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Le président de la Bundesbank tacle Hollande, rappelle l'orthodoxie. Plutôt discret depuis qu'il a pris la succession en mai dernier du bouillonnant Axel Weber, qui avait claqué la porte en raison de son désaccord sur la gestion de la crise en zone euro, M.

Le président de la Bundesbank tacle Hollande, rappelle l'orthodoxie

Weidmann, à la réputation de pragmatisme, a tapé du poing sur la table face au tour que prend le débat en Europe. Première visée dans un long entretien accordé au quotidien Süddeutsche Zeitung paru samedi, la Grèce, toujours en quête d'un gouvernement. Ce pays, dont le surendettement a été à la fois le déclencheur et le révélateur d'une crise de le dette qui n'en finit pas de plomber la zone euro, ne recevra plus aucune aide financière si il ne respecte pas ses engagements d'austérité, a averti celui qui fut un conseiller proche de la chancelière Angela Merkel. L'inflation ensuite. "C'est un chemin dangereux, nous ne devrions pas répéter les erreurs des années 1970. Dans le journal dominical Welt am Sonntag il a réaffirmé qu'il s'agissait d'un "débat fictif dénué de tout fondement".

Enfin M. "On peut prêter aux Etats européens à du 0,02% sans changer les traités" "Globalement, tout ce que l'on fait depuis quatre ans ne marche pas et aggrave le problème, parce que le diagnostic est faux".

"On peut prêter aux Etats européens à du 0,02% sans changer les traités"

L'économiste et agronome français Pierre Larrouturou ne ménage pas les plans d'austérité mis en place par les gouvernements européens ces dernières années. Et l'invité de Matin Première de citer une liste interminable de pays qui se sont engagés dans l'austérité et rentrent, ou sont rentrés, en récession depuis lors. Citant l’exemple américain, il explique que "pendant 30 ans, avant l’arrivée de Reagan au pouvoir (en 1981), il n’y avait besoin ni de dette privée, ni de dette publique pour nourrir l’économie".

Durant cette période, "il y a eu un équilibre social : ce qui allait aux actionnaires, ce qui allait aux salariés était à peu près équilibré", constate-t-il. Dès lors, ce que l’on ne donne par le salaire, on le donne par le crédit, ce qui a créé une immense dette privée.

Economies alternatives

Et si on fermait la bourse ? Frédéric Lordon - 'Là-bas, si j'y suis' de Daniel MERMET. Il n'y a pas de crise de l'énergie , mais simplement une crise d'ignorance. Réseaux sociaux. LA DETTE. Qui à tué la croissance ? Rothschild &Cie. MES, le nouveau dictateur européen. Les dictatuers de l'Union Européenne préparent le vol de leus esclaves.

Un coup d’état européen! Les institutions européennes finalisent deux traités qui scellent la fin de toute perspective démocratique et de tout espoir de justice sociale.

Un coup d’état européen!

Le gouvernement allemand demande que les deux traités soient liés: • Le Pacte budgétaire Il s’agit plus exactement du “Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire” (TSCG). Il renforce la discipline budgétaire par une limitation du déficit structurel à 0,5% du PIB, et il constitutionnalise l’austérité. En effet, toutes ces dispositions doivent être introduites dans les législations nationales, dans un délai d’un an suivant l’entrée en vigueur du Traité, sous forme de dispositions contraignantes et permanentes, de préférence constitutionnelles. . • le Mécanisme Européen de Stabilité ( MES) Ce traité institue une nouvelle institution internationale: une sorte de FMI européen. Comments comments. Le FESF : un truc d’avenir. Il y a des petites perles qui passent malheureusement inaperçues.

Le FESF : un truc d’avenir

Celle-ci a été repérée par Zerohedge. Pendant que les marchés continuent de vivre leur petite euphorie passagère, le FESF, installé au Luxembourg…, révélait fin décembre à quoi il ressemblait. On trouve dans cette jolie présentation les contributions des états qui y participent. Bien entendu, il y a parmi les « gros » contributeurs l’Allemagne (29,07%) et la France (21,83%). Interpellation MES.

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STOP aux banquiers ! - RTBF Chroniques Michel Visart. A tous les employés de banque qui tentent tant bien que mal de faire leur métier, je présente dores et déjà mes excuses.

STOP aux banquiers ! - RTBF Chroniques Michel Visart

Cette diatribe contre les banquiers ne vise en rien les soutiers que vous êtes dans des conditions de plus en plus dures. Combien de vos collègues n’ont pas quitté la banque, contraints et forcés, souvent écœurés par des pratiques internes qu’il faudra bien finir par étaler au grand jour ? Espérons que des courageux oseront briser l’omerta ! Vous me direz que l’on ne trouve pas de Kerviel ou d’Iksil dans les banques de chez nous.

Exact car nous parlons là de la crème de la crème des traders. Voilà texto ce que Jamie Dimon, le big boss de JP Morgan a déclaré à propos de la spéculation d’Iksil : "La stratégie était mauvaise, complexe, mal supervisée, mal exécutée et mal gérée". C’est facile quand on détient l’épargne des citoyens de continuer comme avant, de refaire les mêmes conneries, de distribuer les mêmes rémunérations folles et autres parachutes dorés !