background preloader

Europe de l'Est

Facebook Twitter

MOLDAVIE • Le gouvernement renversé. Histoire du Monde : crise en Bulgarie - RTBF Matin premiere. La Bulgarie est secouée depuis trois semaines par des manifestations contre la pauvreté. Une contestation qui a entrainé la chute du gouvernement. Et hier, pour la troisième fois en moins de dix jours, un homme s’est immolé par le feu. Robin Cornet. Ventsislav Vassilev avait 53 ans. Il était père de 5 enfants mais après s’être retrouvé, comme sa compagne, au chômage, il est tombé dans une situation économique catastrophique.

La Bulgarie est en ébullition. Cet hiver, la montée en flèche des factures d’électricité a été la goutte qui a fait déborder le vase. La crise économique a plongé le pays dans une crise politique. Dans la presse d’hier, une étude d’Eurostat nous apprenait qu’en Belgique, plus de 20% des enfants de moins de 18 ans étaient menacés par la pauvreté ou l’exclusion. 1 sur 5, c’est énorme. UE27 + Croatie = UE28 le 1er juillet 2013 ? - Pays candidats. LA CROATIE a terminé les négociations débouchant sur son adhésion à l’Union européenne. Les problèmes les plus difficiles à résoudre furent, et demeurent dans une certaine mesure, ceux qui relèvent de la justice et de son domaine : la garantie des droits fondamentaux, l’acceptation des obligations et des verdicts du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) qui a encore condamné, au mois d’avril 2011, des généraux croates emblématiques du conflit de 1991-1995.

Toutefois, ces deux généraux ont été acquittés par la Chambre d’appel du même TPIY par une décision du 16 novembre 2012. Cette difficile adaptation de la justice trouve l’une de ses sources dans la corruption, comme le montre l’affaire d’Ivo Sanader, Premier ministre de 2003 à 2009 et extradé vers la Croatie en 2011 après une démission forcée en 2009. Les perspectives de l’intégration européenne, à compter du 1er juillet 2013, dépendent de plusieurs critères : . . . Un long processus s’achève. 1. Droits fondamentaux 2. Europe de l'est. Lettonie, la crise en cartes et en graphiques. Ce billet vient en complément de l’article sur les conséquences de la crise dans le district de Rezekne (est de la Lettonie) paru dans l’édition de septembre 2009 du « Monde diplomatique ». La Lettonie, petite république balte entrée dans l’Union européenne en 2004, a connu une croissance économique très rapide, principalement alimentée par le crédit à la consommation, les services financiers et la spéculation immobilère.

La crise mondiale de 2008 a brutalement emporté le pays qui subit depuis une récession sans précédent. L’analyse des chiffres montre pourtant que l’écroulement de l’économie du pays était prévisible. Quelques voix se sont élevées — en vain — pour alerter des dangers d’une telle surchauffe. Pour seule réponse, les responsables au pouvoir ne disaient à l’époque qu’une seule chose : « appuyez sur le champignon, et faites encore mieux ! ».

Le Produit intérieur brut Mais lors de sa conférence de presse du 15 septembre 2009, le premier ministre, M. La production industrielle. La Lettonie demande officiellement l'adhésion à la zone euro, malgré le scepticisme de sa population. 8% de la population lettone, voilà la petite part d'habitants de ce pays de l'Est de l'Europe qui se disent favorables à une adhésion rapide de leur nation à la zone euro, selon une enquête réalisée par la banque DNB rendue publique en janvier dernier. Visiblement, la crainte prévaut sur l'enthousiasme, alors que les dirigeants du pays viennent de procéder ce lundi à une demande officielle d'adhésion à l'euro. En cas d'accord, la Lettonie deviendrait le 18e pays à adopter la monnaie commune, abandonnant le lat.

