - Le blog de Alain Rajaonarivony

Sa présence semble être ardemment souhaitée par tout le monde lors ce round de négociations. L’implosion de la HAT (Haute autorité de la transition) n’est plus un secret pour personne, pas plus que les tensions entre les deux têtes du mouvement. Dès son arrivée le samedi, Mamy Andriamasomanana s’est entretenu à plusieurs reprises avec Roindefo Monja, le premier ministre «de fait». Le dimanche matin, il était à la présidence, avec Andry Rajoelina. L’agenda de Mamy Andriamasomanana est donc très chargé. Sa présence fait donc l’unanimité ou presque. Dans cette crise de 2009, Internet a encore montré ses capacités de réaction et d’information tout comme en 2002. Alain Rajaonarivony. Journalists Without Twitter or Facebook? Consider Yourself Joble. Like so many media brands, Gannett’s Westchester, New York paper The Journal News is undergoing a massive restructuring.

Journalists Without Twitter or Facebook? Consider Yourself Joble

But besides economic woes, things are anything but typical at the Journal, as noted in David Carr‘s report in today’s New York Times: journalists work in an “Information Center” instead of a newsroom and are organized by “topics” instead of beats. And when it comes to layoffs, all 288 employees were shown the door. Then they were told they could each reapply for one of 218 “redefined” positions. Not unlike the current McKinsey evaluations at Conde Nast, staff in the news and advertising wings had to prove their worth, but instead of the standard cherry-picked cuts, at the Journal everyone had to claw their way back to employment by assuring the job reapers, in part, about their new media skills.