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Hollande et le numérique

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«Nous allons créer un lieu étendard du numérique» La ministre de l’Economie numérique, Fleur Pellerin, revient sur les annonces du gouvernement la semaine dernière en faveur du numérique, dont 20 milliards d’euros de fonds pour le très haut débit. Il y a urgence alors que la France accuse un retard par rapport aux économies développées. Le numérique n’y contribue qu’à hauteur de 0,21% de la croissance de la richesse nationale, contre 0,33% au Royaume-Uni et 0,5% aux Etats-Unis. Comment comptez-vous doper le numérique ? Donnez-nous un exemple… Nous allons créer à Paris ou en proche banlieue un lieu qui sera l’étendard du numérique de la France. Ce pourrait être la halle Freyssinet, dans le XIIIe arrondissement. C’est l’hypothèse la plus sérieuse parmi les implantations étudiées.

Où allez-vous trouver l’argent ? Le projet sera financé par un pool d’investisseurs français, avec un appui possible de la Caisse des dépôts et consignations. La halle Freyssinet appartient à la SNCF… Le gouvernement précédent n’a pas été inactif. Numérique: le changement, c'est quand? A l’arrivée du nouveau gouvernement, je me suis dit qu’il fallait leur laisser du temps. Que ça ne servait à rien de partir bille en tête. Et puis, j’y croyais un peu. On revenait quand même de vachement loin. La présidence de Nicolas Sarkozy avait réussi à faire entrer pour la première fois la France dans le classement des pays sous surveillance de Reporters sans frontières, notamment à cause d’Hadopi. publicité Et puis j’ai attendu.

Et puis j’ai vu. Pendant la campagne, Internet et l’informatique ont été complètement absents des programmes. Et puis, les mois passant, on a compris que c’était simplement parce que le gouvernement n’a pas de projet, alors que précisément le numérique pourrait être le levier d’une vision d’avenir. Nos confrères de Slate.com font actuellement des articles pour dire qu’Obama doit avoir une vision pour son mandat. Filippetti, ou la gauche réac 1. Mais oui! 2. Seuls les pays étrangers devaient payer pour y accéder. 3. On ne va pas l’assassiner avant. Titiou Lecoq.

Lex Google ?

Google, commerce électronique: le grand retour des taxes. Taxe Google, saison II. Sans attendre les conclusions du rapport sur la fiscalité du numérique sue lequel planchent Nicolas Colin et Pierre Collin, quatre députés socialistes de la Commission des finances de l'Assemblée nationale ont déposé des amendements visant le numérique, dans le cadre du projet de loi de finances 2013.

Ironie de l'histoire, ces textes reprennent quasiment au mot près les différentes propositions faites ces deux dernières années par le sénateur UMP Philippe Marini, que la gauche avait pourtant combattues. Taxe Google Le premier amendement instaure une taxe sur la publicité en ligne, et vise en clair à fiscaliser Google.

Les députés socialistes ne chiffrent pas les recettes prévisionnelles. La taxe sur l'e-commerce Autre idée copiée sur celle du sénateur, les quatre membres de la Commission des finances ont proposé une taxe sur les transactions électroniques pour tous les sites qui réalisent au moins 460.000 euros de recettes. Financer la fibre, non pas la culture.

Open Data

Plan Numérique. Neutralité du Net. Hadopi. CNNum. Pour l’UMP, « Sarkozy n’aurait pas laissé la France isolée » au. CETA : les gouvernements doivent protéger nos libertés ! Consultation de sites terroristes : Manuel Valls s'inspire directement de Sarkozy. [ Mise à jour le 19 septembre : cet article a été rédigé le 18 septembre sur la foi d'informations rapportées dans une dépêche d'agence relatant le déplacement de Manuel Valls à Nîmes. Selon le cabinet du ministère de l'intérieur, la pénalisation de la consultation de sites terroristes ne figure en réalité pas dans le projet de loi antiterroriste.

Le texte contient cependant un volet réprimant les voyages à l'étranger à des fins d'endoctrinement ou d'entraînement au terrorisme. ] C'est, quasiment mot pour mot, la proposition qu'avait faite Nicolas Sarkozy le 22 mars, quelques heures à peine après la mort de Mohamed Merah, lors de l'assaut du Raid : créer un nouveau délit réprimant la consultation "habituelle, et sans aucun motif légitime, des sites Internet qui provoquent au terrorisme ou qui en font l'apologie lorsqu'ils diffusent à cette fin des images d'actes de terrorismes d'atteinte à la vie" . Le projet de loi antiterroriste que prépare le gouvernement ne s'arrêtera pas là.

Le délit de visite régulière de sites terroristes réintroduit via un amendement. Écartée du projet de loi de lutte contre le terrorisme par les services du ministère de l'intérieur, la pénalisation de la consultation de sites web à visée terroriste fait son retour par le biais d'un amendement déposé par le sénateur UMP Jean-Jacques Hyest. Repérée par Alexandre Archambault sur Twitter, la rectification proposée par le parlementaire est accompagnée d'autres propositions pour renforcer la lutte antiterroriste. Le délit de consultation régulière de sites terroristes fait son retour Sans surprise, l'amendement déposé par Jean-Jacques Hyest reprend la même échelle de sanctions que celle inscrite dans le projet de loi présenté en avril dernier par le ministre de la justice de l'époque, Michel Mercier.