L'opposition dit craindre une hausse des prix Lors d'une cérémonie à Riga, le Premier ministre Valdis Dombrovskis, le ministre des Finances Andris Vilks et le gouverneur de la Banque centrale Ilmars Rinkevics ont signé le document qui devrait permettre à cet Etat balte de 2 millions d'habitants de rejoindre la zone euro au 1er janvier 2014. Mais l'opposition s'insurge vivement contre cette initiative. La Commission européenne va vérifier les comptes lettons Avec agences. Slovénie : manifestations dans tout le pays, violents affrontements à Ljubljana. Des milliers de personnes ont manifesté pacifiquement vendredi après-midi à travers toute la Slovénie contre les politiques d’austérité, réclamant la démission de toutes les autorités élus.

La situation a dérapé à Ljubljana où des heurts très violents avec la police ont fait près de 30 blessés. Des dizaines de personnes ont été arrêtées. La capitale slovène est toujours en état de siège. (Avec STA, B92) - La situation a dégénéré en début de soirée à Ljubljana quand des « provocateurs » néo-nazis et des hooligans ont attaqué les forces de police. Les manifestations s’étaient déroulées pacifiquement dans tout le pays, des milliers de citoyens ont exigé la démission de tous les responsables politiques, de tous les élus, considérés comme responsables de la situation du pays, reprenant le fameux slogan du mouvement serbe Otpor : « Gotof je !

Les manifestants rejettent les politiciens, les économistes, les banquiers, les oligarques, les juges et les avocats, accusés de former une « mafia ». En Slovénie, la stratégie du choc, par Jean-Arnault Dérens. Des dizaines de milliers de personnes qui battent le pavé de Ljubljana et de toutes les villes du pays : jamais la République de Slovénie (deux millions d’habitants), réputée pour son calme, sa modération et sa qualité de vie, n’avait connu de mobilisations aussi fortes que celles de cet hiver.

Les mesures d’austérité du gouvernement conservateur, au pouvoir depuis janvier 2012, ne passent pas. Les syndicats, toujours puissants, ont reçu le renfort de nombreux citoyens indignés par la corruption de la classe politique. Dans les cortèges, beaucoup vilipendent l’Union européenne, que la Slovénie a rejointe en 2004. Et nombre de manifestants brandissent le drapeau de l’ancienne Yougoslavie fédérale, qu’elle a quittée en 1991. La Slovénie est-elle en crise ? En crise politique assurément, le gouvernement de M.

Selon lui, « la crise sert de prétexte à une remise en cause de notre modèle social. Un des meilleurs systèmes de santé du monde Car la majorité fragile et hétéroclite de M. M. Législatives en Roumanie sur fond d’austérité et de soupçons de corruption généralisée - Roumanie. Les élections législatives de Roumanie font écho à la tentative de destitution du président Traian Basescu de l’été dernier. Ce fut alors un véritable feuilleton politique à rebondissements qui a secoué le pays, et valu au Premier ministre Victor Ponta et à sa coalition les critiques de l’Union européenne et des Etats Unis, pour non respect des normes démocratiques. Le président avait réussi à garder son poste suite à un référendum qui a été invalidé, le seuil de participation minimale de 50% n’ayant pas été atteint.

Mais, selon les chiffres officiels, plus de sept millions de Roumains ont voté pour sa destitution. Traian Basescu est président jusqu’en 2014 et la cohabitation avec le Premier ministre Victor Ponta et son gouvernement issu de l’Union sociale libérale (USL) ressemble jusqu’à présent à une guerre d’usure. Le président a même menacé de ne pas reconduire Victor Ponta dans se fonctions, si l’USL n’obtenait pas plus de 50% des suffrages. L’Europe jusqu’où ? État des futurs élargissements. Elle prévoit de consacrer plus de 14 milliards d’euros entre 2014 et 2020 pour aider les nouveaux adhérents potentiels Alors que les États membres de la zone euro élaborent toujours des solutions pour sortir de la crise des dettes, le processus d’élargissement de l’Union, lui, se poursuit discrètement.

