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Réactions UMP

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Nathalie Kosciusco-Morizet tacle Patrick Buisson et s'émeut du sort de Nicole Bricq. Les dix raisons de l\'échec de Nicolas Sarkozy, Election présidentielle 2012 - Les Echos.fr. Nicolas Sarkozy, chronique d’une défaite annoncée - Presidentielle 2012. La campagne de M. Sarkozy, d'abord retardée, puis improvisée.

Bertrand-et-cope-defendent-le-collectif-avant-les-legislatives_1697221_1471069. L'UMP risque-t-elle l'implosion ? L'intégralité du débat avec Guillaume Peltier, secrétaire national de l'UMP , lundi 7 mai 2012 Guillaume Peltier, porte-parole adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy , secrétaire national de l'UMP chargé des études d'opinion et des sondages, passé par le Front national et le Mouvement pour la France avant de rejoindre l'UMP, répondait aux internautes du Monde.fr dans un chat organisé lundi 7 mai. Guillaume Peltier : Nicolas Sarkozy n'a pas viré très à droite, pas plus qu'il n'a viré au centre.

Nicolas Sarkozy avait décidé, dans le prolongement de son quinquennat et dans la droite ligne de sa campagne, de s'adresser au peuple français, tout le peuple français. Sans exclusive. Cette campagne populaire nous a permis malgré les crises, malgré le statut de président sortant, malgré l'anti-sarkozysme primaire, d'atteindre un score inédit par rapport à toutes les enquêtes et d'obtenir un score honorable.

Non. Je ne crois absolument pas à l'idée des 300 triangulaires. C'est tout le contraire. Jouanno : la campagne Sarkozy a "donné trop de place à l'immigration et la sécurité" Chantal Jouanno critique sévèrement la campagne de Nicolas Sarkozy. Les modérés de l'UMP accusés d'avoir fait perdre Sarkozy. Trois jours après l'échec de la présidentielle, l'heure est au règlement de comptes à l'UMP. Pour Patrick Buisson, "l'aile centriste et Humaniste du parti serait la seule responsable du désastre", révèle le Canard enchaîné.

Le conseiller le plus influent de Nicolas Sarkozy impute la perte de 2 points dans les sondages à Jean-Pierre Raffarin et Alain Juppé, qui avaient suggéré publiquement, à la fin mars, la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre. Or, selon Patrick Buisson, la stratégie à adopter était tout autre. Pour lui, la clé de la victoire de Nicolas Sarkozy tenait dans les 6,5 millions d'électeurs de Marine Le Pen. Il fallait donc parler d'attachement à un mode de vie et de refus de la mondialisation.

Même son de cloche à l'Elysée. Chez les concernés, personne ne bronche. De plus, les résultats du second tour confirment, pour lui, la légitimité du courant Humaniste au sein de l'ex-parti majoritaire. Guillaume Peltier reconnaît "un manque d'audace et de pédagogie" dans la campagne de Sarkozy. Guillaume Peltier, porte-parole adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy, secrétaire national de l'UMP chargé des études d'opinion et des sondages, passé par le Front national et le Mouvement pour la France avant de rejoindre l'UMP, répondait aux internautes du Monde.fr dans un chat organisé lundi 7 mai. Guest : Ne trouvez-vous pas que la fin de campagne de Nicolas Sarkozy, qui a viré totalement à droite, a précipité sa chute ?

Guillaume Peltier : Nicolas Sarkozy n'a pas viré très à droite, pas plus qu'il n'a viré au centre. Nicolas Sarkozy avait décidé, dans le prolongement de son quinquennat et dans la droite ligne de sa campagne, de s'adresser au peuple français, tout le peuple français. Sans exclusive. Cette campagne populaire nous a permis malgré les crises, malgré le statut de président sortant, malgré l'anti-sarkozysme primaire, d'atteindre un score inédit par rapport à toutes les enquêtes et d'obtenir un score honorable.

Guest : N'avez vous pas peur du FN aux législatives ? Non. Pour la maire UMP d'Aix-en-Provence, M. Hollande n'est pas "légitime" Christian-vanneste-demande-a-l-ump-de-revenir-sur-le-retrait-de-son-investiture-aux-legislatives_1697373_823448. Un-depute-ump-pose-la-question-du-rapprochement-avec-le-fn_1697390_1471069. Jean-Paul Garraud : "Pas du tout favorable à une alliance avec le FN" Undi, Jean-Paul Garraud, le député UMP de Gironde et cofondateur de la Droite populaire, posait la question d’un « rapprochement » avec le FN. Ce mardi, il revient sur ses propos. Rétropédalage, ironiseront ses détracteurs. Précision face à « l’emballement médiatique » répond - y compris sur Twitter - l’élu libournais qui se défend de vouloir toute alliance avec le Front National. Sudouest.fr: lundi vous écriviez « une majorité des électeurs de l’UMP et des électeurs du FN veulent un rapprochement", ajoutant: "On devient pragmatique ou on reste dans les blocages idéologiques ?

" Pourquoi vouloir préciser aujourd’hui votre analyse ? Jean-Paul Garraud: Il y a eu un emballement médiatique. En clair, êtes-vous pour ou contre un rapprochement avec le FN ? Je ne suis pas du tout favorable à une alliance avec le Front National. Dès lors, comment comptez-vous récupérer ces électeurs? Il faut parler à tout le monde. Bien sûr. Ce sera peut être l’exception qui confirmera la règle. Mariani-ni-front-national-ni-front-republicain-pour-les-legislatives_1697583_1471069. Buisson ne veut pas porter le chapeau. "Si Nicolas Sarkozy perd, c'est que je l'aurai mal conseillé. " Patrick Buisson faisait claquer ces mots devant nous, il y a un an tout juste, en mai 2011. Ce jour-là, les yeux du polito-idéologue le plus influent du quinquennat avaient l'éclat de l'orgueil bien placé : là où se joue l'idée que l'on se fait de soi-même. Nicolas Sarkozy a perdu. Cette élection est sa défaite avant d'être la victoire de François Hollande.

