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Tunisian revolution

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Arrêté sous Ben Ali, le blogueur Slim Amamou devient ministre ! Mise à jour : la composition du nouveau gouvernement étant très critiquée, particulièrement parce que les postes régaliens ont été conservés par les anciens ministres de Ben Ali, plusieurs ministres issus de l'opposition ont annoncé mardi leur démission. Sur Twitter, Slim Amamou prévient cependant qu'il "ne démissionnera pas pour faire comme les autres". "Je démissionnerai quand je le déciderai", écrit-il, alors que certains redoutent que son arrivée au gouvernement serve uniquement à étouffer dans un symbole la rébellion du peuple tunisien.

Slim Amamou avait rendez-vous à la mi-journée avec le premier ministre et les autres membres du gouvernement pour prendre officiellement ses fonctions. Article du 17 janvier 2010 - Après l'éviction du président Ben Ali, chassé le week-end dernier par son propre peuple, le premier ministre sortant Mohammed Ghannouchi a présenté un nouveau gouvernement dont il reste le chef. La chute de Ben Ali. Traditional Media Abandon Tunisia to Twitter, YouTube. The shortcomings of the so-called mainstream media have become something of a stale trope. Traditional media does some things well, other things poorly, vice-versa for blogging and other social media. But the neglect of the situation in Tunisia by the media in general, and American media in particular, is beyond the pale. Since a young Tunisian, Mohamed Bouazizi, set himself on fire on December 17 to protest conditions in his North African country, and the country went up in flames, most Western, and all American media, has been unearthly silent.

Untitled from Slim Amamou on Vimeo. #sidibouzid Only yesterday a survey of the Los Angeles Times, The New York Times, Washington Post, Chicago Tribune, Boston Globe and Miami Herald showed absolutely no front-page coverage of Tunisia. Meanwhile, the social web has lit up with the topic. Instead, those interested have turned to Twitter accounts like that of @wedaddy, a Mauritanian in Boston and journalist @monaeltahawy.

Slim. Tunisie: le gouvernement français embarrassé. Michelle Alliot-Marie réforme les codes de la communication politique. Les internautes sont d’ailleurs aux premières loges, puisqu’ils peuvent admirer les derniers résultats de la vivacité créative des web-communicants de l’UMP avec l’Observatoire des mensonges de la gauche. Souhaitons-lui longue vie. Enfin, plus longue que celle des Créateurs de Possibles, malheureusement décédés dans des circonstances qui n’ont pas encore été élucidées. Mais cette bande de jeunes échevelés qui font leurs armes sur le web ont encore beaucoup à apprendre de leurs aînés, notamment de Michelle Alliot-Marie, qui nous a servi aujourd’hui une prestation inoubliable devant la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée Nationale.

Revenons brièvement sur l’objet du prétendu délit. Mardi 12 janvier, Michèle Alliot-Marie, envoûtée par l’odeur du jasmin, se laisse emporter par sa fougue révolutionnaire en suggérant aux députés que le Président Ben Ali pourrait avoir besoin de « l’artisanat » du « savoir-faire » français en matière de maintien de l’ordre. Tunisie : Alliot-Marie sous le feu des critiques.