La publication par la Commission européenne, mercredi 10 octobre, de son rapport annuel sur les pays qui pourraient un jour rejoindre les Vingt-Sept le rappelle. Ces pays sont au nombre de huit aujourd’hui. Un premier groupe comporte la Macédoine, le Monténégro, la Serbie, l’Islande et la Turquie. L’exécutif communautaire prévoit de consacrer 14,1 milliards d’euros entre 2014 et 2020 pour aider ces potentiels États «frères». État d’avancement du rapprochement de chaque pays avec l’Union à 27 et, l’an prochain, à 28 avec l’entrée attendue de la Croatie. Monténégro Ancienne république yougoslave de Macédoine Serbie Turquie Islande Albanie Bosnie Herzégovine Kosovo. Union Européenne : il ne manquait plus que la Croatie ! L’Allemagne veut rétablir les visas pour les Serbes et les Macédoniens - Allemagne.

L'Allemagne souhaite que l'Union européenne rétablisse d'urgence les visas pour les Serbes et les Macédoniens. Les citoyens de ces pays ne sont plus tenus de présenter un visa pour entrer dans la zone Schengen depuis deux ans, ce qui engendre, selon Berlin, un afflux de ses ressortissants « qui doit être immédiatement stoppé », a affirmé vendredi 12 octobre le ministre allemand de l’Intérieur. L'Allemagne est confrontée un à afflux massif de ressortissants serbes et macédoniens, et cela constitue « un abus du droit d'asile ». Ce sont les mots de Hans-Peter Friedrich, le ministre conservateur de l'Intérieur allemand. Pendant la période estivale, d'après les statistiques du gouvernement allemand, les demandes d'asiles en provenance de Macédoine ont augmenté de 70%. En ce qui concerne les Serbes, ils sont trois fois plus à avoir cherché refuge dans le pays. Ils sont 2 400 demandeurs d'asile serbes et macédoniens à avoir été recensés fin septembre.

Revue geopolitique, articles, cartes, relations internationales. C’EST en 2003, au Conseil européen de Thessalonique, que les 15 États membres de l’UE déclarèrent qu’ils soutiendraient « pleinement et résolument les perspectives européennes des Balkans occidentaux [1] ». Dix après, le bilan est mitigé. Un seul Etat, la Slovénie a rejoint l’ensemble européen, en 2004, un deuxième, la Croatie, le fera en juillet 2013. La Macédoine, le Monténégro et la Serbie ont le statut officiel de candidat. L’Albanie a déposé sa candidature ; la Bosnie-Herzégovine et le Kosovo demeurent sur le seuil. Cette lenteur est due aux difficultés systémiques de la transition, à l’économie criminelle et à une corruption généralisée. Un obstacle extérieur, le veto grec, bloque la Macédoine. À toutes ces causes de retard, s’ajoute que les Balkans sont redevenus un lieu de compétition entre Puissances, comme au XIXe siècle. 1. Les liens entre la Russie et les Balkans sont très nombreux.

La Serbie est au centre de ce projet stratégique russe. V. 2. 3. 4. Plus sur le Diploweb.com . 2018 : la fédération de la zone euro voit le jour. Un croisement entre les États-Unis et la République fédérale allemande, voilà à quoi devrait ressembler la future fédération de la zone euro selon la Commission européenne. Même si l’exécutif européen se garde bien de prononcer le « f word » (elle préfère la très médiatique expression : « union économique et monétaire véritable et approfondie »…), c’est bien un saut fédéral qu’elle propose aux États membres d’effectuer dans une « communication » de 55 pages rendue publique mercredi. Un document particulièrement ambitieux qui tranche avec l’habituelle prudence de José Manuel Durao Barroso : il n’a pas hésité à batailler plus de cinq heures pour faire adopter ce texte par le collège des 27 commissaires.