Il punit la consultation "habituelle" tout site web à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende le fait de mettre à disposition des contenus faisant l'apologie d'actes de terrorisme ou incitant à en commettre. Mobilisation de la Loppsi 2 pour bloquer les sites terroristes. C'est officiel : Matignon associe Hadopi, CSA et Arcep pour réguler le net ! Open Data : 20 questions qui se posent au gouvernement français | ITACTU. Un article très intéressant que je découvre ce matin sur LiberTIC concernant l’OpenData et les dernière élection législatives du 17 Juin 2012. Pour la première fois en France des responsables au pouvoir non seulement conscient de l’OpenData mais ayant pratiqué ce concept. L’article en intégralité est assez intéressant à lire et relève des questions très pertinente en relation avec l’OpenData, TIC, OpenGov, Stratégie politique d’ouverture des données. Suite aux élections législatives du 17 juin 2012, le gouvernement possède désormais la majorité parlementaire nécessaire à la mise en œuvre de sa politique, notamment en matière d’ouverture des données publiques.

Plusieurs éléments semblent propices au développement d’une politique nationale ambitieuse sur le sujet : Or malgré ces expériences et notes d’intention, aucune stratégie gouvernementale n’a encore été dévoilée. Faut-il définir juridiquement le terme « donnée ouverte »? Faut-il imposer l’usage de certaines licences ? Le gouvernement veut faire payer plus d'impôts à Google, Amazon ou Apple. Jean-Marc Ayrault : un Premier ministre concerné par le numérique.

Une conseillère technique Réseaux Sociaux & Internet pour @jeanmarcayrault. Fleur Pellerin à l’Economie Numérique: les infos à connaître. Sans grande surprise, Fleur Pellerin vient d’être nommée Ministre déléguée chargée des PME, de l’Innovation et de l’Économie numérique. Diplômée de l’ESSEC, Sciences Po puis l’ENA, elle a effectué la majorité de sa carrière professionnelle à la Cour des Comptes. Elle a participé aux équipes de campagne de Lionel Jospin en 2002, Ségolène Royal et 2007 avant d’être responsable du pôle Société et Économie numériques lors de la campagne de François Hollande. Le 26 avril dernier, Fleur Pellerin était confrontée à Nicolas Princen (UMP) lors du débat en vidéo, organisé par le Collectif du Numérique, animé par Richard Menneveux et diffusé en direct sur FrenchWeb. 2 heures de débat à voir ou revoir pour mieux appréhender la personnalité de Fleur Pellerin et les idées qu’elle porte en matière d’économie numérique.

Deux réactions à la nomination de Fleur Pellerin à l’Economie Numérique : Associer dans un même ministère l’innovation, les PME et le numérique est un signe fort. Fleur Pellerin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fleur Pellerin est la première personnalité politique d'origine asiatique à être membre d'un gouvernement français[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Kim Jong-suk (김종숙) naît le à Séoul, en Corée du Sud[1]. Études[modifier | modifier le code] Fleur Pellerin maîtrise l’anglais, l’allemand, et des éléments de japonais[12]. Vie privée[modifier | modifier le code] Magistrate à la Cour des Comptes[modifier | modifier le code] Elle est alors affectée à la troisième chambre, chargée notamment de l'éducation, de la culture et de la recherche, ainsi que de l'audiovisuel[21].

Parallèlement, de 2001 à 2006, elle a été auditeur externe pour l'ONU en Irak, à New York et à Genève. Engagement politique[modifier | modifier le code] Elle rejoint l'équipe de campagne de Lionel Jospin en 2002, sous l'autorité de Pierre Moscovici, dans l'équipe des « plumes »[23]. Engagements associatifs[modifier | modifier le code] @aymeril nommé conseiller innovation et économie numérique de Fleur Pellerin... Les chantiers du numérique. Tout au long de la campagne présidentielle, le numérique s'est fait discret.

A l'approche de la nomination du premier gouvernement Hollande, se pose la question de son traitement. Va-t-on vers un secrétariat d'Etat dédié comme au début du mandat de Nicolas Sarkozy ? Un ministère de l'Industrie qui englobe "l'économie numérique" comme avec Eric Besson ? Ou bien le numérique sera-t-il rattaché à un large ministère de la Culture, comme le préconise le ministre sortant Frédéric Mitterrand ? "Le plus important est d'avoir des pôles numériques extrêmement puissants dans les grands ministères, comme l'Economie, l'Industrie, la Recherche, la Santé ou l'Education", plaide Patrick Bertrand, président du Conseil national du numérique, dans "la Tribune". "Le numérique est un sujet transversal qui doit aussi être traité au plus haut niveau, à Matignon ou à l'Elysée. " "Il faut un équipage rassemblé et un pilote dans l'avion" En attendant, rumeurs et bruits de couloirs restent contradictoires.