Buisson, cet intellectuel maurrassien qui, de 2005 à 2012, a inventé, puis façonné le sarkozysme, a-t-il mal conseillé son candidat ? Le pouvoir d'achat, c'est comme le beau temps" "Ce soir, j'ai eu une pensée compatissante pour Buisson. Dans cet entre-deux-tours, Buisson a été le "dernier espoir du président", selon l'expression de l'ancien ministre Hervé Novelli, qui soulignait alors : "Pendant quinze jours, plus personne à l'UMP ne peut contester officiellement l'école buissonnière.

" "Bande de crétins" Un "homme vraiment curieux" (Hortefeux) Peut-être. Mayonnaise. Législatives : des figures de l'UMP et du Nouveau Centre sur des sièges éjectables. Les hostilités reprennent à l'approche des Législatives - Politique. La bataille des législatives a déjà commencé. L'UMP met en sourdine ses rivalités personnelles afin de remporter ce scrutin et imposer une cohabitation. La gauche veut donner les moyens à Hollande de gouverner. Le FN est en embuscade. Les trois principaux protagonistes de la présidentielle se retrouvent encore face à face aux législatives : le PS, l'UMP et le FN. Afin de faire taire ses divisions dans la guerre à la succession de Sarkozy, l'UMP a mis en place un comité stratégique d 'une quarantaine de personnalités représentant toutes les sensibilités qui a pour but de mener la campagne.

Au PS, on agite la menace de la paralysie du pouvoir en cas de cohabitation. « Un Président de gauche avec une majorité hostile conduirait à une crise », a déclaré hier Jean-Marc Ayrault. Quel dispositif adoptera le PS pour ces législatives ? Troisième acteur de ces législatives : le FN. Zoom Partis : leurs stratégies Quelle est la stratégie des forces en présence ? Le PS. Le PRG. Les Verts. MRC. L'UMP. L'après-présidentielle. L'UMP élira son nouveau président cet automne - Présidentielle 2012. La-croix. François Fillon n’est certes pas le premier ministre à être resté le plus longtemps en fonction, mais il est bel et bien le seul à y être resté sur l’ensemble de la mandature d’un président de la République.

Nommé à Matignon le 17 mai 2007, il remettra jeudi 10 mai la démission de son gouvernement à Nicolas Sarkozy. Deux échéances l’attendent désormais : les élections législatives de juin et le congrès de l’UMP prévu à l’automne. Implanté depuis toujours dans la Sarthe, François Fillon va être parachuté à Paris à l’occasion des élections législatives. Investi par l’UMP dans la nouvelle 2e circonscription parisienne, François Fillon pourrait « dans peu de temps » trouver un accord avec Rachida Dati, maire UMP du 7e arrondissement et elle-même désireuse d’être candidate. La seconde échéance qui attend François Fillon est le congrès de l’UMP, prévu à l’automne, avec à l’ordre du jour l’élection d’un président. Il n’empêche, en coulisses, le bras de fer a commencé. Copé et M. Le Pen, figures d'opposition. Le patron de l'UMP, Jean-François Copé (35%), et Marine Le Pen (34%) sont vus comme les personnalités qui vont incarner ou mener l'opposition à François Hollande, la présidente du FN étant même en tête chez les électeurs de Nicolas Sarkozy, selon un sondage Mediaprism* pour le site Atlantico.fr.

A la question: "Parmi la liste suivante, qui selon vous va (ou vont) incarner et mener l'opposition", les sondés placent M. Copé à 35%, puis Marine Le Pen à 34%. Dans cette liste de dix noms, où n'apparaît pas François Bayrou, viennent ensuite Alain Juppé (22%), François Fillon (20%), Nicolas Sarkozy lui-même à 12% et Nathalie Kosciusko-Morizet à 10%. Les sondés pouvaient donner plusieurs réponses. Auprès des électeurs de Nicolas Sarkozy, c'est Marine Le Pen qui obtient le plus haut résultat, à 38%, contre 37% pour Jean-François Copé, 30% pour Alain Juppé et 26% pour François Fillon.

Dans un communiqué ce mardi, le Front national y a vu "un désaveu terrible" pour le secrétaire général de l'UMP. Ce que l'Etat versera à Sarkozy après son départ de l'Elysée. Nicolas Sarkozy ne sera pas dans le besoin. Quelle que soit sa décision sur la suite de sa carrière politique, il va bénéficier des avantages octroyés par la République aux anciens chefs d'Etat. D’abord, il percevra une indemnité de 6.000 euros brut, accordée à tous les "ex", quelle que soit la durée de leur séjour à l’Elysée. Ensuite, il pourra siéger au Conseil constitutionnel, en tant qu’ancien Président et percevoir, à ce titre, une indemnité de 11.500 euros net par mois.

François Hollande a certes promis de supprimer cette disposition qui permet aux anciens Présidents d’être nommés à vie dans cette institution, mais si elle est approuvée par le Parlement, cette remise en cause ne devrait pas avoir de caractère rétroactif. Voyages gratuits et illimités en classe affaires sur Air France Surtout, il leur offre toute une série d’avantages matériels, détaillés dans une "décision" signée par Laurent Fabius, en 1985, lorsqu’il était Premier ministre de François Mitterrand.