Ce budget serait alimenté par des ressources propres ne dépendant pas des États (comme la taxe sur les transactions financières ou la taxe carbone). Mieux : il pourrait avoir recours à l’emprunt, ce qui passerait par la mise en place d’un « Trésor européen ». Pourquoi un saut fédéral ? Ces 10 cartes vont vous aider à comprendre la situation en Ukraine. Temps de lecture: 5 min Depuis plusieurs mois, l'Ukraine est le théâtre d'importantes manifestations pro-européennes qui ont dégénéré en violents affrontements ces derniers jours à Kiev et dans plusieurs villes du pays. Depuis mardi 18 février, plusieurs dizaines de personnes sont mortes dans les violences, parmi lesquelles de nombreux manifestants tués par balles mais aussi des membres des forces de l'ordre.

Après d'intenses négociations sous l'égide de l'Union européenne, le président Ianoukovitch a annoncé ce vendredi 21 février la tenue d'un scrutin présidentiel anticipé, la formation d'un gouvernement d'union nationale et une réforme constitutionnelle dans une tentative d'apaisement. Les manifestations pro-européennes avaient été déclenchées par la décision, début novembre 2013, du président Viktor Ianoukovitch de rejeter un accord pour plus d'intégration avec l'Union européenne, préférant rapprocher le pays de son grand voisin de l'Est, la Russie. 1.

Entre l'Europe et la Russie 2. 3. Crise, corruption, discrédits des élites : le tableau noir de la Slovénie. Ukraine : on a oublié de vous dire... 5.2] L’imposture du “gouvernement démocratique” Suite de notre série de reprises sur l’Ukraine… (qui n’a évidemment pas pour but de nier le caractère corrompu de l’ancien gouvernement, ni les légitimes aspirations du peuple à plus de liberté individuelle) 27 février 2014 : Coup d’État – le gouvernement des horreurs (de Victoria Nuland ?) L’instauration d’un gouvernement par la force présentée comme une victoire démocratique, la célébration de l’arrivée au pouvoir d’activistes fascisants comme celle de combattants de la liberté : même nos médias ont de la peine désormais à nous vendre la mascarade ukrainienne.

La composition du « gouvernement de transition » ukrainien reflète le script défini par la secrétaire d’Etat adjointe Victoria Nuland, dans son désormais célèbre échange téléphonique avec l’ambassadeur américain à Kiev, au nom du président Obama. Le voici : Communiqué officiel du 27 février 2014 sur la composition du nouveau gouvernement Analysons plus en détail… Le Premier Ministre Les ultra-libéraux Le parti communiste a protesté : En Ukraine, le chef de l'extrême droite candidat à la présidence.

Crise en Ukraine : ceux qui ont déraillé ne sont pas qu’à Moscou. Angela Merkel, Vladimir Poutine, David Cameron, Barack Obama et François Hollande : sommet du G8 à Enniskillen, Irlande, le 18 juin 2013 (Matt Dunham/AP/SIPA) Poutine n’est pas un leader sympathique, ses méthodes sont détestables, son régime est loin des idéaux démocratiques, sa politique vis-à-vis de l’Ukraine est impérialiste. Pour autant, ce quadruple constat ne doit pas empêcher les Occidentaux de se remettre en cause : si les tambours de guerre grondent dans l’est de l’Ukraine, ils en ont eux aussi une large part de responsabilité.

Et au lieu de soutenir sans réserve le pouvoir non-élu de Kiev, ils feraient mieux de considérer comme urgente la négociation avec le leader russe. Faute de quoi, c’est une guerre civile qu’on prépare, dans laquelle Russes et Occidentaux pourraient être directement impliqués. Propagandes symétriques L’armée ukrainienne lance une vaste opération militaire Le choc de deux blocs. Une vidéo montre le début de l’incendie mortelle d’Odessa. "En Crimée, chaque pro-ukrainien avait son journaliste" U1-2] Comprendre l’Ukraine – L’Histoire du pays (1/2) Euromaidan : l’enquête qui jette le trouble.